Club R : 1 million de nouveaux membres rejoignent le programme de fidélité de Rakuten durant la période de confinement

Alors qu’un salarié du privé sur deux est toujours en activité partielle, les Français sont plus que jamais en quête de bonnes affaires. Dans cette lignée, le programme de fidélité de Rakuten a enregistré 1 million de membres supplémentaires en France depuis le 1er jour du confinement. 

Confinés, en télétravail ou en activité partielle pour plus de 8 millions d’entre eux, les Français sont plus que jamais en quête de bons plans. L’achat de produits d’occasion, les promotions à mi-année et l’adhésion à des programmes de fidélité ont le vent en poupe depuis quelques mois, permettant aux consommateurs de réaliser des économies substantielles. Selon une étude réalisée par Meelo, spécialiste en intelligence artificielle pour la consommation, près de 60% des Français affirment que leur pouvoir d’achat est en baisse à cause de la crise du Covid-19.

En lançant son programme de fidélité gratuit sans engagement et sans abonnement, Rakuten a décidé d’améliorer le pouvoir d’achat de sa communauté de membres, acheteurs comme vendeurs, en leur faisant profiter d’avantages et de remises sur l’intégralité du catalogue, et ce tout au long de l’année. En effet, la promesse du Club R est simple : récompenser les membres pour leur engagement (achats, ventes de produits d’occasion, partage d’informations…) par un système de rétribution appelé "Rakuten Points"*. Pour tout achat effectué sur la plateforme, 5% à 20% du montant de la commande sont systématiquement crédités sur le compte du membre et peuvent être dépensés dès la commande suivante au sein de l’écosystème.

En cette période de crise inédite, 1 million de Français ont rejoint le Club Rakuten portant le nombre total de membres à 4 millions d’internautes qui profitent de remises allant jusqu’à 20% sur tous leurs achats. C’est ainsi que la part du volume d’affaires généré par les membres sur la plateforme est passé de 55% à 75% ces dernières semaines. Fort de ce succès, la plateforme multiplie les offres pour récompenser la fidélité de ses membres. En France, l’équivalent de 80 millions d’euros ont déjà été reversés en Rakuten Points.

Pour en savoir plus sur le Club R, cliquez ici

* Les membres du Club R se voient systématiquement, et au minimum, remboursés de 5% du montant de leurs achats en Rakuten Points. Ceux-ci sont alors soit cumulés par l’utilisateur, soit réutilisés lors d’une commande ultérieure.Sans montant minimum, disponibles dès le premier produit ou service reçu, les Rakuten Points peuvent être dépensés aussi bien au sein de la plateforme, chez les marchands partenaires, que dans l’écosystème Rakuten (Rakuten TV, Rakuten Viber...). A l’occasion d’opérations spéciales, les remboursements peuvent atteindre jusqu’à 40% en Rakuten Points. Une mécanique qui consolide et fidélise davantage la communauté Rakuten. Si les acheteurs sont récompensés, les vendeurs ne sont pas en reste ! Pour chaque vente réalisée, un particulier reçoit 2% du montant en Rakuten Points, un complément de revenu entièrement financé par la plateforme.Rakuten est la seule place de marché à proposer une telle générosité pour un programme de fidélité, valable aussi bien sur des produits neufs que d’occasion.


Publication des résultats de Rakuten Inc. pour le 1er trimestre 2020

L'économie mondiale s'est rapidement détériorée au cours des trois premiers mois de 2020, et connaît actuellement une situation extrêmement difficile en raison de l'impact du COVID-19. Les entreprises subissent une baisse des bénéfices et des revenus en raison du déclin de l'activité économique causé par le virus, il sera donc nécessaire de surveiller de près l‘évolution de la pandémie et son impact, notamment sur le commerce.

A travers le monde, les autorités ont demandé les fermetures d'installations et de magasins, et ont incité les populations à s'abstenir de sortir pour éviter la propagation du COVID-19. Ainsi, les services Internet ont connu une demande croissante des consommateurs.  Dans un tel contexte, le groupe Rakuten, qui opère en soutien de multiples secteurs économiques, veille à poursuivre le développement de son portefeuille constitué de 80 services.

Grâce à ses efforts et ses investissements, le groupe Rakuten a réalisé au premier trimestre 2020 un chiffre d'affaires de 331 443 milliards de yens (environ 2,8 milliards d'euros), soit une hausse de 18,2 % par rapport à l'année précédente.

Quelques chiffres à retenir :

  • Croissance du volume d’affaires : +23,7 %
  • Croissance du chiffre d'affaires consolidé : +18,2 % YoY
  • Croissance du segment Fintech: +22,9 % YoY
  • Croissance des activités core business : +13,8 % YoY

Le résultat d’exploitation (-18,1 bn yen = - 156 M €) progresse favorablement, malgré des investissements très conséquents dans la création du réseau et de la plateforme Rakuten Mobile, ainsi que dans le développement de nouveaux services logistiques à destination des commerçants des activités de marketplace.

Pour finir, l’activité d’opérateur mobile a été lancée au japon le 8 avril 2020. Rakuten devient alors le premier opérateur mobile à proposer un réseau entièrement virtualisé reposant sur une technologie cloud native.

Vous trouverez l'exhaustivité des résultats publiés ici.


Lancement de l'alliance baptisée Open RAN Policy Coalition

Trente et une firmes internationales technologiques ont lancé aujourd'hui l'Open RAN Policy Coalition afin de promouvoir des mesures qui favoriseront l'adoption de solutions ouvertes et interopérables via le Radio Access Network (RAN) comme source d'innovation, pour encourager la concurrence et développer la chaîne logistique pour les technologies sans fil avancées, incluant la 5G.

Ce projet s’aligne parfaitement avec les valeurs du groupe Rakuten qui, par l’ "empowerment" de ses partenaires, cherche à les intégrer dans son écosystème et à éviter les situations de monopole.

« Comme le montre la pandémie mondiale actuelle, le choix des fournisseurs et la flexibilité des déploiements de réseaux de nouvelle génération sont nécessaires du point de vue de la sécurité et des performances », déclare Diane Rinaldo, Directrice Exécutive de l'Open RAN Policy Coalition. « En promouvant des politiques qui normalisent et développent des interfaces ouvertes, nous pouvons assurer l'interopérabilité et la sécurité entre les différents acteurs et potentiellement abaisser la barrière à l'entrée pour les nouveaux innovateurs ».

Pour en savoir plus, cliquez ici 


Rakuten lance Protect pour les TPE & PME

Rakuten accompagne ses partenaires afin d’assurer leur sécurité.

A cet effet, nous lançons "Protect", une plateforme mise à la disposition de l’ensemble des commerçants désireux de s’équiper en produits tels que des masques, des gels hydroalcooliques et des gants .

Les fournisseurs privilégiant la vente en volumes importants, les TPE et PME peuvent rencontrer des difficultés à accéder à ces équipements. "Protect" leur permettra de s’équiper en stocks plus réduits, adaptés à leur activité.

Afin d’assurer un stock suffisant, nous avons réservé 3 millions de masques disponibles pour les plus petits de nos commerçants, mais également pour l'ensemble des professionnels qui peuvent avoir besoin de s'équiper.

Découvrir Protect, cliquez ici 


Consommateurs, nous sommes l’atout décisif qui rendra possible le rebond économique !

Si l’épidémie de coronavirus engendre avant tout une crise sanitaire d’ampleur exceptionnelle, le choc provoqué sur l’économie est extrêmement violent. Arrêt temporaire de la majorité des entreprises du pays, perte de productions et de revenus, indices boursiers fortement impactés : sur le point de tomber dans la récession, la France fait face à la plus grande crise économique depuis le début du XXe siècle. Selon l’Insee, l’activité économique et la demande des ménages ont chuté de 35 % au cours de la dernière semaine de mars. L’Organisation internationale du Travail (OIT) estime quant à elle que 25 millions d'emplois pourraient être perdus dans le monde à ce stade de la pandémie.

Par Fabien Versavau, PDG Rakuten France

Face à cette chute drastique de l’activité, l’ensemble des acteurs constituant le tissu du commerce est exposé et l’onde de choc est encore plus forte pour les TPE/PME ou les commerçants indépendants qui disposent d’une trésorerie plus fragile et font face à un endettement parfois élevé. Aussi vertueuses soient les mesures de soutien annoncées par le Gouvernement, elles ne seront pas toujours suffisantes pour des entreprises qui devront faire face aux fermetures, aux plans de licenciements, et à l’arrêt global de leurs activités. À la suite des annonces du Premier ministre le 14 mars, plus de 86 % des marchands interrogés par la Confédération des commerçants de France ont fermé leur commerce. Parmi les 14 % qui ont poursuivi leur activité, seul 5% l'ont fait différemment, grâce aux ventes sur internet ou à emporter.

Face à ces considérations propices à nous plonger dans le défaitisme, je préfère faire preuve d’optimisme.

Alors que le Ministre de l'Economie et des Finances incite les salariés qui le peuvent à travailler pour soutenir notre économie, nous ne devons pas sous-estimer le rôle des consommateurs. Ils sont les acteurs indispensables, l’atout décisif pour relever l’immense défi économique lancé par cette crise. En générant de la croissance mais aussi des ressources fiscales utiles au bon fonctionnement de nos services publics si essentiels en temps de crise, la consommation des ménages constitue le principal moteur de notre économie.

Dans ce contexte et plus encore que d’habitude, les acteurs du commerce en ligne, à l’image de Rakuten, eBay, Fnac/Darty ou Cdiscount, sont aux côtés des commerçants, des PME/TPE du secteur marchand et des consommateurs. Partenaires des acteurs de proximité indispensables comme La Poste ou Mondial Relay, nous constatons que les réponses prophylactiques à cette crise, qui consistent notamment à réduire le contact entre les individus, entraînent une réorganisation des services de livraison ou marginalisent le recours au Click & Collect cher à Rakuten. Nous n’entendons toutefois pas transiger avec la sécurité de l’ensemble des acteurs de la chaîne logistique et il convient à cet égard de saluer les lignes directrices et les fiches normatives publiées par le Gouvernement pour appeler chacun à la responsabilité.

Bien sûr, la crise actuelle crée de nouvelles priorités et incite les consommateurs à recentrer leurs achats vers des biens essentiels.

Toutefois, alors que nous traversons cette période qui comporte son lot d’incertitudes et d’inquiétudes et pendant laquelle certains de nos concitoyens peuvent être confrontés à de grandes heures d’ennui voire de solitude, nous croyons fermement que la consommation de biens culturels et de loisirs est primordiale. Jeux et jouets pour les enfants, matériel de jardinage ou ustensiles de cuisine, films, jeux-vidéos, produits high-tech, mais aussi les livres, sont de formidables moyens d’évasion. Qualifiant même ces derniers de produits de première nécessité, le Ministre de l’Économie et des Finances s’est d’ailleurs montré prêt à étudier l’ouverture des librairies indépendantes sous certaines conditions citant la possibilité de récupérer sur place des ouvrages commandés en ligne.

Alors ne nous laissons pas abattre par le pessimisme ambiant et les incertitudes, et faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour participer à une nouvelle forme de consommation responsable au service de notre économie.

Pour ne pas poser les deux genoux à terre dans cette crise sans précédent et pour continuer à faire tourner le moteur de notre économie, la France a besoin de nous, consommateurs, plus que jamais.


Covid-19 : Rakuten renforce son arsenal de mesures à destination des marchands

Depuis le début de la crise du Covid-19 et du confinement, Rakuten France, 1ère marketplace omnicanale, s’est mobilisée aux côtés du Gouvernement, en soutenant au maximum les commerçants français, petits ou grands, pour traverser cette période difficile.

Rakuten prolonge son offre de gratuité de services, sans engagement pour les nouveaux marchands souffrant du confinement, jusqu’à septembre...

En mars, Rakuten a décidé d’offrir à tous les petits commerçants souffrant de la fermeture des magasins 3 mois d’abonnement sans engagement de durée, afin de leur permettre d’assurer une continuité de leur activité en ligne. Cet abonnement, d’une valeur habituelle de 499€/mois, leur permet de bénéficier de tout l’accompagnement et l’expertise des équipes Rakuten, ainsi que d’accéder aux taux de commission les plus faibles de la plateforme.

Pour accélérer la formation des marchands aux outils numériques et à la vente en ligne, les équipes de Rakuten ont également mis en place un programme d’accompagnement sous forme de webinars et de conseils personnalisés pour les aider à ouvrir des boutiques dédiées.

En moins d’un mois, la place de marché a vu le nombre de commerçants désireux de rejoindre le shopping mall virtuel augmenter de 40%. Cette offre leur permet d’assurer le maintien de leur activité tout en mettant un premier pied dans le digital. Pour cette raison, Rakuten a décidé de prolonger son offre après l’été, afin de permettre à de nouveaux commerçants de bénéficier d’un réel soutien pendant cette crise. A la fin de la période, les marchands auront la possibilité de continuer à vendre sur la plateforme en sélectionnant l’abonnement le plus adapté à leurs besoins.

...et donne gratuitement accès au dispositif de click & collect via l’offre Rakuten Instore

Dans cette perspective de maintien de l’activité, Rakuten rappelle qu’elle est la seule marketplace à proposer aux enseignes et commerces de proximité de générer du trafic en magasin via son offre Rakuten Instore. Conformément au décret pris par le Gouvernement le 23 mars dernier, Rakuten propose aux commerçants qui le souhaitent, d’activer l’option Rakuten Instore pour permettre aux consommateurs de venir récupérer leurs colis en magasin une heure après la commande, tout en respectant les mesures sécuritaires et sanitaires requises. A cet égard, la plateforme encourage les commerçants à afficher clairement les mesures dans leurs magasins, à appliquer rigoureusement les consignes en matière d’hygiène, et à nettoyer et désinfecter régulièrement leurs boutiques.

« Le click & collect a toujours fait partie de nos priorités pour soutenir nos marchands et encore plus en cette période que nous traversons. Notre équipe travaille chaque jour pour accompagner nos marchands afin d'adapter nos solutions et générer du trafic en magasin. Rakuten Instore rend cela possible en permettant aux acheteurs de venir récupérer leurs commandes directement en magasin » Matthieu Denime, Directeur Commercial de Rakuten France

La marketplace réservera également 3 millions de masques pour ses plus petits commerçants partenaires

Pour aller plus loin, Rakuten accompagne ses partenaires afin d’assurer leur sécurité. En effet, une plateforme dédiée, "Protect",est désormais mise à leur disposition afin que l’ensemble des commerçants désireux de s’équiper en produits tels que des masques, des gels hydroalcooliques et des gants puissent s’approvisionner.
Les fournisseurs privilégiant la vente en volumes importants, les TPE et PME peuvent rencontrer des difficultés à accéder à ces équipements. Protect leur permettra de s’équiper en stocks plus réduits, adaptés à leur activité. Afin d’assurer un stock suffisant pour ses plus petits commerçants partenaires, Rakuten a déjà réservé 3 millions de masques, disponibles sur Protect.

« Il était primordial pour nous de proposer à la totalité de nos commerçants des solutions adaptées leur permettant de poursuivre leur activité en toute sécurité. Préparation de commandes, envois et retraits en magasin sont autant d’opérations qui doivent être réalisées dans le respect scrupuleux des consignes d’hygiène. Rappeler ces règles et permettre à nos partenaires de les appliquer en leur mettant à disposition le matériel nécessaire, avec des produits contrôlés et certifiés par nos équipes, fait désormais partie de nos missions quotidiennes. » Matthieu Denime, Directeur Commercial de Rakuten France

Cette plateforme est disponible pour les marchands de Rakuten mais est ouverte à tous les professionnels ayant besoin de s’équiper : commerçants, associations, professionnels de santé…

Tout au long de cette période, Rakuten s’engage à tout mettre en oeuvre pour soutenir les marchands et les acheteurs dans leurs activités et leurs achats, et à maintenir le service aussi normal que possible.


[Infographie] Les habitudes de consommation des Français pendant le confinement

La crise sanitaire mondiale engendre une modification dans les habitudes de consommation de tous les Français, et le secteur du e-commerce assiste aux premières loges à ces nouvelles tendances.

Si une certaine morosité des ventes en ligne et un ralentissement de la consommation sont observables depuis le confinement, notamment des catégories "non-essentielles" telles que l'habillement ou l'électroménager, certains produits connaissent un regain d'intérêt de la part des Français, tels que ceux servant au télétravail.

Enfermés chez eux, les priorités des Français ont changé, mais de quelle manière ? En quoi cette crise sanitaire et le confinement engendrent de nouvelles tendances de consommation ? C’est ce que Rakuten a cherché à savoir. Avec ses nombreux services, dont Rakuten Kobo et Rakuten Viber, le groupe s’est intéressé aux habitudes de consommation, de lecture, et de messagerie des Français.

Vous trouverez dans cette infographie les tendances qui se dégagent depuis le début du confinement.

A titre d’exemples 
> Les pics horaires de "e-shopping" ont changé
Avant le confinement : 7H-9H, 12H-14H, 18H-19H
Depuis le confinement : 9H-12H et 15H-18H    
L’heure du déjeuner, habituellement, propice aux achats pour les actifs, redevient un moment de partage en famille. De ce fait, les pics de consommation sont étalés sur l'ensemble de la journée depuis la période du confinement.
 
> Confrontés au télétravail, les Français s'équipent pour ce nouveau mode de vie
x7 pour les imprimantes.
x3 pour les logiciels types Pack Office.
x1,5 pour les casques audio.
Les Français ont besoin de s'équiper pour s'adapter à cette nouvelle façon de travailler, et cela se ressent avec ces pics inhabituels pour ces catégories de produits.
 
> Une fois la journée de travail achevée, c'est l'heure de se divertir !
Produits connaissant la plus forte croissance
Les puzzles
Les jeux extérieurs.
Les outils de jardin.
Les robots-pâtissiers.
Cette période de confinement a engendré une augmentation des loisirs au sein des ménages français. On note également une croissance exponentielle des jeux vidéo, recommandés officiellement par l’OMS pour s’occuper pendant le confinement !


Terez Duhameau rejoint Rakuten en tant que Directrice User Care pour la France

Précurseur pour son rôle de Tiers de Confiance, Rakuten a depuis toujours priorisé la satisfaction client. En intégrant Terez Duhameau au sein de ses équipes, la place de marché souhaite décupler cette stratégie essentielle.

 

Diplômée de l’université de Debrecen en Hongrie, Terez Duhameau a débuté sa carrière chez Pixmania chez qui elle a évolué pendant plus de 6 ans au sein du Service Clients, jusqu’à devenir Superviseur service clients marketplace avant d’intégrer la filiale E-Merchant sur la partie Fraude en tant que Senior Operation Manager. Trois ans plus tard, elle confirme son expertise chez ManoMano en définissant et mettant en place toute la stratégie Service Clients.

Son parcours très opérationnel au cours duquel elle a su aiguiser sa connaissance du e-commerce et de ses problématiques accorde à Terez Duhameau une vision du métier inédite.

Convaincue que l’expérience utilisateur constitue un avantage compétitif décisif pour les plateformes e-commerce, Terez Duhameau accorde une grande importance à la proximité et la personnalisation des messages pour générer de la confiance. Terez Duhameau considère l’engagement de Rakuten comme un atout indispensable pour mener à bien le travail de conseil aux consommateurs. Elle promeut alors au sein de ses équipes la valeur japonaise, chère au groupe, l’Omotenashi, qui prône le sens du service et décide de renommer le Service Client "User Care".

Grâce à une expérience utilisateur privilégiée et plus humaine, le consommateur est écouté, accompagné, conseillé de façon personnalisée quand les équipes User Care profitent d’une réelle proximité dans leurs échanges.

En tant que Directrice de la Relation Client, elle pilote également la stratégie de moyens de paiement et fraude pour la France.

« Nous constatons qu’avec le report des ventes sur Internet ces dernières années, la relation avec les consommateurs a évolué. Les acteurs du e-commerce doivent arrêter de répondre aux clients comme des machines mais au contraire réinsuffler du contact humain comme c’est le cas pour le commerce traditionnel. J’ai la conviction qu’il est indispensable de recréer de la proximité et qu’elle générera une confiance durable. Rakuten m’a proposé un challenge passionnant, celui de défendre cette vision du service clients en laquelle je crois fermement et qui, évidemment, s’ajoute à mon objectif de répondre à nos utilisateurs de manière toujours plus réactive et humaine. » Terez Duhameau, Directrice de la Relation Client et Moyens de Paiement de Rakuten France

Sur son temps libre, Terez Duhameau enrichit ses compétences aussi bien en finance qu’en stratégie ou encore en Management, en suivant une formation à l’EDHEC et ainsi être diplômée d’un Executive MBA en mai 2021.


Coronavirus : Rakuten a été convié à Bercy pour lutter contre les arnaques

La crise causée par le COVID19 est propice à des pratiques commerciales douteuses, voire à des agissements frauduleux. Si ces comportements sont loin de se limiter à Internet, Rakuten France a naturellement répondu présent à l’invitation du secrétariat d’État chargé du numérique pour travailler sur le sujet.

Nous avons, comme d’autres acteurs de l’intermédiation en ligne, pris très tôt des mesures pour éviter d'éventuelles spéculations et tentatives d’escroquerie dans un contexte qui requiert plus que jamais civisme et confiance.


La place de marché, nouveau lien direct entre marques et consommateurs ?

Alors que le volume d’affaires des places de marché dans le e-commerce ne cesse de croître, les marques, expertes du storytelling, ont une carte à jouer en intégrant celles-ci dans leur stratégie de diversification des canaux de distribution et de vente directe aux consommateurs. À condition de s’assurer que ces marketplaces soient en mesure de transposer efficacement leurs valeurs et leurs histoires.

Par Fabien Versavau, PDG Rakuten France

Actrices incontournables du commerce, les marques détiennent une place privilégiée dans le cœur des consommateurs. À travers les valeurs qu’elles véhiculent et les symboles qu’elles incarnent, elles ont su inspirer des millions d’adeptes et proposer une vision à l’échelle planétaire par leur maîtrise du storytelling : « dis-moi ce que tu achètes je te dirai qui tu es », et de l’expérience client. Mais le monde dans lequel celles-ci évoluent est en perpétuel mouvement. Les consommateurs se sont digitalisés, et l’e-commerce s’est développé en conséquence. De nouveaux acteurs, comme les DNVB (Digital Native Vertical Brands), sont même apparus sur le marché. Les marques ont vu alors leur poids s’amenuiser, tout comme leur pouvoir de négociation, que ce soit face aux acteurs de la distribution ou face aux plateformes e-commerce, en croissance exponentielle (elles représentent à présent 52% de l’e-commerce mondial en volume d’affaires).

Aujourd’hui, le commerce est devenu accessible à portée de clics, les achats en ligne se sont multipliés et banalisés. Le consommateur retrouve le produit qu’il souhaite en quelques secondes. Un internaute peut quitter un site e-commerce d’un simple mouvement de souris. Il est devenu plus difficile pour les marques de tisser un lien émotionnel avec ses acheteurs sur certaines plateformes e-commerce qui se concentrent sur la fonctionnalité et le prix, car leurs produits sont mis en concurrence directe, sans possibilité d’intégrer leur histoire. On se concentre sur le produit, et non plus sur l’histoire, ce qui ne favorise plus l’expérience de marque qui constituait leur véritable valeur ajoutée.

Pourtant, tout n’est pas noir. Les consommateurs sont toujours fidèles aux marques. Selon une enquête LSA/Adrexo, 66 % des consommateurs interrogés témoignent d’un attachement important aux marques. Ces dernières entretiennent une image forte, en plongeant les consommateurs dans des histoires extraordinaires. Le logo de Nike 'Just Do It' a réussi à ancrer son identité dans les mémoires, à travers un scénario qui présente systématiquement un héros traversant des péripéties pour dénicher le seul produit qui l’aidera à concrétiser ses rêves.

Direct-to-consumer : les marques reprennent le contrôle

Les marques font donc face à un nouveau modèle économique et une nouvelle façon de consommer. Elles constatent qu’un même utilisateur peut tester leur produit en magasin, effectuer une veille en ligne sur des forums, des comparateurs, et acheter sur des plateformes e-commerce. Les marques s’adaptent désormais à des modes de consommation différents en intégrant pleinement le e-commerce au sein de leurs organisations, chacune à son rythme. Elles souhaitent ainsi reprendre le contrôle de leur stratégie de vente en ligne et s’adresser directement à leurs clients, très attachés à leurs univers, mais également à de nouvelles cibles.

C’est ce que l’on appelle le modèle "Direct-to-Consumer". Celui-ci séduit les marques souhaitant adresser directement leurs produits à leurs utilisateurs ou à de nouvelles communautés d’acheteurs, que ce soit sur leur propre site ou via des places de marché. La dernière étude KPMG/Fevad a mis en lumière cette nouvelle tendance : le lancement ou l’accélération de la stratégie du Direct to Consumer sont cités parmi les projets prioritaires de 46% des marques interrogées. Mais toutes ne se convertissent pas à la même vitesse : certains acteurs s’y sont attelés dès l’apparition du e-commerce (Nespresso, Nike, Adidas), tandis que d’autres sont encore en phase de transformation. Samsung a par exemple récemment signé un partenariat exclusif avec Rakuten afin d’adresser ses produits selon sa stratégie propre en termes marketing de prix, de mise en avant et d’opérations.

Pour amorcer cette évolution, les marques ont besoin de mettre en place un mode opératoire adéquat, ainsi qu’une stratégie claire entre les différents canaux dont elles disposent (site internet, places de marché, drive-to-store...). De lourds investissements au niveau organisationnel, humain, et technologique doivent être déployés afin de reconquérir le cœur des consommateurs. S’équiper de services dédiés disposant de l’expertise nécessaire pour engager ce nouveau processus, tout comme repenser le modèle logistique, demande du temps. C’est pourquoi certaines marques font appel à des prestataires externes ou des cabinets de conseils pour se lancer dans l’aventure du DtoC, ou bien rachètent de jeunes entreprises spécialisées à l’instar d'Unilever qui a fait l’acquisition de Dollar Shave Club, une marque disposant d’une expertise reconnue sur la vente directe aux consommateurs.

Places de marché et perte de contrôle de l'image des marques ?

Alors qu’en France, le volume d’affaires des places de marché représente 30% du volume d’affaires total des sites internet du panel iPM Fevad, celles-ci sont en mesure de donner l’accès aux marques à de fortes communautés d’acheteurs et de leur générer un volume de ventes additionnelles non négligeable. Aujourd’hui, les marques font face à un dilemme, en souhaitant générer de la croissance par le biais du e-commerce tout en conservant le contrôle sur leur image. C’est pour cela que certaines places de marché leur donnent la possibilité de développer des espaces dédiés sur mesure. En leur proposant des espaces d’expression libres, et des boutiques personnalisées, appelées des Rakuten Corners, elles leur permettent de raconter leur histoire, et de reproduire leur univers graphique propre, toujours dans le but d’offrir une expérience d’achat unique.

En outre, les places de marché leur donnent accès à une communauté de nouveaux acheteurs, et à un trafic fort, généré par de nombreux leviers d’acquisition, et ce à moindre coût (par exemple, les marques payent une commission faible par rapport aux coûts engendrés sur leurs propres sites). Elles leur offrent aussi une visibilité accrue, en leur donnant le moyen de renforcer une présence continue par le biais du "Retail Media". Rappelons que ce levier de mise en avant a connu la plus forte croissance en termes d’investissements publicitaires (+47% vs 2018) selon la 22ème édition de l’Observatoire de l’e-pub du 1er semestre 2019 présentée par le Syndicat des régies internet (SRI). Le lancement de l’option du retrait en magasin par les places de marché symbolise également une initiative clé pour soutenir les marques dans leur objectif d’augmenter leur trafic en magasin.

Constituant de véritables catalyseurs, les places de marché contribuent au rapprochement des marques avec les consommateurs, à condition qu’elles puissent recréer de manière satisfaisante l’univers de ces dernières en ligne. Pour une enseigne décidant de franchir le pas en s’associant à une plateforme e-commerce, l’enjeu pour celle-ci sera de veiller à ce que ses produits soient bien valorisés au sein de son histoire de marque. Plonger les utilisateurs dans l’univers de la marque, et proposer des services permettant de driver du trafic en magasin, doivent ainsi faire partie intégrante de la mission des places de marché.


La revente des cadeaux de Noël en France : +35 % de mise en vente

A peine les cadeaux déballés que certains les ont déjà mis en vente. Vraie tendance observée depuis 15 ans chez Rakuten, la plateforme e-commerce de produits neufs et d'occasion recense depuis ce matin non seulement un pic de connexion mais surtout une augmentation de 35 % de la mise en vente de cadeaux par rapport à l'an passé.

Ceci montre une tendance à la revente très rapide des cadeaux, avec des utilisateurs qui ont de moins en moins de scrupules à remettre leurs cadeaux en vente dès le jour de Noël.

Comment savoir que ces produits sont issus des cadeaux de Noël ? Très simple : la mise en vente des produits "comme neuf" depuis ce matin a doublé.

Parmi les cadeaux les plus remis en vente :

  • Les jeux et jouets (x2 par rapport à une période classique)
  • Les jeux vidéo (x2 par rapport à une période classique)
  • Les smartphones (x3 par rapport à une période classique)

Rien de très surprenant, en effet, car d’après l’étude OpinionWay 2019 pour Rakuten, un français sur deux se dit prêt à revendre ses cadeaux de Noël !

Pour en savoir plus sur l'étude OpinionWay, cliquez ici


[Infographie] 86% des Français n’imaginent pas que leurs cadeaux puissent être revendus alors qu’1 Français sur 2 y songe

L’effervescence de Noël approche et donc le rush lié à l’organisation du réveillon, en recherchant les meilleurs cadeaux pour faire plaisir à ses proches.

Rakuten, revendeur officiel du Père Noël depuis 15 ans, a mené une étude avec OpinionWay pour comprendre les habitudes des français et la revente des cadeaux de Noël. 86% des français n’imaginent pas que leurs achats qu’ils se sont démenés à trouver seront vendus. Parmi eux 16% affirment même qu’il n’y a aucune chance pour que cela arrive pensant avoir trouvé le cadeau idéal ! Cependant, 1 Français sur 2 se dit prêt à revendre ses cadeaux et les raisons sont multiples :

  1. Le cadeau ne plaisait pas (45%)
  2. Pas d’utilité trouvé au cadeau (39%)
  3. Préfère revendre plutôt que de jeter (26%)
  4. A reçu le cadeau en double (23%)
  5. A besoin d’argent (14%)
  6. Préfère s’acheter un cadeau qui lui fait vraiment plaisir (14%)
  7. Ne pouvait pas échanger le cadeau (8%)

Et ils ne perdent pas de temps pour les revendre ! 52% des revendeurs effectifs déclarent mettre en vente leurs cadeaux dans un délai maximum d’un mois suivant Noël.

Contre tout attente, près d’1/3 des Français affirment qu’ils se montreraient compréhensifs s’ils apprenaient que le cadeau qu’ils avaient offert à Noël était revendu. Cependant, seuls 19% des Français seraient prêts à avouer avoir revendu leur cadeau à la personne qui le leur a offert.

Toutefois, même si revendre ses cadeaux a été envisagé, certains expriment qu’ils ont finalement eu des scrupules à le faire et ne sont pas passés à l’acte (42%). En ce sens, 49% des Français préfèrent stocker les cadeaux chez eux, 31% l’offrent à des gens qui en auront l’utilité et 22% les donnent à des associations (dont 36% chez les 65 ans et plus).

Et qu’en était-il en 2018 ?

Rakuten avait observé une augmentation de 29% du nombre de mises en vente de produits la semaine qui suivait En tête des produits les plus revendus y figuraient :

  1. Les jeux et jouets
  2. Les jeux vidéos
  3. Les livres

Sans compter les cadeaux offerts durant le Secret Santa tout au long du mois de décembre, qui ne plaisent pas souvent. En effet, avant Noël, le site observe une augmentation de 20% du nombre de produits de moins de 5 euros revendus. Le plus de Rakuten pour les revendeurs ? Chacun se voit être recrédités de 2% du montant de ses ventes. Ce crédit permet alors d’avoir un peu plus d’argent que celui gagné lors de la transaction et de pouvoir s’offrir un nouveau cadeau plus adapté !

Sondage OpinionWay pour Rakuten – Etude réalisée auprès d’un échantillon de 1 003 Français âgés de 18 ans et plus


Rakuten, lauréat des Trophées LSA de l’innovation 2019

Très fiers d'avoir remporté le trophée de l'innovation organisé par le magazine LSA avec la solution Rakuten Instore !

 

Rakuten est la 1ère plateforme omnicanale à proposer une solution de click & collect à ses partenaires. Véritable technologie basée sur la géolocalisation et la mise à jour des stocks en temps réel, Rakuten Instore est permet de driver toujours plus de trafic en magasin et de créer davantage de synergies entre l’online et l’offline.

Plus de 2 500 magasins d'enseignes partenaires sont déjà connectés à la plateforme - Boulanger // Micromania // Easy Cash // Decitre // Cleor // Jules // Animalis // Brice //  Cultura //PicWicToys // Lavinia... 

A l'occasion de la 40ème édition des Trophées LSA de l’Innovation, Rakuten France a remporté le trophée de l'innovation pour la catégorie e-commerce.


Anticipation des dépenses tout au long de l’année et utilisation d’offres promotionnelles : un tiers des Français s’organisent pour optimiser leur budget pour Noël

À l’approche des fêtes de fin d’année et quelques jours avant le Black Friday, Cofidis publie ce jour les résultats de la 3ème édition de l’enquête sur "Le budget et les bons plans des Français pour Noël", réalisée en partenariat avec Rakuten, acteur majeur du e-commerce international, et en collaboration avec l’institut CSA Research.

  • Le budget des Français pour Noël est en légère baisse en 2019 et s’élève en moyenne à 549 € (-22 € par rapport à 2018). Plus d’un tiers du budget (39%), soit 215 € en moyenne, sera dépensé en ligne, sur des sites web ou des applis mobiles.
  • Les cadeaux restent le premier poste de dépenses, avec un budget en constante augmentation depuis 2 ans (355 € ; +15 € par rapport à 2018 et +32 € par rapport à 2017), devant les repas (131 € ; + 2 € par rapport à 2018) et la tenue (34 € ; stable par rapport à 2018).
  • Les Français envisagent de déposer un peu moins de cadeaux sous le sapin cette année (7 cadeaux en moyenne contre 8,5 en 2018).
  • Près de 3 Français sur 5 (59%) déclarent effectuer leurs achats à la fois en points de vente physiques et sur les plateformes de e-commerce (+ 4 pts).
  • La majorité des achats de cadeaux (4 cadeaux sur 7 en moyenne) devraient être effectués en ligne, avec en tête les produits culturels (56%), les jouets ou les jeux (55%) et les produits high-tech (31%).
  • Afin de financer leurs cadeaux de Noël, les Français puisent en priorité dans leur budget dédié aux dépenses courantes (68%), utilisent des chèques ou bons cadeaux (29%) ou puisent dans leur épargne personnelle (21%).
  • Pour faire plaisir à leurs proches sans pour autant se ruiner, les Français sont prévoyants. Près de 2 Français sur 3 (60%) anticipent leurs dépenses de Noël, principalement en se constituant une "Cagnotte Noël" tout au long de l’année (pour un tiers d’entre eux : 33% ; +2 pts par rapport à 2018).
  • Afin d’optimiser leur budget, les Français s’organisent : plus d’un tiers d’entre eux (36%) achètent leurs cadeaux lors de périodes promotionnelles comme le Black Friday. 40% des Français déclarent d’ailleurs acheter leurs cadeaux de Noël dès le mois de novembre (+3 pts par rapport à 2018).

Parmi les résultats marquants de cette 3ème édition, le budget moyen des Français pour Noël est de 549 €, soit une légère baisse par rapport à l’an dernier (-22 €). Le budget médian suit la même tendance et s’élève à 391 € (contre 448 € l’an dernier ; 57 €). A noter que plus d’un tiers de ce budget (39%) sera largement dépensé en ligne, sur des sites web ou applis mobiles.

La période de Noël reste un moment important pour la majorité des Français qui cherche avant tout à faire plaisir à leurs proches. Les cadeaux restent en effet le premier poste de dépenses, en augmentation pour la deuxième année consécutive (355 € ; + 32 € en deux ans). A noter que, malgré un
budget "cadeaux" plus élevé, les Français envisagent de déposer un peu moins de cadeaux sous le sapin cette année (7 contre 8,5 en 2018).

Parmi les autres postes de dépenses figurent le repas (131 € ; +2 €), la tenue (34 € ; égal à 2018), les décorations (33 € ; +4 €) et les transports (31 € ; -6 €).

Près de 3 Français sur 5 (59%) déclarent effectuer leurs achats à la fois en points de vente physiques et sur les plateformes de e-commerce (+ 4 pts).
Plus de la moitié des achats de cadeaux devraient être effectués en ligne (4 sur 7 en moyenne) notamment pour l’achat de produits culturels (56%), de jouets ou de jeux (55%) et de produits high-tech (31%).

Afin de financer leurs cadeaux, les Français puisent en priorité dans leur budget dédié aux dépenses courantes (68%), utilisent des chèques ou bons cadeaux (29%) ou puisent dans leur épargne personnelle (21%).

Pour profiter pleinement et pouvoir gâter leurs proches sans se ruiner, les Français s’organisent :

  • 60% d’entre eux anticipent leurs dépenses de Noël, principalement en se constituant une cagnotte. Plus d’un tiers d’entre eux met de l’argent de côté tout au long de l’année (33% ; +2 pts par rapport à 2018).
  • Plus d’un tiers (36%) déclarent faire leurs achats lors de périodes promotionnelles comme le Black Friday, qui aura lieu le 29 novembre cette année. 40% des Français déclarent d’ailleurs acheter leurs cadeaux de Noël dès le mois de novembre (+3 pts par rapport à 2018).

Parmi les autres astuces et bons plans, les Français déclarent préparer eux-mêmes leurs repas (59% ; égal à 2018) et cumuler des points sur leurs cartes fidélité et les utiliser pour leurs achats (35% ; +4 pts).

« Synonyme de retrouvailles et de partage, Noël est un moment précieux pour la majorité des Français dont la priorité est de gâter leurs proches. Afin de pallier un budget un peu plus serré, les Français s’organisent tout au long de l’année pour optimiser leur budget. Ils constituent une cagnotte pour Noël, anticipent leurs dépenses et profitent des grands temps forts commerciaux comme le Black Friday. Un Français sur 10 utilise également une facilité de paiement ou un crédit à la consommation pour effectuer ses achats », déclare Mathieu Escarpit, Directeur Marketing de Cofidis.

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549 € : le budget moyen des Français pour Noël

Anticipé toute l’année, le budget des Français pour Noël s’élève à 549 € en moyenne (cadeaux, repas, transports, décorations, …), en légère baisse par rapport à l’année précédente (-22 € vs 2018).

Ce budget moyen présente néanmoins de fortes disparités en fonction de :

  • L’âge : 352 € en moyenne pour les moins de 35 ans contre 701 € en moyenne pour les 50 ans et plus. Les retraités auront le budget moyen pour Noël le plus élevé cette année (766 € ; + 79 € par rapport à 2018).
  • La CSP : 416 € en moyenne pour les CSP– contre 552€ en moyenne pour les CSP+
  • La taille de l’agglomération : 543 € en moyenne pour les agglomérations de moins de 2000 habitants contre 713 € en moyenne pour les habitants de l’agglomération parisienne

Le budget médian connait également une légère diminution et s’élève à 391 € (contre 448 € l’an dernier ; -57 €).

Plus d’un tiers du budget Noël (39%), soit 215 € en moyenne, sera dépensé en ligne, sur des sites web ou des applis mobiles. On observe que les CSP+ ont une plus grande propension à effectuer leurs achats de Noël en ligne (249 € en moyenne ; soit 45% de leur budget global).

Une large majorité de Français (7 sur 10) anticipe un budget égal à celui qu’ils ont dépensé en 2018 (70% ; +3pts) preuve que malgré une situation financière contrainte, Noël reste un moment important pour les Français. De plus, la part de ceux qui affirment que leur budget sera supérieur à l’an dernier (14%) est en légère hausse (+1 pt par rapport à 2018), notamment les moins de 35 ans (23%).

Enfin, la moitié des Français affirment qu’ils respecteront le budget prévu (50% ; -2pts). Ce sont notamment les personnes dont le budget global pour Noël est inférieur à 200 € (62%), les personnes dont les revenus sont inférieurs à 1451 € par mois (58%) ainsi que les foyers sans enfants.

Gâter leurs proches : la priorité des Français

Noël reste le moment privilégié pour faire plaisir à ses proches. Aussi, les cadeaux sont toujours la priorité et restent le premier poste de dépenses (355 €). Ce budget est en augmentation pour la deuxième année consécutive (+15 € par rapport à 2018 ; +32 € par rapport à 2017). Par ailleurs, la part des Français cherchant à limiter leurs dépenses sur les cadeaux diminue (11% ; -3pts).

Malgré un budget "cadeaux" en hausse cette année, les Français envisagent de déposer un peu moins de cadeaux sous le sapin (7 contre 8,5 en 2018), signe que la qualité prime sur la quantité. Cependant, on observe que les Français les plus prévoyants, notamment ceux qui commencent leurs achats de Noël dès le mois d’octobre, comptent acheter 10 cadeaux en moyenne. De la même manière, les foyers avec enfants (dont un tiers réalisent leurs achats dès le mois d’octobre) envisagent d’acheter 9 cadeaux en moyenne.

Toujours épicuriens, les Français accordent une place importante aux repas puisque ces derniers constituent le 2ème poste de dépenses le plus important à Noël (131 € ; +2 €). Cet élément constitue un des « totems » importants de cette fête sur lequel les Français ne font pas de concession. En effet, seuls 5% d’entre eux envisagent de limiter leurs dépenses sur les repas.

Les autres postes de dépenses sont la tenue (34 € ; égal à 2018), les décorations (33 € ; +4 €) et les transports (31 € ; -6 €). Ces derniers postes sont les plus impactés par les restrictions de budget, plus particulièrement la tenue vestimentaire (pour 27% des Français) et les décorations (pour 21% des Français).

À noter que près d’un français sur 3 (31%) déclare ne pas chercher à limiter ses dépenses ce qui souligne le caractère primordial de Noël : un moment privilégié avec ses proches.

Noël : un moment attendu et préparé dès le début de l’année

Afin de faire plaisir à leurs proches sans pour autant se ruiner, les Français sont prévoyants. L’anticipation est donc toujours de mise : 60% des Français déclarent anticiper leurs dépenses de Noël (contre 64% en 2018), notamment les moins de 35 ans (70%), les foyers avec enfant (70%), les femmes (68%) et les CSP- (67%).

Parmi ceux qui anticipent leurs dépenses :

  • Plus de la moitié met de l’argent de côté toute l’année (55% ; +4 pts, soit 1/3 des Français au global), plus particulièrement les 50 ans et plus (60%), et les hommes (60%).
  • 28% économisent à partir d’un mois donné (-1 pt) principalement à partir d’octobre (38%)
  • Par ailleurs, de plus en plus de Français (24% ; +4pts) préfèrent reporter certaines dépenses à une période ultérieure, après les fêtes.

Pour financer l’achat des cadeaux de Noël, près de 7 Français sur 10 (68%) puisent dans leur budget dédié aux dépenses courantes, en particulier ceux dont le budget cadeau est supérieur à 250 euros (73%) et les 50 ans et plus (73%). L’utilisation de chèques ou bons cadeaux est plébiscité par 29% des Français, notamment les CSP– (45%) et les foyers avec enfants (38%). Enfin, 21% d’entre eux choisissent de puiser dans leur épargne personnelle.

A noter que plus d’un français sur 10 (11%) utilise une facilité de paiement ou un crédit à la consommation pour financer l’achat de cadeaux.

Compte tenu du nombre important de cadeaux à acheter, les Français préparent l’échéance : 68% d’entre eux n’attendent pas décembre pour acheter leurs cadeaux, et s’y prennent dès octobre (28%) ou novembre (40%). Malgré cet effort d’anticipation, le "rush" de Noël demeure un incontournable, et ce sont ainsi un tiers des Français qui achètent l’ensemble de leurs cadeaux en décembre, une pratique particulièrement répandue chez les hommes (16%) et les seniors (12%).

Les bons plans des Français pour réduire leurs dépenses et optimiser leur budget de Noël

Afin d’optimiser leur budget, les Français misent avant tout sur le fait-maison et sur les offres promotionnelles. Parmi les astuces privilégiées, on retrouve :

  • Préparer soi-même ses repas (59% ; égal à 2018), une pratique très répandue chez ceux dont le budget Noël sera supérieur à 501 € (68%), les 50 ans et plus (68%) et les habitants vivant dans une commune rurale (66%).
  • Faire ses achats lors de périodes promotionnelles comme le Black Friday (36% ; égal à 2018), une astuce particulièrement plébiscitée par les jeunes de 18-24 ans (46%), et les inactifs (45%).
  • Cumuler des points sur sa carte fidélité et les utiliser pour ses achats (35% ; +4 pts), pratique particulièrement utilisée chez les employés (45%) et les 35-49 ans (43%)
  • Faire un seul cadeau pour un couple (30% ; + 3pts)
  • Trouver des codes promo sur Internet ou sur les réseaux sociaux (28% ; +2pts)

Le e-commerce de plus en plus incontournable pour les achats de Noël

En ce qui concerne l’achat des cadeaux, on observe une complémentarité des canaux (magasins et internet) qui s’ancre dans la pratique. En ce sens, près de deux tiers des Français (59% ; + 4 pts) affirment mixer les points de vente physiques et les plateformes de e-commerce pour réaliser leurs achats, notamment pour les Français dont le budget Noël est supérieur à 501 euros (65%). Les sites internet sont privilégiés par 16% des Français en particulier par les plus jeunes (22% des moins de 35 ans font généralement leurs achats de Noël en ligne). L’achat en magasin (25%) est surtout privilégié par les 50 ans et plus (30%).

Plus de la moitié des cadeaux offerts à Noël viendra d’un achat effectué en ligne (4 cadeaux sur 7 en moyenne). Le e-commerce est notamment privilégié pour les achats de produits culturels (56%), de jouets et de jeux (55%) et de produits high-tech (31%).

Les consommateurs plébiscitent l’achat en ligne pour le large choix (62%), les prix (55%) et la rapidité d’achat (46%). Ils favorisent les magasins notamment pour obtenir des avis et se faire conseiller (51%) ainsi que s’assurer d’avoir leur cadeau à temps (58%).

La pratique du click & collect est entrée dans les moeurs. Près de 2 Français sur 3 (64%) ont déjà eu recours à ce service, notamment les familles (76%) et les moins de 35 ans (75%). Contrairement aux idées reçues, cette pratique reste synonyme d’anticipation et d’organisation (utilisée par 71% des Français qui achètent dès octobre contre 64% dans l’ensemble).

Enfin, la revente ou l’échange de cadeaux reçus à Noël est une pratique qui progresse et concerne près d’un Français sur 5 (19%), plus particulièrement les foyers avec enfants (28%), les moins de 35 ans (28%) et les CSP+ (24%). Cette dernière tend notamment à se développer sous l’impulsion des plateformes de vente en ligne (54% des cadeaux revendus).

Méthodologie de l’enquête
Une étude réalisée par CSA Research pour Cofidis France, par questionnaire auto-administré du 1er au 5 octobre 2019 auprès d’un échantillon représentatif de 1 004 Français âgés de 18 ans et plus, construit selon la méthode des quotas sur les critères de sexe, d’âge, de profession du répondant, de région et de taille d’agglomération.


Rakuten signe un partenariat avec Booking.com et offre ainsi de nouveaux avantages à ses clients

L’acteur majeur du e-commerce international s’associe aujourd’hui à Booking.com, l’occasion pour les millions de membres du programme de fidélité Club R de Rakuten de bénéficier de 5% de cashback pour toute réservation d’hébergement.

Rakuten annonce aujourd’hui son partenariat avec Booking.com l’une des plateformes leader dans le domaine du voyage, et propose toujours plus de générosité aux membres du Club R, son programme de fidélité, gratuit et sans engagement, le plus généreux du e-commerce Français.

Pour toute réservation effectuée sur Booking.com, via sa version co-brandée, les membres du Club R, reçoivent 5% de la valeur totale de la transaction en Rakuten Points, qui peuvent ensuite être dépensés dans l’écosystème Rakuten.

A chaque étape du parcours client, de la recherche à la réservation, un badge indique le nombre de Rakuten Points qu’il est possible de gagner en fonction du montant de l’offre. Ils sont ensuite disponibles dès la fin du séjour, même dans le cas d’un paiement réalisé directement auprès de l’hôtel, et ce, sans condition.

Par exemple, une réservation d’une semaine à Val Thorens d’une valeur de 1 000 € sur Booking.com peut se traduire par un remboursement de 50 € en Rakuten Points, à valoir par la suite pour l’achat d’un jeu vidéo sur la plateforme e-commerce ou alors sur la location d’une dizaine de films sur Rakuten TV auquel peut s’ajouter le téléchargement de quelques livres sur Rakuten Kobo.

« Nous associer à des partenaires tels que Booking.com, leader incontesté du tourisme en ligne, est une réelle opportunité que nous sommes heureux de proposer à notre communauté de membres. Nous avons créé le Club R pour récompenser les actions de nos utilisateurs sur la plateforme, comme acheter un produit, le vendre ou encore le commenter, alors pourquoi ne pas également les récompenser pour de la réservation d’hébergements en ligne pour leurs vacances ? » déclare Armando Pastor, Directeur Marketing de Rakuten.

Booking.com rejoint le catalogue des 700 marques affiliées (Sephora, La Redoute, H&M, Nike…) chez qui Rakuten propose un remboursement d’au minimum 5% du montant de l’achat en Rakuten Point, un système de cashback.

Le principe est simple : sans montant minimum, pour chaque achat effectué sur la plateforme (sur les produits neufs comme d'occasion) ou chez les marques et enseignes affiliées partenaires, les membres du Club R perçoivent systèmatiquement des points qui peuvent être dépensés dans tout l’écosystème Rakuten (Rakuten TV, Rakuten Kobo…).

Rakuten est la seule place de marché à proposer un programme de fidélité aussi généreux en France.

Pour en savoir plus sur les marques affiliées, cliquez ici


Rakuten lance sa solution de rachat immédiat et répond à la tendance de la consommation responsable

Acteur historique de la vente de produits d’occasion, Rakuten renforce sa position sur le marché de l’économie circulaire en proposant une alternative à la mise en vente traditionnelle, celle du rachat immédiat.

Rakuten, 1ère marketplace omnicanale de France, offre dès aujourd’hui à ses utilisateurs la possibilité de revendre leur smartphone, tablette ou MacBook, en quelques clics seulement. Proposée en collaboration avec ReBuy, leader européen de rachats de produits électroniques d’occasion, cette solution est simple et accélère la vente de leur produit.

Donner une seconde vie aux smartphones, tablettes, et MacBook

Cette solution de revente immédiate proposée par la place de marché répond à un intérêt grandissant des Français pour les produits reconditionnés. D’après une étude menée en 2018 par Counterpoint Research, ce serait plus de 2 millions de téléphones portables reconditionnés qui auraient été vendus en 2017, soit 10% des ventes en France. Aussi, en 2018, quelque 27% des Français déclaraient avoir déjà acheté un mobile reconditionné, dont 33% des 16-34 ans*.

Une tendance notamment expliquée par l’adoption d’un mode de consommation plus responsable par les Français. En tête des arguments motivant ce changement, le caractère éco-friendly du reconditionné : en effet, selon une étude de Kantar TNS de janvier 2018, parmi les Français qui ont changé de mobile au cours des 12 derniers mois, 71% se disaient intéressés par la revente de leur mobile à un professionnel dont 38% pour une meilleure efficacité environnementale. Juste derrière, le fait d’être payé immédiatement, essentiel pour 36% des Français.

« Alors que les Français militent de plus en plus pour l’adoption d’un mode de consommation plus responsable, Rakuten répond à leurs attentes en leur permettant d’offrir une seconde vie aux smartphones d’occasion et leur donnant l’opportunité de pratiquer la sobriété numérique, » explique Fabien Versavau, PDG de Rakuten en France. « Cette démarche éco-responsable s’inscrit ainsi en faveur d’une autre consommation, plus vertueuse et plus respectueuse de notre environnement. »

Une alternative à la mise en vente traditionnelle

La vente classique d’un article implique parfois des négociations avec l’acheteur, ce qui peut être perçu comme long et comme source de frustrations par les utilisateurs. C’est ici qu’entre en jeu la nouvelle solution de rachat immédiat de la plateforme. Son fonctionnement est très simple : au moment de mettre en vente leur smartphone, tablette, ou Macbook sur la plateforme, les utilisateurs ont la possibilité de consulter une page regroupant tous les modèles repris en solution de rachat immédiat. Lorsqu’ils ont trouvé le leur dans cette liste, un tarif estimé de reprise est affiché. Ils répondent ensuite à quelques questions sur l’état général et de fonctionnement du produit – des exemples et des photos aident le vendeur à valider leurs réponses. Le montant de reprise est alors ajusté.

Si les utilisateurs acceptent la proposition, ils obtiennent un bordereau d’expédition pour envoyer leur colis gratuitement. Une fois l’état du produit vérifié et confirmé par le partenaire, les utilisateurs reçoivent le paiement dans les 14 jours suivants, par virement bancaire ou via PayPal, selon sa préférence. S’ils ne l’acceptent pas, ils ont toujours la possibilité de vendre leur produit de manière traditionnelle (de particulier à particulier) sur la plateforme.

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Pour en savoir plus sur la liste des MacBook repris en rachat immédiat, cliquez ici

*Strategy Analytics, GfK