Portrait : Gende, E-Commerce Consultant
Equipement de la maison, produits culturels ou encore accessoires high-tech, près de 42 millions de Français choisissent de faire leurs achats en ligne.
Bien que cela puisse leur paraitre simple de recevoir leurs commandes en quelques clics, c’est sans compter le travail réalisé en coulisse par les commerçants...
Et oui, vendre en ligne n’est pas toujours évident, en particulier pour les vendeurs qui n’ont souvent ni les connaissances, ni les moyens, financiers ou humains, leur permettant de se digitaliser sereinement.
Chez Rakuten, nous avons une philosophie d'entreprise tout à fait singulière. Rakuten signifie optimisme en japonais, et cela traduit la confiance que nous plaçons dans le potentiel de la technologie à donner aux individus et aux organisations la capacité à saisir toutes les opportunités, et à réaliser leurs projets. C’est pourquoi, soutenir la digitalisation de tous les commerces est notre mission fondamentale depuis 1997, raison pour laquelle nous avons imaginé le métier de E-commerce Consultant – plus communément appelés ECC.
Leur objectif ? Soutenir au quotidien les commerçants, quel que soit leur structure, qui souhaitent développer leur activité en ligne et ainsi toucher une nouvelle audience.
Tout au long de la crise sanitaire de la Covid, les ECC ont donc joué un rôle majeur dans l’accompagnement à la digitalisation des nombreuses TPE/PME qui se sont vues dans l’obligation de fermer boutique. Grâce à eux et au dispositif "E-Commerce pour tous", initié par Rakuten dès les premiers jours de confinement, libraires normands, marchands de jouets bretons ou encore vendeurs de produits reconditionnés alsaciens ont pu maintenir leur activité.
Aujourd’hui, nous souhaitons vous faire découvrir cette profession au cœur de Rakuten, avec Gende, Chef d'équipe ECC high tech.
Peux-tu nous parler de toi ?
Je m’appelle Gendenjamts, mais on m’appelle souvent Gende, c’est plus facile à prononcer ! Je viens de Mongolie, j’y ai vécu toute mon enfance. J’ai ensuite réalisé mes études au Japon où, directement après l’obtention de mon diplôme, j’ai rejoint le siège de Rakuten en tant que ECC.
En 2015, après 10 ans passés au Japon, j’ai déménagé en France. Aujourd'hui, je suis manager de deux équipes d'E-Commerce Consultants et toujours chez Rakuten !
Concrètement, comment aides-tu les commerçants présents sur notre plateforme ?
Rakuten est une plateforme “100% place de marché”, cela signifie que nous ne commercialisons pas de produits en propre. Nous hébergeons des vendeurs et sommes entièrement à leur service, dans le cadre d’une approche partenariale, pour les aider à développer leurs ventes en ligne et avoir un impact positif sur leur activité.
Au vu de notre business model, l’ECC a un rôle primordial, celui d'être proche des vendeurs professionnels et d’établir avec eux une véritable relation de confiance. Nous les assistons par exemple à créer, sur notre plateforme, leur e-shop à leur univers graphique, nous les conseillons quant à l’intégration de leur catalogue. Ça se cristallise également par l’élaboration de stratégies de marketing digital pour les aider à étendre leur présence en ligne, et donc accroître leur chiffre d’affaires, jusqu’à dynamiser celui-ci en magasin, grâce au click & collect. Avec mes équipes, nous les aidons à réaliser leurs ambitions, à rencontrer de nouvelles audiences, à fidéliser leurs clients, à améliorer leurs capacités d’adaptation en somme, et cela, toujours dans le but de répondre aux besoins de consommateurs toujours plus exigeants...
Peux-tu nous présenter tes équipes ?
Je manage deux équipes. L’une est spécialisée High Tech. L’autre est l’équipe Crossboarders.
L’équipe Crossboarders accompagne nos vendeurs internationaux désireux de vendre sur notre plateforme. D’ailleurs, dans cette équipe, nous sommes tous de nationalités différentes (Chine, Italie, Taiwan…) : il n’y a qu’un seul français parmi nous ! Ça rend le travail très enrichissant.
Tu as toujours voulu faire ce métier ?
Je ne connaissais pas ce métier avant d’arriver chez Rakuten, au Japon. C’est quelque chose que j’ai découvert peu après mon arrivée. J’ai rejoint les ECC parce que j’aime le but que poursuit ce département, et les différentes opportunités que ce poste offre.
A quoi ressemble ta journée-type d’ECC chez Rakuten France ?
J’ai des journées très chargées mais très intéressantes. Je commence par la vérification de différents rapports et études de marché, les résultats de la semaine, du mois... Ensuite, j'échange avec mes équipes pour analyser leurs priorités du jour et objectifs à atteindre. On discute des sujets importants à propos de nos clients, puis à l’élaboration et la planification des stratégies pour développer et optimiser leur présence en ligne.
En tant que manager, je traite également de sujets administratifs.
Bref, je ne m’ennuie jamais !
Qu’est-ce qui te plait dans ton métier ?
Être ECC implique un excellent sens du relationnel, être rigoureux en ce qui concerne les législations et régulations de nos vendeurs internationaux. Je profite également d'un emploi du temps flexible et d'une grande autonomie dans les actions et projets que mes équipes et moi proposons à nos clients.
Mais surtout, j’aime élaborer des stratégies avec eux, en particulier lorsque celles-ci portent leurs fruits. Avec nos clients, nous sommes ensemble dans cette aventure, et quand nous réalisons leurs rêves et leurs objectifs, ils sont heureux et moi aussi ! Ça les conforte dans l’idée qu’ils ont fait le bon choix en allant chez Rakuten, et ils reviennent pour nous remercier ensuite, c’est très gratifiant.
Pourquoi as-tu souhaité intégrer Rakuten ?
Acteur majeur du digital, inventeur de la place de marché B2B2C et avec plus de 100 millions de japonais qui ont un compte Rakuten (sur une population qui compte pas moins de126 millions de japonais), c'est difficile de ne pas souhaiter intégrer le groupe... Mais si j'ai décidé de rejoindre Rakuten, c'est avant tout parce que je suis totalement en phase avec sa mission fondamentale, sa vision. Je voulais donc apporter ma pierre à l’édifice.
Puis, plus globalement, je me retrouve également beaucoup dans les valeurs de l’entreprise, et dans ce que nous appelons les Shugis (ndlr : les shugis sont les 5 principes du succès selon Rakuten) dont mon préféré est "Toujours s’améliorer" !
Peux-tu nous partager l'un de tes meilleurs souvenirs chez Rakuten ?
Sans hésitation, mon premier Asakai ! L’Asakai, c’est ce moment où tous les collaborateurs de Rakuten France, accompagnés de notre PDG, se retrouvent le mercredi matin pour partager nos différents projets, en cours ou à venir. L’occasion parfaite pour les nouveaux collaborateurs de se présenter, en chantant devant tout le monde… !
En ce qui me concerne, je voulais absolument chanter en français alors qu’à l’époque je ne le parlais pas du tout. Mes collègues m’ont alors appris les paroles des « Sardines », de Patrick Sébastien… maintenant je parle français...
Portrait : Fatiha, Ingénieur Etudes et Développement
La profession d’Ingénieur remonte à plusieurs siècles ! Et oui, dans l’Antiquité déjà, l’ingénieur est vu comme un « inventeur/bâtisseur » qui réalise des choses de ses mains.
La Révolution Française amène, quant à elle, la création de grands corps techniques qui répartissent les ingénieurs selon leurs qualifications.
Ingénieur Agronome, Ingénieur Génie Civil, Ingénieur Développement… de nos jours, le terme d’ingénieur recouvre, avec la digitalisation du monde, tout un ensemble de métiers tournés notamment vers l’informatique et il existe bon nombre de spécialisations !
C’est notamment le cas du Développeur... qui en fait parti.
Rakuten a à cœur d’améliorer sans cesse l’expérience de ses collaborateurs, de ses membres et de ses clients. C’est pourquoi, en France, Rakuten compte plus d’une trentaine de développeurs répartis en 6 équipes spécialisées (C2C, B2C, App, Buyers, Visitors et Tech) et dévouées à l’optimisation et l’amélioration constante de la plateforme, grâce à leur élaboration de logiciels et d'algorithmes.
A l’occasion de la journée mondiale des Développeurs, nous avons donné la parole à Fatiha, Ingénieur Etudes et Développement, qui nous explique son métier.
Peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Fatiha. Marocaine, je vis dorénavant en France depuis 4 ans. J’ai obtenu mon diplôme de fin d’études en 2017 avant de débuter ma carrière professionnelle en tant qu’Ingénieur Génie Logiciel.
Je parle arabe, français, anglais, et j’ai quelques notions d’espagnol et d’allemand. Les langues m’ont toujours intéressées. D'ailleurs, un développeur c'est finalement un spécialiste des langages… informatiques !
As-tu toujours souhaité faire ce métier ?
Plus jeune, je voulais être avocate, mais j’ai vite réalisé que j’étais beaucoup plus douée pour les mathématiques et la physique. Je ne voulais pas gaspiller mes capacités en étudiant le droit, donc je me suis engagée dans l’ingénierie. J’ai fait des études pour découvrir ce que je voulais vraiment devenir. C’était le but de ma classe préparatoire. Et cela m’a été fort utile puisque j’ai découvert l’algorithmique, soit ma vocation, à l’âge de 20 ans ! J’ai alors poursuivi par une école d’Ingénieur Informatique, où je me suis spécialisée en génie logiciel. J’ai commencé ensuite mes expériences professionnelles en Recherche et Développement, avant d’être recrutée chez Rakuten, il y a maintenant 1 an, en tant qu’Ingénieur Etudes et Développement dans l’équipe Search.
Qu’est-ce qui t’a attiré chez Rakuten ?
Les technologies, les langages informatiques utilisés m’ont tout de suite attirés, sans parler des logiciels avec lesquels je voulais vraiment travailler.
J’apprécie également que Rakuten responsabilise rapidement les jeunes employés : être compétent et proactif est plus important qu’être le plus âgé.
Peux-tu nous raconter comment s’est passé ton processus de recrutement ?
J’ai eu 3 entretiens. Le premier s’est déroulé avec les Ressources Humaines, un entretien pour connaitre ce que je voulais, qui j’étais... J’ai ensuite rencontré le Tech Lead pour évaluer mes capacités techniques. Enfin, je me suis entretenue avec le Product Owner, qui m’a expliqué les missions, les objectifs et l’équipe avec laquelle j’allais collaborer… Pendant tout le processus de recrutement, tout le monde a été bienveillant.
Quel est le rôle d’un Développeur ?
Le Développeur doit choisir une spécialisation : préfère-t-il se concentrer sur le développement front ou back ?
L’Ingénieur Back est la personne qui s’occupe de tout ce que l’utilisateur ne voit pas, c’est ce qui se passe dans les coulisses. Ainsi, un site internet est composé de deux parties : le front (les boutons, les touches, les images, toute l’harmonisation qui fait qu’on a un visuel) et le back : le fait de cliquer sur un bouton va entrainer une action, nous rediriger vers une nouvelle page par exemple. Le Développeur Back a la charge de tous les algorithmes qui font tourner un site internet.
Le Développeur va réaliser un travail très technique et poussé. Il va être amené à faire de la conception, des études pour conceptualiser une fonctionnalité, un nouveau besoin. On recherche constamment comment améliorer notre performance. De fait, mon travail va au-delà des simples calculs et du code : je recherche également des solutions. Par exemple, je peux avoir une tâche qui a pour but d’améliorer le moteur de recherche du site internet. Je vais donc d’abord réaliser une étude sur les données que nous possédons déjà et de là, développer un algorithme qui va apporter de la pertinence à la recherche.
Selon toi, quelles sont les compétences indispensables pour devenir Ingénieur Développeur ?
La curiosité et la persévérance sont des qualités fondamentales. Avoir de bonnes capacités d’analyses est également indispensables : nous évoluons quotidiennement dans un univers de chiffres et de données, il faut savoir les interpréter.
Enfin, ma devise : rien n’est impossible et il y a toujours une solution !
Parle nous de ton équipe
L'équipe Search est relativement restreinte. Elle fait partie d’une entité plus conséquente appelée Visitors. Elle se compose de deux Développeurs, un Tech Lead et un Product Owner.
Être une petite équipe nous est bénéfique : cela nous permet d’être plus efficace et résilient, rend les échanges plus fluides pour aborder les projets de manière différente et apporte un équilibre et une grande richesse.
Comment se déroule ta journée ?
La journée commence toujours par une réunion afin de discuter de nos avancements, des projets qu’il nous reste à réaliser, des problèmes que nous rencontrons. C’est un rituel. Généralement, elle s’en suit d’une seconde réunion qui est davantage dédiée à un seul projet pour analyser les différentes tâches à répartir entre les Développeurs selon leur spécialisation. Après la création de codes et d’algorithmes, nous réalisons un test de Quality Assurance, sans quoi nous ne saurions avancer dans notre projet, afin de vérifier sa viabilité.
La journée se conclue souvent par des jeux, un verre tous ensemble, … afin de se détendre et de fédérer l’équipe.
Et soyons honnête, le déjeuner et les pauses café sont aussi des moments incontournables de notre journée. Un Développeur a absolument besoin de café s’il veut pouvoir coder toute la journée ! Mais s’il veut être « cool », il boira du thé matcha.
L’impact de la crise sanitaire sur la situation économique des 18-25 ans et leurs modes de consommation
Rakuten France et l’Ifop dévoilent une étude présentant l’impact de la crise sanitaire sur la situation économique des 18-25 ans et leurs modes de consommation
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- Près de 9 jeunes sur 10 déclarent avoir déjà acheté des produits de seconde main et près d’un tiers d’entre eux (28 %) ont l’intention d’accroître ce mode d’achat.
- Une rentrée universitaire sous le signe du reconditionné : 6 étudiants sur 10 (61 %) déclarent souhaiter acheter au moins un produit d’équipement bureautique (ordinateur, imprimante) de seconde main pour la rentrée.
Rakuten, plateforme d’e-commerce, pionnière de l’économie circulaire en France et présente également sur le segment du neuf, a réalisé avec l’Ifop* une étude sur l’essor de la seconde main auprès d’une cible de consommateurs français fortement impactée par la crise sanitaire à tous les niveaux, qu’ils soient sociaux ou économiques : les 18-25 ans.
Les 18-25 ans : une génération affectée par une crise sans précédent qui a bouleversé les modes de consommation
Une situation tristement généralisée... Près de 3 jeunes sur 10 déclarent que leur situation économique s’est détériorée depuis la crise de la Covid-19, générant un impact sur leurs modes de consommation. Cette tendance est notamment plus importante chez les jeunes inactifs puisque 39 % d’entre eux ont vu leur situation financière se dégrader considérablement.
… qui va de pair avec une baisse dans les achats. 70 % des jeunes adultes ont dû revoir à la baisse certains postes de dépense avec en tête l’habillement (52 %), l’équipement de la maison (47 %) et les produits culturels (45 %). Ces chiffres s’élèvent à 76, 57 et 50 %, respectivement, pour les jeunes n’habitant plus chez leurs parents, particulièrement impactés.
Un changement dans les habitudes d’achat, en faveur de la seconde main.
82% des personnes interrogées achetaient déjà des produis de seconde main avant la Covid-19. Cependant, 41 % d’entre eux déclarent désormais consommer davantage de produits de seconde main depuis le début de la pandémie. Dans cette optique, la crise sanitaire a été un élément déclencheur pour 1 acheteur sur 5.
Pour les jeunes ayant vu leur situation économique se détériorer à cause de la crise sanitaire, on constate notamment un impact important sur leurs dépenses consacrées aux études et à la culture :
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- 29 % d’entre eux ont réduit leurs dépenses en matière d’équipements scolaires (ordinateur, imprimante)
- 58 % ont diminué leurs dépenses pour l’achat de téléphones/smartphones
- 71 % ont baissé leurs dépenses sur les produits culturels
Une rentrée sous le signe du reconditionné
Dans ce contexte, la rentrée universitaire semble se placer sous le signe de l’essor de la seconde main, et notamment du reconditionné, avec un intérêt grandissant pour les produits high-tech.
En effet, 68 % des 18-25 ans acheteurs de produits de seconde main déclarent avoir déjà fait l’acquisition d’un produit de téléphonie/smartphone reconditionné ou avoir l’intention d’en acheter prochainement. L’achat ou l’intention d’acheter un produit de téléphonie/smartphone reconditionné est plus particulièrement marqué chez les jeunes qui ont vu leur situation économique se détériorer depuis la crise du COVID-19 (73%)
En ce qui concerne l’équipement bureautique (ordinateur, imprimante), 55 % des 18-25 ans acheteurs de produits de seconde main se sont déjà équipés de matériels reconditionnés ou envisagent de le faire.
Au total, 1/3 des étudiants, soit 34 %, prévoient d’acheter majoritairement au moins un produit d’équipement bureautique ou de téléphonie/smartphone de seconde main pour la rentrée.
La seconde main, une tendance durablement installée…
L’enthousiasme de la génération Z pour la seconde main s’explique par son adéquation aux enjeux économiques et environnementaux de notre époque et sa contribution à l’économie circulaire.
71 % des jeunes de 18 à 25 ans placent l’aspect économique en premier motif de leur préférence pour les produits de seconde main et 58 % la plébiscitent parce qu’elle permet des « offres de plus en plus intéressantes ». Mais les jeunes valorisent également la dimension durable de ces achats, qui répond à leurs préoccupations environnementales : 57 % affirment qu’il s’agit d’un facteur important dans leur décision, 53 % estiment que les achats de seconde main permettent de favoriser l'économie circulaire et d’éviter la surconsommation.
Loin d’être un phénomène de mode, la seconde main s’avère ainsi une tendance installée : chez les 18-25 ans, près de 9 personnes sur 10 (86 %) ont déjà acheté des produits de seconde main. Une dynamique très forte puisque 94 % des acheteurs de produits de seconde main ont l’intention de poursuivre ce mode de consommation et 28 % ont même l’intention d’intensifier ce mode d’achat.
… mais qui se concentre encore principalement sur de « petits achats »
La tendance de la seconde main se concentre particulièrement sur les petits achats. En effet, les jeunes conservent une forme de méfiance et d’appréhension quant à un potentiel déficit de qualité sur les produits de seconde main. La préférence pour l’achat de produits neufs, le manque de confiance dans la qualité des produits et la méfiance sur l’hygiène des produits qui ont déjà été utilisés, sont identifiés comme les trois principaux freins à l’achat par 66, 65 et 59 % des répondants respectivement.
En l’absence de garanties, les achats de seconde main représentent plutôt des produits de « petits prix » : 8 acheteurs sur 10 optent pour des achats de seconde main de moins de 50 euros. Les produits culturels, l’habillement, et l’équipement de la maison s’avèrent être les principales catégories de produits achetés en seconde main.
*Source Médiamétrie, donnée constatée au Q4 2020
Méthodologie
L’étude Rakuten – Ifop visant à cerner les habitudes d’achats et attentes de étudiants et des jeunes adultes sur le marché de l’occasion, a été réalisée auprès d’un échantillon national de 1 001 individus agés de 18 à 25 ans. L'enquête a été menée en ligne entre le 4 et le 11 juin 2021.
Rakuten lance « Reconditionné CeRtifié » : la garantie du neuf, le prix du reconditionné
Fort du constat que le manque de garanties par rapport aux produits neufs est le premier motif d’hésitation des consommateurs vis-à-vis du reconditionné, Rakuten lance Reconditionné CeRtifié, une offre inédite sur le marché qui assure aux acheteurs la garantie du neuf au prix du reconditionné.
Disponible à partir du 2 septembre, Reconditionné CeRtifié a pour but de renforcer la confiance et la satisfaction client des membres de la communauté du Club Rakuten et consommateurs de seconde main de la plateforme. Cette garantie contractuelle, offerte et d’une durée de 2 ans, complète la garantie légale et assure une conformité pour tout achat de produit reconditionné. Elle est éligible dans un premier temps sur les smartphones.
En complément, tous les accessoires vendus avec un produit Reconditionné CeRtifié sont neufs, et une période de rétractation de 30 jours est également possible.
Pour vendre des produits éligibles à cette garantie exceptionnelle et être labellisés Reconditionné CeRtifié, les vendeurs devront répondre à plusieurs critères de sélections stricts : la qualité des produits vendus, le faible taux de réclamation et la gratuité de l’envoi.
Une garantie très attendue des jeunes consommateurs, en recherche d’une consommation plus responsable
C’est ce qui émerge de l’étude réalisée par Rakuten avec l’Ifop*, dévoilée aujourd’hui, sur l’essor de la seconde main dans la GenZ, marquée par la crise sanitaire et ses effets sociaux et économiques.
Loin d’être un phénomène de mode, la seconde main s’avère une tendance installée auprès des 18-25 ans : en effet, près de 9 personnes sur 10 (86 %) ont déjà acheté des produits de seconde main. Une dynamique très forte puisque 94 % des acheteurs de produits de seconde main ont l’intention de poursuivre ce mode de consommation et 28 % ont même l’intention d’intensifier ce mode d’achat.
Cependant, cette tendance se concentre particulièrement sur les petits achats (8 acheteurs sur 10 optent pour des achats de seconde main de moins de 50 euros), les jeunes conservant une forme de méfiance et d’appréhension quant à la qualité des produits de seconde main en l’absence de garanties.
La préférence pour l’achat de produits neufs, le manque de confiance dans la qualité des produits et la méfiance sur l’hygiène des produits qui ont déjà été utilisés, sont identifiés comme les trois principaux freins à l’achat par 66, 65 et 59 % des répondants respectivement.
La nouvelle garantie Reconditionné CeRtifié proposée par Rakuten a été imaginée pour lever ces freins et promouvoir la démocratisation d’une consommation plus responsable auprès de l’ensemble des consommateurs.
Une garantie qui s’inscrit dans un écosystème vertueux en faveur de l’économie circulaire
Reconditionné CeRtifié vient compléter les engagements de Rakuten en matière d’économie circulaire. La garantie fait suite au lancement début juillet du badge Vision’R qui pousse un cran plus loin l’investissement unique de Rakuten en faveur du pouvoir d’achat en récompensant l’achat de produits de seconde main et encourage ainsi une dynamique vertueuse en matière de consommation responsable.
Avec 2 produits sur 3 vendus sur la plateforme qui sont de seconde main et un catalogue de 45 millions de produits disponibles, dont près de la moitié proposée par des particuliers, Rakuten est aujourd’hui l’un des leaders de la seconde main sur le marché français.
« Sur la seconde main, nous voulons aller encore plus loin et porter la croissance en France. Elle est au cœur de notre promesse de commerce à impact positif, sur le plan environnemental notamment, mais aussi social. Notre objectif, à travers la garantie Reconditionné CeRtifié, le badge Vision’R et les offres que nous lancerons dans les prochains mois, est de contribuer et encourager au développement de cette consommation plus responsable en répondant aux attentes des consommateurs », déclare Fabien Versavau, PDG de Rakuten France.
*Source Médiamétrie, donnée constatée au Q4 2020
Méthodologie
L’étude Rakuten – Ifop visant à cerner les habitudes d’achats et attentes de étudiants et des jeunes adultes sur le marché de l’occasion, a été réalisée auprès d’un échantillon national de 1 001 individus agés de 18 à 25 ans. L'enquête a été menée en ligne entre le 4 et le 11 juin 2021.
Signature de la Charte d’engagements pour la réduction de l’impact environnemental du commerce en ligne
Rakuten fait un nouveau pas en faveur d’un e-commerce responsable en signant la Charte d’engagements pour la réduction de l’impact environnemental du commerce en ligne.
Rakuten se félicite d’être parmi les premiers signataires de la nouvelle Charte d’engagements pour la réduction de l’impact environnemental du commerce en ligne, dévoilée aujourd’hui par Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique et Cédric O, secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique.
Conçue en étroite collaboration avec de nombreux acteurs de l’e-commerce signataires, cette charte établit des engagements ambitieux, en termes d’information du consommateur, d’emballages et de logistique, pour répondre aux défis environnementaux du commerce en ligne. Engagé de longue date pour un e-commerce vertueux qui profite à tous, Rakuten a naturellement été partie prenante de cette initiative marquant une nouvelle étape dans le développement d’une filière écoresponsable en France.
Pionnier de l’économie circulaire en France, Rakuten a récemment lancé Vision’R, une offre unique dans l’e-commerce français pour inciter à l’achat de produits de seconde main en les récompensant de gains supplémentaires de pouvoir d’achat. La plateforme contribue également à la sensibilisation de ses utilisateurs à une consommation plus responsable en indiquant, pour chaque produit consulté, les émissions qui peuvent être évitées pour réduire l’empreinte carbone en faisant le choix de la seconde main plutôt que du neuf.
D’autres actions allant dans ce sens seront annoncées à partir du mois de septembre. En se conformant à la Charte d’engagements, Rakuten continuera d’avancer sur cette lancée et travaillera main dans la main avec ses partenaires et ses clients pour mettre en place les standards écologiques qui seront la norme de l’e-commerce de demain.
Pour découvrir la liste des premiers signataires et télécharger la charte d’engagements des acteurs du commerce en ligne, cliquez ici
La seconde main, une étape clé vers une nouvelle société de consommation
La seconde main a fait son chemin dans l’esprit des Français. Elle s’est imposée comme un véritable phénomène de société, marquant un changement irréversible dans notre rapport à la consommation. Parce qu’elle réconcilie des enjeux économiques et environnementaux en prise directe avec nos vies, et des aspirations humaines très profondes, la seconde main est là pour durer.
D’abord, parce qu’elle perpétue une pratique économique très ancienne, universelle, à laquelle la technologie donne une dimension sans précédent. Ce qui, avant, posait problème, c’était la mise en relation, la difficulté à s’adresser à une quantité suffisante d’acheteurs potentiels, au-delà de son cercle proche. Pour dire les choses autrement : on vendait d’occasion, quand l’occasion s’en présentait. La technologie des plateformes a permis une systématisation, une agrégation de flux marchands autrefois diffus.
Grâce à cela, le commerce de seconde main permet à l’acheteur de faire des économies en trouvant le même objet moins cher, et donc d’améliorer son pouvoir d’achat. Même chose côté vendeur : c'est une manière d'optimiser ce que vous « stockez », et de libérer ce dont vous n'avez plus besoin. En langage économique, c’est arrêter d’immobiliser des actifs. Or, les objets dont on n’a plus besoin, c’est du pouvoir d’achat qui dort… Là encore, la technologie des plateformes crée un marché liquide pour ces objets. Pour les particuliers, la revente était souvent compliquée ; c’est devenu un geste banal. Au pouvoir d’achat, s’est ajouté le pouvoir de vendre.
Mais l’envie de « consommer autrement » s’appuie sur d’autres déterminants puissants, notamment la recherche d’une consommation plus responsable. La prise de conscience planétaire en faveur de la transition écologique a fait évoluer les comportements d’achat. Chacune et chacun aspire à apporter sa contribution, même modeste. La seconde main, tout le monde l’a compris, c’est une consommation plus sobre en carbone, et donc un impact direct sur le réchauffement climatique.
Un regard plus sociologique permet aussi de voir dans la seconde main l’expression d’une aspiration fondamentale, constitutive des sociétés humaines. La seconde main, c’est en effet une forme de partage, une manière de libérer des produits qui vous ont réjoui mais dont vous n'avez plus besoin (vos enfants ont grandi, vos goûts ont changé…) pour que d’autres puissent à leur tour en profiter.
Ainsi, les achats « pour la vie » sont devenus l’exception. De plus en plus, on achète un objet pour sa valeur d’usage, à un moment donné et pour une durée souvent limitée. Une fois le plaisir émoussé, le besoin passé, on revend. L’objet aussi est devenu un service.
Enfin, et c’est fondamental, la seconde main est la source d’un plaisir unique : celui de dénicher l’objet rare, qu’on ne trouve plus en rayon ... Aujourd’hui, on chine plus en ligne qu’à la brocante. Ainsi, à la rationalité de l’achat s’ajoute la notion de plaisir, qui est au cœur même de l’expérience d’achat. D’ailleurs, la croissance des achats de seconde main porte majoritairement sur trois catégories « reines » : les loisirs, la mode et le high-tech.
Le commerce de seconde main répond donc au besoin de rationalité et d’efficience économique, à l’impératif écologique, au besoin de partage et à la recherche du plaisir. C’est tout sauf la gestion de la rareté des ressources dans un monde tristement malthusien. Ce mode de consommation est absolument complémentaire à l’achat de produits neufs, lui aussi en plein essor, et toujours indispensable, ne serait-ce que pour l’innovation, pour mettre sur le marché des produits différents, plus performants. Le neuf, c’est l’assurance du progrès !
Loin des positions trop tranchées sur le sujet et des injonctions à la décroissance, on voit que notre meilleur avenir sera dans l’équilibre entre le neuf et la seconde main. Chaque objet est amené à vivre un cycle de vie plus riche, d’abord comme produit neuf, puis passant de main en main pour retrouver à chaque fois une plus grande valeur d’usage, jusqu’au recyclage.
Dans cet équilibre s’esquisse une nouvelle société de consommation, corrigeant les excès des décennies passées et prenant enfin la mesure des défis écologiques, tout en conservant ce qui est au cœur de l’acte d’achat : le plaisir.
Par Fabien VERSAVAU, PDG, Rakuten France
Portrait : Suhaib, Data Scientist
Data Scientist, Data Analyst, Data Officer... pas simple de comprendre le rôle de ces métiers du Big Data, métiers issus de cette nouvelle génération d’emplois créés grâce au digital, à la donnée, à la technologie…
Des métiers déconcertants à leurs débuts et qui, pourtant, ont su s’imposer jusqu’à connaître une ascension fulgurante et devenir l’un des secteurs les plus prisés des jeunes diplômés des plus grandes écoles d’ingénieurs, et ce, partout dans le monde.
Les métiers du Big Data, sont sans aucun doute aujourd’hui un pilier de la croissance mondiale. Devenus incontournables, leur maîtrise est indispensable pour n’importe quelle entreprise actuelle.
Chez Rakuten, les nombreux moyens dont nous disposons pour développer le trafic sur la plateforme (affiliation, acquisition, notre catalogue de plusieurs millions de produits neuf et de seconde main...), génèrent inévitablement une quantité très importante de données issue de différents outils, qui elles-mêmes constituent des informations primordiales pour définir les tendances de consommation de notre communauté de 10 millions de membres d'acheteurs et de vendeurs inscrits au Club R.
Nous avons donc demandé à Suhaib de nous présenter son rôle tant convoité de Data Scientist pour mieux comprendre son quotidien.
Mais pour commencer, revenons un peu sur l’histoire de la Data Science...
Tout a commencé.... dans les années 60’s !
C'est à John W. Tukey, que l’on doit le terme « Data Analysis ». Déjà à l’époque, le traitement d’un grand nombre de données pour en extraire des tendances relevait plus d’une science empirique que des mathématiques pures.
Plus de 10 ans plus tard, les entreprises se rendent comptent des quantités faramineuses d’informations dont elles disposent et commencent alors à réfléchir à la meilleure manière de les exploiter afin de créer des parcours clients adaptés.
Puis dans les années 2000, la Data Science émerge véritablement. Les premiers magazines dédiés sont publiés.
Mais c’est à partir de 2009, que l’explosion du terme « Data Science » est amorcée, grâce à une interview de Hal Varian, l’économiste en chef de Google, pendant laquelle il a déclaré que les statisticiens auraient le job le plus « sexy » des 10 prochaines années. Il a même ajouté que la capacité à extraire des informations pertinentes à partir de données brutes serait l’un des métiers les plus importants des années à venir. Il ambitionnait déjà l’importance de maîtriser la data, qu'elle soit accessible à tous, bref, que l’avènement de la Data Science approchait.
A peine quelques années plus tard, l’engouement pour la Data Science est tel que sur l’année 2012 les offres d’emploi pour le poste de Data Scientist ont bondi de +15 000 %*
Bonjour Suhaib, peux-tu te présenter ?
Je suis Data Scientist SEO et j’ai rejoint Rakuten en 2020, plus précisément, le 9 mars, quelques jours à peine avant le début du tout premier confinement. Une arrivée donc un peu spéciale !
Quel est concrètement ton rôle chez Rakuten ?
Vous savez, chez Rakuten, en tant que plateforme e-commerce, nous avons des millions de pages à étudier, donc nous ne pourrions pas traiter les données manuellement, c’est impossible. Mon rôle est donc d’accélérer les process, de plonger au cœur de ces données pour extraire des analyses, prédire et anticiper nos actions.
Avec l’aide de l’équipe dédiée qui compte un peu moins d’une dizaine de personnes, mon objectif est de transformer le pôle SEO qui innove sans cesse grâce à des modèles de Machine Learning et d’Intelligence Artificielle qui vont traiter la Data, omniprésente, pour améliorer notre positionnement, notre ranking lors des recherches Google, notamment. Mais c'est surtout de faire des prévisions les plus justes afin d'ajuster la stratégie de Rakuten.
Quelle est la différence entre un Data Analyst et un Data Scientist ?
Pas simple de connaitre la différence. Il faut d’abord comprendre qu’il y a plusieurs étapes dans le traitement des données : il faut évidemment les chercher avec un Data Engineering, puis, une fois récupérées en format brut, il faut les traiter, les nettoyer, les mettre en forme, ... bref, les rendre exploitable !
Selon moi, le Data Analyst va intervenir dans l’analyse des données qui sont déjà « nettoyées », il n’y a pas ou peu de Machine Learning, d’IA, pas de programmation.
Un Data Scientist, c’est plus complexe. Nous allons nous concentrer sur les formats des données. Une fois ces dernières nettoyées, on peut ensuite créer des modèles d’analyse qui permettront alors de réaliser des prévisions. Et pour cela, nous devons savoir programmer, développer. Parce que oui, en SEO, nous sommes capables de prédire les visites de nos pages jusqu’à 2 ans et ainsi être susceptible d’affirmer qu’il est nécessaire de se concentrer sur telle ou telle page pour augmenter le trafic, lancer davantage de projets, etc.
Qu'est-ce qui te plait le plus en tant que Data Scientist ?
TOUT ! C'est passionnant. Nous sommes constamment dans une logique et une approche de Test & Learn.
Ça ne marche pas ? Ok, on recommence, on essaye avec un autre algorithme ! Et puisqu’il s’agit d’un métier récent, il y a pleins de choses que l’on peut expérimenter. On en apprend tous les jours.
Pourquoi as-tu décidé de t’orienter dans cette voie ?
Plus jeune, je rêvais d’être médecin. Mais fan de nouvelles technologies, j’étais surtout curieux de comprendre le fonctionnement de sites comme Facebook. Alors en première année de licence, je me suis posé la question : et si je faisais une licence de traitement informatiques des langues ?
J'ai ensuite poursuivi avec un master Data Science pour travailler sur le texte mais de manière automatique, comme par exemple avec Siri sur Apple. C’est fascinant d’être à l’intersection entre le langage naturel et l’IA.
J'adore, et pour rien au monde, je ferai autre chose !
Quelles sont les compétences indispensables pour un Data Scientist ?
Savoir programmer évidemment mais la partie technique ça s’apprend ! Il faut surtout avoir une certaine vision de la donnée . Il faut être capable d’identifier une problématique. Par exemple, un Développeur et un Data Scientist ne vont pas avoir la même construction d’un projet. Il est donc primordial de savoir comment traiter la donnée brute. La construction d’un projet est une étape très importante parce que c’est à partir de là, qu’ensuite, on s’oriente vers la programmation.
Et être Data Scientist chez Rakuten France ?
Chez Rakuten, non seulement, il y a un trésor de données à exploiter mais aussi une réelle synergie entre les équipes qu’on ne trouve pas partout.
On partage par exemple nos projets avec nos homologues situés au siège, au Japon. C'est intéressant de voir la différence entre nos 2 pays, c’est une réelle valeur ajoutée en termes d'apprentissage. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, nous sommes finalement assez complémentaires.
Nous échangeons aussi beaucoup avec Rakuten Institute of Technology, l'entité du groupe dédiée à la recherche et au développement.
*Source: la revue ValueWalk
L’ikigai, pour un nouveau rapport au travail
Par Fabien Versavau, PDG Rakuten France
Depuis une quinzaine d’années, les nouvelles technologies informatiques et le boom des connectivités questionnent notre organisation du travail ; le « future of work » a ainsi fait l’objet d’innombrables articles ou conférences. Mais, en réalité, il a fallu une crise d’ampleur mondiale pour que les lignes bougent enfin. Et c’est dans le chaos engendré par l’épidémie de COVID, que nous avons retrouvé la piste de ce que les Japonais appellent l’ikigai.
Car malgré les nouveaux outils de productivité, malgré un débat public riche sur « le futur du travail », et malgré la multiplication des chief happiness officers, dans les faits, les entreprises trainaient des pieds pour changer leurs manières de faire. Ce futur si désirable, où nous devions mieux concilier vie professionnelle et vie personnelle, en nous libérant notamment de la contrainte de la présence au bureau chaque jour à heures fixes, se faisait attendre. Et jusqu’à l’année dernière, toute l’organisation du travail n’avait en réalité que marginalement évolué depuis la généralisation du travail de bureau au milieu du 20e siècle.
Et puis, au printemps dernier, tout a changé. Le conservatisme des entreprises s’est heurté de plein fouet au mur de la crise sanitaire, un stress test extrême pour les organisations, qui a fait voler en éclat – irréversiblement, j’en suis convaincu – les schémas classiques. Nous avons adopté, massivement et quasi-instantanément, une organisation radicalement différente, fondée sur l’utilisation massive des technologies digitales et des réseaux très haut débit. Le télétravail, les réunions à distance se sont généralisées, les déplacements ont été annulés et les communications digitales se sont multipliées : emails, messageries instantanées comme Viber ou Olvid, systèmes de travail collaboratifs intégrés comme Slack ou Teams, visioconférences… Cette organisation ne devait être que temporaire, pour faire face. Mais après un an de ce régime d’exception, on peut légitimement se dire que notre monde a changé.
Je suis de ceux qui n’ont jamais vraiment cru à la rhétorique du « monde d’après ». Parce que ce « monde d’après », tellement fantasmé, n’est en fait qu’une version améliorée du monde d’aujourd’hui, une version plus humaine que j’appelle de mes vœux depuis longtemps. Car cette crise a révélé des mutations à l’œuvre depuis des années, qui s’inscrivent dans un temps beaucoup plus long et qui portent en elles les germes du progrès. Contrairement à l’idée reçue qui voudrait que « le monde du travail, c’était mieux avant », en réalité, la technologie n’a eu de cesse depuis 50 ans d’améliorer notre qualité de vie au travail. En permettant une amélioration de la productivité, elle a rendu le travail plus compatible avec nos vies personnelles et nous a donné plus de liberté.
Alors oui, nous ressentons tous une grande fatigue de ce télétravail systématique. Oui, passer nos journées « en visio » est usant. Et oui, les contacts quotidiens « en vrai » avec nos collègues nous manquent. Mais reconnaissons que conserver certains aspects de cette nouvelle organisation, à dose modérée, serait positif : par exemple, pouvoir télétravailler un ou deux jours par semaine, garder de la flexibilité sur notre présence au bureau, ou encore réduire les déplacements inutiles. Et bientôt, la télé-présence en réalité virtuelle immersive permettra encore plus de fluidité.
Prenons encore un pas de recul. Pour beaucoup d’entre nous, cette crise, aussi terrible qu’elle ait été par ailleurs, a aussi été l’occasion de découvrir d’autres équilibres. Elle nous a permis de passer plus de temps avec nos enfants ; parfois en y étant forcés, mais souvent avec plaisir. Ce changement a été l’occasion de remettre en cause nos modes de vie, pour retrouver davantage de sens dans nos journées, en réconciliant la personne que l’on est au travail et celle de sa vie personnelle. Cette crise a aussi été le moment de repenser notre rapport à la nature. Elle a poussé certains citadins, parmi ceux qui en avaient la possibilité, à fuir les grandes villes, et à apprécier la possibilité d’avoir un extérieur, un coin de verdure. Enfin, alors que les contacts avec nos proches se sont faits plus rares, nous apprécions d’autant plus les moments privilégiés que nous pouvons passer avec eux. Grâce aux progrès technologiques, nous avons la possibilité de conserver, demain, ce rapport plus équilibré à notre vie personnelle.
Sur toutes ces mutations à l’œuvre, sur cette révolution du rapport au travail, à notre entourage, à nos vies, il peut être utile de mettre un nom : « l’ikigai ».
Dans la culture japonaise, le concept d’ikigai conjugue la recherche du sens, de la raison d’être, et la joie de vivre. C’est le bonheur profond de vivre la vie que l’on doit mener, en harmonie avec son environnement, à sa juste place. Pour les Japonais, il s’agit non seulement d’un concept philosophique, d’un sens profond de la vie, mais aussi de quelque chose de plus léger et joyeux qui peut habiter, et enchanter, des moments ordinaires de notre vie. C’est aussi, pour les jeunes générations, une manière différente d’envisager le rapport au travail.
Grâce à la technologie, à la digitalisation du travail, nous avons les outils pour changer le monde du travail, pour y permettre une plus grande satisfaction des salariés. Contrairement à ce que disent les esprits chagrins, l’intelligence artificielle ne sera pas le fossoyeur d’un travail épanouissant. Bien au contraire… Elle nous offrira un nouveau mode de vie, plus riche, et de nouvelles façons de se réaliser. L’ikigai a surement un bel avenir devant lui !
Journée mondiale de la lutte anti-contrefaçon
Avec la multiplication des plateformes e-commerce et des ventes en ligne réalisées sur celles-ci (selon la Fevad, le chiffre d’affaires du e-commerce français a progressé de +14,8 % au premier trimestre 2021 sur un an), la lutte anti-contrefaçon est plus que jamais un sujet d’actualité.
Rakuten, qui se positionne comme un intermédiaire de confiance entre les acheteurs et les vendeurs, est engagé depuis plus de 15 ans pour endiguer ce phénomène, en sécurisant les transactions et contrôlant la qualité des produits vendus sur sa plateforme grâce à une équipe d’experts et à une approche par Intelligence Artificielle.
Au-delà des obligations légales et des moyens humains déployés, avec une équipe technique dédiée à la lutte contre la mise en vente de produits dangereux et/ou contrefaisant, Rakuten investit massivement sur les moyens technologiques, et développé une technologie unique de surveillance et de contrôle, basée sur du Machine Learning.
Les équipes du Rakuten Institute of Technology ont en effet imaginé de nombreux algorithmes capables d’identifier toute anomalie quant aux produits mis en vente. L’IA ainsi intégrée par Rakuten au sein de sa plateforme permet d’engager des actions efficaces pour assurer la sécurité et la satisfaction de ses 10 millions de membres de sa communauté, le Club R.
Au moyen d’un moteur de règles connecté à sa base de données transactionnelles, Rakuten détecte également en amont tout comportement frauduleux des vendeurs et adopter une attitude proactive dans la lutte anti-contrefaçon[1]. En cas d’alerte, les annonces suspectes sont envoyées automatiquement en observation, 24 heures sur 24, et sont traitées manuellement par une équipe composée d’une dizaine de personnes.
Dans les très rares cas de vente d’un produit contrefaisant, Rakuten donne la possibilité à l’acheteur d’ouvrir une réclamation et demande alors le retour immédiat du produit dans ses locaux afin de minutieusement l’analyser. L’équipe dédiée de Rakuten échange ensuite systématiquement avec les vendeurs concernés et traite leur situation individuellement. Quant à l’acheteur, si sa réclamation est justifiée, celle-ci est remboursée quoi qu’il arrive, grâce à la garantie Tiers de Confiance qui le protège gratuitement.
Enfin, pour parfaire son expertise dans la détection de produits contrefaisants, Rakuten rencontre régulièrement les marques, notamment des secteurs les plus exposés (luxe, jouets, high-tech), qui proposent des formations similaires à celles dispensées aux agents douaniers afin d’identifier les éléments à inspecter.
[1] En complément, et concernant les produits dangereux, l’équipe dédiée de Rakuten se base évidemment sur le système d’alertes européen garant de la sécurité des produits Rapex, qui regroupe tous les produits présentant un danger. Des mots-clés sont alors définis grâce à ce système afin d’identifier les annonces de produits à risque sur la plateforme.
Rakuten lance son premier Live Shopping, en mode inclusif
Lancé en partenariat avec la plateforme Quidol, ce nouveau format vidéo live permettra à Rakuten de présenter en direct des thématiques fortes : son club d’acheteurs et vendeurs redistributif, la vente entre particuliers, le reconditionné et un focus sur les produits high tech.
Ces soirées Live Shopping sont prévues jusqu’au 6 juillet.
Dans la continuité de sa démarche en faveur d’une valorisation et digitalisation de toutes les formes de commerce, Rakuten mise aujourd’hui sur le succès du live streaming pour proposer à tous des contenus plus authentiques, interactifs et engageants.
Associant divertissement et innovation retail, Rakuten invite sa communauté à une nouvelle expérience du e-commerce. Lors de ces sessions, ouvertes à tous, chacun aura la possibilité d’interagir et poser toutes ses questions aux invités et animateurs du live, qui pourront y répondre, réaliser des démos ou encore scénariser les produits ou services présentés.
Une 1ère session Club’R Everywhere, mardi 8 juin à 19h
Lors de la première session, Rakuten présentera le modèle rétributif du Club R et plus particulièrement le Club R Everywhere, son programme d’affiliation avec plus de 1 300 marques partenaires (Nike, Booking, Asos…), en valorisant 5 d’entre elles sur lesquelles seront valables une remise exceptionnelle de 20% en Rakuten Points.
Les participants profiteront également d’un jeu concours avec à la clé 4 lots de 100€ à dépenser librement sur la plateforme.
Présente aux côtés de l’animatrice de la session, l’influenceuse La Pote Gênante partagera son expérience en tant qu’acheteuse et membre du Club R.
4 rendez-vous Live Shopping jusqu’au 6 juillet
Pendant un mois, Rakuten proposera quatre Live Shopping d’une durée de 45 minutes à 1 heure, dédiés à des thématiques spécifiques :
- Mardi 8 juin, avec une session qui permettra de mieux connaitre le Club R Everywhere
- Mardi 22 juin, avec une session consacrée à l’univers High Tech
- Mardi 29 juin, avec une session spéciale vente entre particuliers
- Mardi 6 juillet, avec une session consacrée aux produits reconditionnés
Les lives seront accessibles directement sur Rakuten, via une page évent dédiée, et seront également disponibles en replay.
Rakuten lance le Pack Starter, une offre exclusive pour les TPE et PME françaises
Dans la continuité de ses engagements pour la digitalisation du commerce local, Rakuten lance le Pack Starter, une offre exclusive destinée à faciliter l’accès des petites entreprises au e-commerce.
Abonnement gratuit et sans engagement, le Pack Starter permet aux TPE et PME de profiter de tous les avantages et services proposés par Rakuten, dont la possibilité de créer leur propre e-shop sur la plateforme et de générer du trafic dans leur magasin grâce à la solution de click & collect, mise à disposition, sans surcoût.
Cette offre inédite sur le marché, réservée aux nouveaux inscrits, leur permettra de mettre à la vente l’ensemble de leur catalogue, sans limite de taille ni de temps. Elles pourront ainsi bénéficier de l’audience qualifiée de la communauté Rakuten, le Club R – qui vient de franchir le cap des 10 millions de membres –, seul programme de fidélité qui incite ses membres à adopter des comportements responsables et vertueux.
Pour aider les entreprises dans leurs premiers pas, Rakuten met également à leur disposition des vidéos de formation gratuites, grâce à la plateforme Rakuten Academy, pour les accompagner dans leur démarche d’accès à l’e-commerce.
Le Starter Pack sera opérationnel sur la plateforme Rakuten au 1er juillet. Les entreprises peuvent dès à présent s’inscrire afin d’en bénéficier.
Oui, l’e-commerce responsable est possible !
Internet n’est pas le Far West que certains dépeignent. C’est un espace où les valeurs de responsabilité et de durabilité peuvent aussi imprimer leur marque. C’est la vision que je défends, et c’est aussi celle qui fonctionne. Preuve en est avec le cap des 10 millions de membres franchi aujourd’hui pour le Club R, notre programme de fidélité qui s’appuie sur ces valeurs, qui incite ses membres à adopter des comportements vertueux, qui propose un modèle inclusif unique dans l’e-commerce français. Revenons ensemble sur les raisons d’un succès qui ne doit rien au hasard !
Notre recette est la même depuis l’origine : des relations partenariales durables, un engagement fort en faveur du pouvoir d’achat ou de celui de revendre, et d’un e-commerce responsable, dans un esprit à la fois pionnier et innovant en matière d’économie circulaire. C’est ce qui nous distingue de nos concurrents et ce qui rend notre plateforme unique.
10 millions de membres qui ont vu en Rakuten un partenaire de confiance
Durant la crise, nous nous sommes mobilisés pour mettre à disposition notre technologie et répondre aux besoins de digitalisation des petits commerçants. Plusieurs milliers d’entre eux ont ainsi pu ouvrir leur boutique en ligne, sous leurs propres couleurs, en bénéficiant des conseils de nos équipes. C’est bien la preuve que plateformes e-commerce et boutiques physiques sont complémentaires, et ont vocation à travailler ensemble. La preuve aussi qu’une plateforme comme Rakuten, qui n’est jamais en concurrence avec les commerçants qu’elle héberge, peut être beaucoup plus qu’un intermédiaire : un partenaire indispensable.
Aujourd’hui, ce sont plus de 8 500 commerçants et grandes enseignes qui ont choisi de nous faire confiance. Grâce à eux, nous pouvons proposer une large gamme de produits qui contribue au succès du Club R.
10 millions de membres qui ont vu leur pouvoir d’achat augmenter
Le Club R ! Bien plus qu’un programme de fidélité, c’est le seul club qui redonne du pouvoir d’achat, qui offre le pouvoir de revendre et permet ainsi de contribuer à l’économie circulaire de façon inédite. Le Club R, c’est le nom de notre communauté d’acheteurs-vendeurs, qui offre des avantages uniques à ses membres. Toute transaction sur la plateforme Rakuten, achat ou vente, déclenche en effet un remboursement systématique en Rakuten Points, véritable monnaie digitale de la plateforme. Les membres obtiennent également des remboursements sur leurs achats auprès des 1 300 marques et sites d'e-commerce présents dans notre programme. En moyenne, chaque membre se voit ainsi rétribuer 400 € par an, grâce à leur activité d’achat ou de vente. Un montant qui peut atteindre jusqu’à 1 000 € pour les plus actifs d’entre eux, les Platinum, ce qui fait de notre Club R, l’un des programmes de fidélité le plus généreux du e-commerce en France.
Cela n’a d’ailleurs pas échappé aux Français, puisque le nombre de membres de notre Club a bondi de 300 % en 18 mois. Ce qui nous permet aujourd’hui de franchir le cap symbolique des 10 millions de membres.
10 millions de membres dont nous augmentons le pouvoir d’achat et le pouvoir de revendre.
Faire des économies n’est pour autant pas le seul leitmotiv qui les guide. Ils souhaitent aussi être plus responsables, notamment grâce aux produits de seconde main, auxquels Rakuten a toujours fait la part belle. Ils souhaitent enfin s’engager en faveur de la transition écologique et avoir le pouvoir de vendre des biens dont l’impact environnemental est positif.
Oui, nos membres partagent nos valeurs, et c’est ensemble que nous changerons les règles de l’e-consommation.
10 millions de membres qui se sont engagés dans l’économie circulaire
Rakuten leur en offre l’opportunité. Pionnier sur la seconde main, nous avons fait le pari de miser sur des achats et des ventes porteurs de sens et nous avons eu raison. Ces biens représentent aujourd’hui deux produits sur trois vendus sur notre plateforme et sont assurément le moteur de l’économie de demain.
Je souhaite sur ce sujet que nous allions encore plus loin, et que la consommation vertueuse soit récompensée à sa juste valeur. C’est pourquoi nous lancerons le 1er juillet prochain une nouvelle offre de fidélisation qui valorise davantage l’impact positif de nos membres, le badge « Vision’R ». Concrètement, pour l’acquisition de deux produits de seconde main d’un montant total de 100 € minimum, ce badge donnera droit à 10 % de réduction supplémentaire lors d’une nouvelle commande le mois suivant.
A l’échelle de notre plateforme, 75% de l’impact carbone de la vente de produits neufs est d’ores et déjà compensé par la vente de seconde main. Notre objectif est d’atteindre 100 % et de garantir ainsi un équilibre pérenne entre produits neufs et produits d’occasion.
L’e-commerce qui met tout le monde d’accord
L’avenir appartient aux plateformes qui sauront proposer au sein d’un même espace tous types de biens, à celles qui sauront s’adresser à la fois aux acheteurs et aux vendeurs, à celles qui sauront créer du lien entre grandes enseignes, petits commerçants et particuliers. Il appartient à celles qui sauront promouvoir un modèle vertueux et agir pour un commerce positif, responsable et durable. C’est la voie que nous avons choisi de suivre, celle du « e-commerce qui met tout le monde d’accord ».
Par Fabien Versavau, PDG de Rakuten France
10 millions de Français membres du Club R de Rakuten
Rakuten franchit une nouvelle étape dans sa stratégie de croissance en France en dépassant le cap des 10 millions de membres au sein du Club R, le seul programme de fidélité qui incite ses membres à adopter des comportements responsables et vertueux.
Près d’1 Français sur 4 achetant en ligne fait désormais partie de la communauté d’acheteurs et de vendeurs la plus engagée en faveur de l’économie circulaire.
Ce seuil symbolique ne marque pas seulement la réussite de Rakuten France, portée par la plus forte croissance parmi les plateformes généralistes en 2020*, il témoigne également de sa contribution à l’évolution des consommateurs français vers un commerce à impact positif. Plateforme inclusive au service de la digitalisation aussi bien des grandes enseignes que des TPE/PME, pionner et leader de l’économie collaborative, premier écosystème redistributif de l’e-commerce français : Rakuten est l’e-commerce qui met tout le monde d’accord.
400 euros de pouvoir d’achat en moyenne par an pour les membres du Club R
La réussite du modèle Rakuten repose sur une double promesse : le pouvoir d’acheter et le pouvoir de revendre ; un système de rétribution pour chaque achat réalisé sur la plateforme et auprès des 1 300 marques et sites d'e-commerce présents dans notre programme, ainsi que pour chaque vente, afin de récompenser la contribution à l’économie circulaire de notre communauté de membres.
A travers le Club R, 10 millions de Français profitent de ces deux pouvoirs : en moyenne, chaque membre du Club R bénéficie de remboursements d’une valeur de 400€ par an grâce à leur activité sur la plateforme, et cette valeur monte jusqu’à 1 000€ par an en moyenne pour les membres les plus actifs du Club, les Platinum. C’est l’occasion pour eux de s’équiper en téléphonie, de commander des livres, de s’habiller avec leurs marques préférées... et même de voyager. Tout cela en dépensant moins.
La communauté de membres la plus engagée dans l’économie circulaire
Bien plus qu’un programme de fidélité, le Club R, c’est une communauté très engagée dans le développement de l’économie circulaire, dont Rakuten est un acteur historique en France. Avec l’essor du Club, 2 produits sur 3 vendus sur la plateforme sont désormais issus de l’économie circulaire. 45 millions de produits de seconde main sont disponibles dans notre catalogue, dont près de la moitié proposés par des particuliers, faisant de Rakuten l’un des leaders sur le marché français, en croissance de 65 % en un an sur ce segment.
Pour encourager et féliciter cet élan, Rakuten dévoile aujourd’hui, le lancement du badge Vision’R, récompensant l’achat de produits de seconde main.
Vision’R récompense l’achat de produits de seconde main
Le badge Vision’R, lancé le 1er juillet 2021, est le premier programme du e-commerce français encourageant et récompensant l’achat de produits de seconde main.
En effet, pour 2 achats de produits de cette catégorie achetés sur Rakuten pour un montant total de 100 euros minimum, les acheteurs recevront 10% supplémentaires en Rakuten Points, monnaie virtuelle de la plateforme, par rapport à leur rétribution habituelle, à valoir dès le mois suivant sur les prochains achats réalisés sur Rakuten.
*Source Médiamétrie, donnée constatée au Q4 2020
On ne pourra jamais faire l’économie du livre
En 2020, des milliers de librairies et de bibliothèques dans le monde ont été contraintes de fermer leurs portes pour enrayer la propagation du coronavirus. Leur activité en a été profondément affectée mais les libraires ont pu trouver dans les plateformes de e-commerce de précieux alliés. Grâce à ce partenariat, les ventes de livres en ligne ont connu une très forte progression. Sur notre place de marché, nous avons vendu 25 % de livres supplémentaires par rapport à l’année précédente. Toutefois, la vente sur notre plateforme de ces produits culturels n’est pas un fait nouveau. Les libraires font partie de nos partenaires historiques. Convaincu de l’importance de la lecture, j’ai souhaité vous partager trois ouvrages qui ont marqué à la fois le lecteur passionné que je suis mais aussi le citoyen et le dirigeant d’entreprise.
- L’entreprise du XXIème siècle sera politique ou ne sera plus (Pascal Demurger)
Le premier d’entre eux est l’ouvrage de Pascal Demurger, Directeur général du groupe MAIF, L’entreprise du XXIème siècle sera politique ou ne sera plus (2019). L’auteur y démontre avec brio que l’engagement d’une entreprise peut devenir sa source principale de performance économique. Il nous incite à nous affranchir de la responsabilité sociétale des entreprises pour passer à l’étape suivante, celle qu’il nomme audacieusement « l’entreprise politique ». J’y vois une source d’inspiration. Comment ne pas reconnaître dans son « obsession du temps long » la culture de l’excellence de service et de fidélisation de notre groupe international d’origine japonaise ? Comment ne pas voir dans son plaidoyer en faveur de la convergence des intérêts des entreprises et de leurs interlocuteurs un écho au travail que nous menons aux côtés des libraires ?
- Capitalisme, Socialisme et Démocratie (Joseph Schumpeter)
Ce sont d’ailleurs ces mêmes partenaires que nous avons accompagnés, au plus fort de la crise, dans la digitalisation de leur activité. En la matière, les mutations qui s’opèrent sont rapides, nombreuses, plurielles. Me replonger dans la lecture de Capitalisme, Socialisme et Démocratie (1942) de Joseph Schumpeter me permet de puiser dans le passé des concepts qui me guident pour mieux analyser le présent. Sa théorie de la destruction créatrice n’a rien perdu de sa pertinence lorsqu'il s’agit d’étudier l’impact économique des innovations numériques et technologiques d’aujourd’hui.
- Dans la forêt (Jean Egland)
Ces innovations ne sont pas seulement sources de richesses et créatrices de valeur, elles peuvent aussi apporter des solutions pour lutter contre le dérèglement climatique. Nous sommes, sur ce sujet, à l’aune de changements considérables qui peuvent nous effrayer mais sur lesquels nous devons tenter de porter un regard différent. Ces sujets, la littérature les explore depuis longtemps. Dans la forêt (1996) de Jean Egland, avait à sa sortie été qualifié de « choc littéraire ». Ce roman m’a captivé et beaucoup questionné. Et si « les contemporains d'une époque charnière de l'Histoire [étaient effectivement] les personnes les moins susceptibles de la comprendre » ? Il fait aussi partie de ces livres qui permettent de saisir l’urgence, qui donnent l'élan d’agir pour préserver nos ressources et réduire notre empreinte carbone. Être éco-responsable, c’est s’engager à acheter des biens de seconde main. C’est aussi « vivre mieux avec moins ». En ce qui concerne les livres, le marché de l’occasion a encore de beaux jours devant lui. En revanche, personne ne peut vivre avec moins de livres. Le personnage de Nell, créé par Jean Egland, le sait bien. C’est le seul objet dont elle n’a pu se défaire complètement, le seul dont on ne pourra jamais faire l’économie.
Portrait : Lucie, femme Lead Technique
En France, Rakuten c’est plus de 350 collaborateurs engagés au quotidien pour que notre place de marché réponde aux attentes de ses 8 000 marchands partenaires, de ses millions de visiteurs uniques par mois et ses 9 millions de membres.
C’est pourquoi, nous avons décidé de mettre à l’honneur nos collaborateurs et de leur donner régulièrement la parole sur notre blog !
Aujourd’hui, on commence par une femme, Lucie, Lead Technique.
Et si on parlait des développeurs, ce métier pas si masculin ?
Les clichés ont souvent la vie dure. C’est notamment le cas lorsqu’on pense aux Développeurs. Dans l’esprit collectif, il s’agit principalement d’un métier d’hommes, taciturnes, de geeks... D'ailleurs, en France, en 1973, 600 femmes avaient obtenu le titre d’ingénieur, soit 5% du nombre de diplômés. À la rentrée 2017-2018, la part d’étudiantes dans les écoles d’ingénierie représentait 27 % des effectifs. La parité serait prévue pour 2075...
Pourtant, il fut une époque pas si lointaine où de nombreux programmeurs étaient en réalité des programmeuses, sans parler des femmes qui ont créé et développé l’informatique !
Ada Lovelace, par exemple, la pionnière du secteur qui, au 19ème siècle, a imaginé une machine dont les possibilités iraient au-delà du calcul et qui serait capable de jongler avec les mots, les images et la musique. Trop en avance sur son temps, le projet ne sera jamais construit, mais ses notes et croquis rédigés seront utilisés par les hommes qui bâtiront le premier ordinateur, un siècle plus tard.
Puis ce fut le tour de Hedy Lamarr, la pionnière de la technologie wifi, Grace Hopper, qui a créé le langage de programmation standard encore employé aujourd’hui, ou encore Roberta Williams, qui a designé Mystery House (1980), le premier jeu d'aventure graphique... pour ne citer qu'elles !
Autre anecdote, savez-vous que dans certains pays, comme la Malaisie, l'informatique est un secteur surtout féminin aujourd’hui ?
Et oui, la perception de la discipline est différente d'une région à l’autre de la planète. En Occident, on considère que l'informatique signifie un pouvoir sur le monde. Hors de l'Occident, on le voit plus comme un métier que l'on peut faire chez soi, et qui ne demande pas d'effort physique. Nous avons donc demandé à Lucie, notre Lead Technique de nous présenter son poste...
Lucie, peux-tu te présenter ?
Je suis Lead Technique C2C. Plus concrètement, je suis l’experte technique d’une équipe de près d’une dizaine de développeurs web dédiés au bon fonctionnement de la vente entre les particuliers sur notre plateforme et de son amélioration continue.
Mon rôle est également d'analyser ce qui est concrètement faisable lorsque le pôle C2C nous partage leurs souhaits techniques, puis de les mettre en place avec l’équipe.
Pourquoi choisir ce métier ?
Mes parents sont ingénieurs en informatique dans les télécommunications. Ils travaillent énormémement, souvent seuls, n'arrivent pas vulgariser ce qu'ils font lorsqu'ils me parlent de leur journée... Je n'étais donc pas motivée de poursuivre dans leur voie. Et rester derrière un ordinateur toute la journée ? Très peu pour moi.
J'ai pensé pendant un moment devenir médecin !
Et puis, tout a commencé lorsque j’étais en 3ème... Pour m'occuper après mon Brevet, je “bidouillais" mon blog pour constamment l’améliorer. J’adorais ! C'est à ce moment là que j'ai compris la beauté de ce métier : avoir un impact fort sur le produit sur lequel on travaille.
Mes parents ont réussi à me convaincre de faire une école d’ingénieur. Et grâce à mes stages, j’ai découvert que l’informatique était une voie beaucoup plus créative que je ne le pensais.
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
Je sais que la plupart des gens ont du mal à l’imaginer mais travailler en tant que développeur web permet surtout de travailler en équipe. Nous ne sommes jamais seuls.
Avant de lancer un projet, nous en discutons ensemble, évaluons le pour et le contre, imaginons les scénarios possibles. Et parce que nous avons la connaissance technique, nous sommes force de propositions lorsque nous échangeons avec les équipes marketing par exemple. Et au sein de l'équipe, nous travaillons souvent à plusieurs sur le même code, en faisant du "pair programming". C'est très enrichissant pour chacun, ça permet d'apprendre des autres et de tirer tout le monde vers le haut.
Chez Rakuten, nous développons des fonctionnalités concrètes, utiles. Et je suis heureuse de faire un métier qui sert au plus grand nombre, qui est perceptible au moindre changement de lignes de code. C’est vraiment valorisant.
Les compétences indispensables selon toi pour ce poste ?
L'informatique peut être ouvert à tous. Les compétences techniques sont nécessaires évidemment, mais il est primordial de croire en son approche, à son analyse. Il ne faut pas hésiter à partager ses idées car elles peuvent débloquer des projets en cours.
On me dit souvent que l’informatique n’est pas un métier sexy... Développeur est pourtant un secteur qui offrent de formidables opportunités de carrière et qui gagnerait à être mieux connu, que l'on soit un homme ou une femme.
Convaincu(e) ? Et si vous la rejoigniez ? Offre à pourvoir ici
Demain sera phygital
Si la crise a accéléré la digitalisation nos modes de vie, de travail et de consommation, elle nous a aussi rappelé combien le monde physique nous était cher.
Voilà pourquoi le monde vers lequel nous tendons est hybride, et s’appuie sur ce que le digital a de meilleur pour améliorer durablement notre quotidien.
Les mille et un visages du retail
Le retail n’en est pas à sa première révolution : déjà au XVIIe siècle, les imprimeurs proposent aux commerçants le prospectus à souscription. Les catalogues modernes et la vente à distance apparaissent quant à eux au XIXe siècle, notamment avec le catalogue de 144 pages du Printemps édité en 1870 en 12 langues. Dans les années 1980, ce fut le début de ce qui deviendra l’e-commerce avec les ventes par minitel grâce à la démocratisation d’Internet, puis le premier paiement par carte bancaire en 1994, le drive… la suite, … nous la connaissons !
Chaque nouveau canal ou mode de distribution vient ainsi compléter les précédents, sans jamais supplanter la vente traditionnelle, pour plusieurs raisons : la satisfaction de voir / toucher avant d’acheter, le plaisir d’un contact humain personnalisé, la possibilité de disposer du produit instantanément et de découvrir de nouvelles références.
Et après des mois de consommation quasi-exclusivement digitale, personne ne remettrait en cause ce besoin « de réalité ». Même lorsque nous achetons en ligne, notre préférence va aux enseignes tangibles, qui existent en dur. Les achats en France continuent de se faire en boutique, acteurs indispensables de nos centres-villes. Et bien que le e-commerce ne cesse de se développer, en particulier depuis le début de la crise, les magasins physiques sont définitivement loin d’avoir dit leur dernier mot !
Vers une transition technologique
Encore faut-il être prêt à accueillir l’innovation et comprendre qu’il peut s’agir d’un véritable atout. Car oui, la technologie n‘est pas synonyme uniquement de ventes en ligne. On l’a bien vu pendant le premier confinement, les commerçants qui ont entamé leur transition vers un service omnicanal, ont vu leur chiffre d’affaires augmenter de 20 %*.
Parce qu’elle enrichit l’expérience d’achat et protège nos centres-villes de la désertification, la vente omnicanale a réellement fait la différence, et nous n’en sommes qu’aux prémices.
Chez Rakuten, en tant que pure marketplace, nous existons pour le commerce. Nous croyons ainsi en la complémentarité entre commerce physique et commerce en ligne. Nous sommes d’ailleurs la 1ère plateforme e-commerce omnicanal en France. La solution de click and collect, en permettant de générer du trafic en magasin, développe la satisfaction client : à titre d’exemple les marchands qui offrent la possibilité de faire du click & collect ont en moyenne un Net Promoter Score supérieur de 5 points à ceux qui ne le proposent pas*.
Vers un monde phygital… et exigeant
Tous les usages qui ont contourné ou atténué les effets de la crise grâce au digital vont ainsi continuer de tirer ce fil : le monde du travail va poursuivre sa mue, l’immobilier tertiaire évolue déjà vers des bureaux as a service, le client pratique le web to store, etc.
Mais cela a pour conséquence un niveau d’exigence encore accru : exactement comme les réseaux sociaux ont permis à l’expérience client de s’imposer, les retailers sont confrontés à un consommateur dont la grille de lecture a été préalablement nourrie par le foisonnement des offres et informations disponibles en ligne.
Les retailers doivent donc savoir parler le langage de ce client “augmenté”, comprendre ses références, pour répondre à ses attentes.
Or, c’est un sujet que les marketplaces connaissent de l’intérieur. C'est pourquoi, nous devons aider les commerçants.
Faire confiance aux places de marché
Car oui, s’il existait depuis longtemps, l’accompagnement des marketplaces s’est fortement accéléré avec les confinements. En plus d’avoir pu poursuivre son activité, le commerçant qui fait le choix de s’appuyer sur une marketplace a aujourd’hui accès à des datas et des outils dont il ne disposait pas avant, comme la possibilité d’analyser les comportements de ses clients, d’améliorer ses process, d’évaluer l’expérience utilisateur et bien sûr de bénéficier d’une audience complémentaire, tout cela à moindre coût. Il pourra à l’avenir faire évoluer son modèle au rythme des attentes de ses consommateurs, sans parler des nouvelles possibilités qui se présenteront à lui.
Et parce qu'il n’y a pas de e-commerce sans commerce, tout comme il n’y a pas de vie de quartier sans magasin : il faut choisir une place de marché qui considère le commerce comme un réel partenaire.
Cependant, il y a encore un gap entre les commerçants et la vente en ligne.
Résultat : Les commerçants ne profitent encore que trop peu des outils mis à leur disposition, en particulier les TPE qui n’ont pas toujours les ressources (humaines, financières, ...) pour se lancer et se digitaliser. La crise aura donc été un révélateur pour le retail, en le faisant entrer de plain-pied et à grande échelle dans l’ère du phygital. C’est une très bonne chose, car cela lui permet de répondre à une demande qu’il ne pouvait plus ignorer : avec ou sans Covid-19, le consommateur s’attend à une expérience d’achat hybride et donc en partie digitalisée.
Voilà pourquoi il est indispensable d’être visible en ligne et et d'offrir une expérience enrichie.
Autant de défis à relever pour les commerçants et pour lesquels, nous nous engageons en véritable partenaire.
Autant de raisons pour avancer ensemble !