Signature de la Charte d’engagements pour la réduction de l’impact environnemental du commerce en ligne

Rakuten fait un nouveau pas en faveur d’un e-commerce responsable en signant la Charte d’engagements pour la réduction de l’impact environnemental du commerce en ligne.

Rakuten se félicite d’être parmi les premiers signataires de la nouvelle Charte d’engagements pour la réduction de l’impact environnemental du commerce en ligne, dévoilée aujourd’hui par Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique et Cédric O, secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique.

Conçue en étroite collaboration avec de nombreux acteurs de l’e-commerce signataires, cette charte établit des engagements ambitieux, en termes d’information du consommateur, d’emballages et de logistique, pour répondre aux défis environnementaux du commerce en ligne. Engagé de longue date pour un e-commerce vertueux qui profite à tous, Rakuten a naturellement été partie prenante de cette initiative marquant une nouvelle étape dans le développement d’une filière écoresponsable en France.

« Fruit d’une collaboration étroite entre les pouvoirs publics et les acteurs de l’e-commerce en France, cette charte témoigne de notre détermination commune à ce que la croissance du commerce en ligne se fasse dans le respect de l’environnement. Pour Rakuten, c’est aussi le sens de notre engagement en faveur d’un e-commerce qui met tout le monde d’accord : nous avons prouvé pendant la crise sanitaire que nous pouvions être utiles à tous, commerçants comme particuliers ; nous tenons également contribuer à l’essor d’une économie plus respectueuse de l’environnement », déclare Fabien Versavau, PDG de Rakuten France.

Pionnier de l’économie circulaire en France, Rakuten a récemment lancé Vision’R, une offre unique dans l’e-commerce français pour inciter à l’achat de produits de seconde main en les récompensant de gains supplémentaires de pouvoir d’achat. La plateforme contribue également à la sensibilisation de ses utilisateurs à une consommation plus responsable en indiquant, pour chaque produit consulté, les émissions qui peuvent être évitées pour réduire l’empreinte carbone en faisant le choix de la seconde main plutôt que du neuf.

D’autres actions allant dans ce sens seront annoncées à partir du mois de septembre. En se conformant à la Charte d’engagements, Rakuten continuera d’avancer sur cette lancée et travaillera main dans la main avec ses partenaires et ses clients pour mettre en place les standards écologiques qui seront la norme de l’e-commerce de demain.

Pour découvrir la liste des premiers signataires et télécharger la charte d’engagements des acteurs du commerce en ligne, cliquez ici


La seconde main, une étape clé vers une nouvelle société de consommation

La seconde main a fait son chemin dans l’esprit des Français. Elle s’est imposée comme un véritable phénomène de société, marquant un changement irréversible dans notre rapport à la consommation. Parce qu’elle réconcilie des enjeux économiques et environnementaux en prise directe avec nos vies, et des aspirations humaines très profondes, la seconde main est là pour durer.

D’abord, parce qu’elle perpétue une pratique économique très ancienne, universelle, à laquelle la technologie donne une dimension sans précédent. Ce qui, avant, posait problème, c’était la mise en relation, la difficulté à s’adresser à une quantité suffisante d’acheteurs potentiels, au-delà de son cercle proche. Pour dire les choses autrement : on vendait d’occasion, quand l’occasion s’en présentait. La technologie des plateformes a permis une systématisation, une agrégation de flux marchands autrefois diffus.

Grâce à cela, le commerce de seconde main permet à l’acheteur de faire des économies en trouvant le même objet moins cher, et donc d’améliorer son pouvoir d’achat. Même chose côté vendeur : c'est une manière d'optimiser ce que vous « stockez », et de libérer ce dont vous n'avez plus besoin. En langage économique, c’est arrêter d’immobiliser des actifs. Or, les objets dont on n’a plus besoin, c’est du pouvoir d’achat qui dort… Là encore, la technologie des plateformes crée un marché liquide pour ces objets. Pour les particuliers, la revente était souvent compliquée ; c’est devenu un geste banal. Au pouvoir d’achat, s’est ajouté le pouvoir de vendre.

Mais l’envie de « consommer autrement » s’appuie sur d’autres déterminants puissants, notamment la recherche d’une consommation plus responsable. La prise de conscience planétaire en faveur de la transition écologique a fait évoluer les comportements d’achat. Chacune et chacun aspire à apporter sa contribution, même modeste. La seconde main, tout le monde l’a compris, c’est une consommation plus sobre en carbone, et donc un impact direct sur le réchauffement climatique.

Un regard plus sociologique permet aussi de voir dans la seconde main l’expression d’une aspiration fondamentale, constitutive des sociétés humaines. La seconde main, c’est en effet une forme de partage, une manière de libérer des produits qui vous ont réjoui mais dont vous n'avez plus besoin (vos enfants ont grandi, vos goûts ont changé…) pour que d’autres puissent à leur tour en profiter.

Ainsi, les achats « pour la vie » sont devenus l’exception. De plus en plus, on achète un objet pour sa valeur d’usage, à un moment donné et pour une durée souvent limitée. Une fois le plaisir émoussé, le besoin passé, on revend. L’objet aussi est devenu un service.

Enfin, et c’est fondamental, la seconde main est la source d’un plaisir unique : celui de dénicher l’objet rare, qu’on ne trouve plus en rayon ... Aujourd’hui, on chine plus en ligne qu’à la brocante. Ainsi, à la rationalité de l’achat s’ajoute la notion de plaisir, qui est au cœur même de l’expérience d’achat. D’ailleurs, la croissance des achats de seconde main porte majoritairement sur trois catégories « reines » : les loisirs, la mode et le high-tech.

Le commerce de seconde main répond donc au besoin de rationalité et d’efficience économique, à l’impératif écologique, au besoin de partage et à la recherche du plaisir. C’est tout sauf la gestion de la rareté des ressources dans un monde tristement malthusien. Ce mode de consommation est absolument complémentaire à l’achat de produits neufs, lui aussi en plein essor, et toujours indispensable, ne serait-ce que pour l’innovation, pour mettre sur le marché des produits différents, plus performants. Le neuf, c’est l’assurance du progrès !

Loin des positions trop tranchées sur le sujet et des injonctions à la décroissance, on voit que notre meilleur avenir sera dans l’équilibre entre le neuf et la seconde main. Chaque objet est amené à vivre un cycle de vie plus riche, d’abord comme produit neuf, puis passant de main en main pour retrouver à chaque fois une plus grande valeur d’usage, jusqu’au recyclage.

Dans cet équilibre s’esquisse une nouvelle société de consommation, corrigeant les excès des décennies passées et prenant enfin la mesure des défis écologiques, tout en conservant ce qui est au cœur de l’acte d’achat : le plaisir.

Par Fabien VERSAVAU, PDG, Rakuten France


Portrait : Suhaib, Data Scientist

Data Scientist, Data Analyst, Data Officer... pas simple de comprendre le rôle de ces métiers du Big Data, métiers issus de cette nouvelle génération d’emplois créés grâce au digital, à la donnée, à la technologie…
Des métiers déconcertants à leurs débuts et qui, pourtant, ont su s’imposer jusqu’à connaître une ascension fulgurante et devenir l’un des secteurs les plus prisés des jeunes diplômés des plus grandes écoles d’ingénieurs, et ce, partout dans le monde. 

Les métiers du Big Data, sont sans aucun doute aujourd’hui un pilier de la croissance mondiale. Devenus incontournables, leur maîtrise est indispensable pour n’importe quelle entreprise actuelle.
Chez Rakuten, les nombreux moyens dont nous disposons pour développer le trafic sur la plateforme (affiliation, acquisition, notre catalogue de plusieurs millions de produits neuf et de seconde main...), génèrent inévitablement une quantité très importante de données issue de différents outils, qui elles-mêmes constituent des informations primordiales pour définir les tendances de consommation de notre communauté de 10 millions de membres
d'acheteurs et de vendeurs inscrits au Club R

Nous avons donc demandé à Suhaib de nous présenter son rôle tant convoité de Data Scientist pour mieux comprendre son quotidien. 

Mais pour commencer, revenons un peu sur l’histoire de la Data Science...  

Tout a commencé.... dans les années 60’s ! 

C'est à John W. Tukey, que l’on doit le terme « Data Analysis ». Déjà à l’époque, le traitement d’un grand nombre de données pour en extraire des tendances relevait plus d’une science empirique que des mathématiques pures. 

Plus de 10 ans plus tard, les entreprises se rendent comptent des quantités faramineuses d’informations dont elles disposent et commencent alors à réfléchir à la meilleure manière de les exploiter afin de créer des parcours clients adaptés. 

Puis dans les années 2000, la Data Science émerge véritablement. Les premiers magazines dédiés sont publiés. 

Mais c’est à partir de 2009, que l’explosion du terme « Data Science » est amorcée, grâce à une interview de Hal Varian, l’économiste en chef de Google, pendant laquelle il a déclaré que les statisticiens auraient le job le plus « sexy » des 10 prochaines années. Il a même ajouté que la capacité à extraire des informations pertinentes à partir de données brutes serait l’un des métiers les plus importants des années à venir. Il ambitionnait déjà l’importance de maîtriser la data, qu'elle soit accessible à tous, bref, que l’avènement de la Data Science approchait. 

A peine quelques années plus tard, l’engouement pour la Data Science est tel que sur l’année 2012 les offres d’emploi pour le poste de Data Scientist ont bondi de +15 000 %*  

Bonjour Suhaib, peux-tu te présenter ?  

Je suis Data Scientist SEO et j’ai rejoint Rakuten en 2020, plus précisément, le 9 mars, quelques jours à peine avant le début du tout premier confinement. Une arrivée donc un peu spéciale ! 

Quel est concrètement ton rôle chez Rakuten ?  

Vous savez, chez Rakuten, en tant que plateforme e-commerce, nous avons des millions de pages à étudier, donc nous ne pourrions pas traiter les données manuellement, c’est impossible. Mon rôle est donc d’accélérer les process, de plonger au cœur de ces données pour extraire des analyses, prédire et anticiper nos actions.
Avec l’aide de l’équipe dédiée qui compte un peu moins d’une dizaine de personnes, mon objectif est de transformer le pôle SEO qui innove sans cesse grâce à des modèles de Machine Learning et d’Intelligence Artificielle qui vont traiter la Data, omniprésente, pour améliorer notre positionnement, notre ranking lors des recherches Google, notamment.  Mais c'est surtout de faire des prévisions les plus justes afin d'ajuster la stratégie de Rakuten.

Quelle est la différence entre un Data Analyst et un Data Scientist ?  

Pas simple de connaitre la différence. Il faut d’abord comprendre qu’il y a plusieurs étapes dans le traitement des données : il faut évidemment les chercher avec un Data Engineering, puis, une fois récupérées en format brut, il faut les traiter, les nettoyer, les mettre en forme, ... bref, les rendre exploitable !
Selon moi, le Data Analyst va intervenir dans l’analyse des données qui sont déjà « nettoyées », il n’y a pas ou peu de Machine Learning, d’IA, pas de programmation.
Un Data Scientist, c’est plus complexe. Nous allons nous concentrer sur les formats des données. Une fois ces dernières nettoyées, on peut ensuite créer des modèles d’analyse qui permettront alors de réaliser des prévisions. Et pour cela, nous devons savoir programmer, développer. Parce que oui, en SEO, nous sommes capables de prédire les visites de nos pages jusqu’à 2 ans et ainsi être susceptible d’affirmer qu’il est nécessaire de se concentrer sur telle ou telle page pour augmenter le trafic, lancer davantage de projets, etc. 

Qu'est-ce qui te plait le plus en tant que Data Scientist ?  

TOUT ! C'est passionnant. Nous sommes constamment dans une logique et une approche de Test & Learn. 
Ça ne marche pas ? Ok, on recommence, on essaye avec un autre algorithme ! Et puisqu’il s’agit d’un métier récent, il y a pleins de choses que l’on peut expérimenter. On en apprend tous les jours.  

Pourquoi as-tu décidé de t’orienter dans cette voie ?  

Plus jeune, je rêvais d’être médecin. Mais fan de nouvelles technologies, j’étais surtout curieux de comprendre le fonctionnement de sites comme Facebook. Alors en première année de licence, je me suis posé la question : et si je faisais une licence de traitement informatiques des langues ? 
J'ai ensuite poursuivi avec un master Data Science pour travailler sur le texte mais de manière automatique, comme par exemple avec Siri sur Apple. C’est fascinant d’être à l’intersection entre le langage naturel et l’IA. 
J'adore, et pour rien au monde, je ferai autre chose ! 

Quelles sont les compétences indispensables pour un Data Scientist  

Savoir programmer évidemment mais la partie technique ça s’apprend ! Il faut surtout avoir une certaine vision de la donnée . Il faut être capable d’identifier une problématique. Par exemple, un Développeur et un Data Scientist ne vont pas avoir la même construction d’un projet. Il est donc primordial de savoir comment traiter la donnée brute. La construction d’un projet est une étape très importante parce que c’est à partir de là, qu’ensuite, on s’oriente vers la programmation.  

Et être Data Scientist chez Rakuten France ?   

Chez Rakuten, non seulement, il y a un trésor de données à exploiter mais aussi une réelle synergie entre les équipes qu’on ne trouve pas partout.
On partage par exemple nos projets avec nos homologues situés au siège, au Japon. C'est intéressant de voir la différence entre nos 2 pays, c’est une réelle valeur ajoutée en termes d'apprentissage. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, nous sommes finalement assez complémentaires.
Nous échangeons aussi beaucoup avec Rakuten Institute of Technology, l'entité du groupe dédiée à la recherche et au développement.  

 

*Source: la revue ValueWalk 


L’ikigai, pour un nouveau rapport au travail

Par Fabien Versavau, PDG Rakuten France

Depuis une quinzaine d’années, les nouvelles technologies informatiques et le boom des connectivités questionnent notre organisation du travail ; le « future of work » a ainsi fait l’objet d’innombrables articles ou conférences. Mais, en réalité, il a fallu une crise d’ampleur mondiale pour que les lignes bougent enfin. Et c’est dans le chaos engendré par l’épidémie de COVID, que nous avons retrouvé la piste de ce que les Japonais appellent l’ikigai.

Car malgré les nouveaux outils de productivité, malgré un débat public riche sur « le futur du travail », et malgré la multiplication des chief happiness officers, dans les faits, les entreprises trainaient des pieds pour changer leurs manières de faire. Ce futur si désirable, où nous devions mieux concilier vie professionnelle et vie personnelle, en nous libérant notamment de la contrainte de la présence au bureau chaque jour à heures fixes, se faisait attendre. Et jusqu’à l’année dernière, toute l’organisation du travail n’avait en réalité que marginalement évolué depuis la généralisation du travail de bureau au milieu du 20e siècle.

Et puis, au printemps dernier, tout a changé. Le conservatisme des entreprises s’est heurté de plein fouet au mur de la crise sanitaire, un stress test extrême pour les organisations, qui a fait voler en éclat – irréversiblement, j’en suis convaincu – les schémas classiques. Nous avons adopté, massivement et quasi-instantanément, une organisation radicalement différente, fondée sur l’utilisation massive des technologies digitales et des réseaux très haut débit. Le télétravail, les réunions à distance se sont généralisées, les déplacements ont été annulés et les communications digitales se sont multipliées : emails, messageries instantanées comme Viber ou Olvid, systèmes de travail collaboratifs intégrés comme Slack ou Teams, visioconférences… Cette organisation ne devait être que temporaire, pour faire face. Mais après un an de ce régime d’exception, on peut légitimement se dire que notre monde a changé.

Je suis de ceux qui n’ont jamais vraiment cru à la rhétorique du « monde d’après ». Parce que ce « monde d’après », tellement fantasmé, n’est en fait qu’une version améliorée du monde d’aujourd’hui, une version plus humaine que j’appelle de mes vœux depuis longtemps. Car cette crise a révélé des mutations à l’œuvre depuis des années, qui s’inscrivent dans un temps beaucoup plus long et qui portent en elles les germes du progrès. Contrairement à l’idée reçue qui voudrait que « le monde du travail, c’était mieux avant », en réalité, la technologie n’a eu de cesse depuis 50 ans d’améliorer notre qualité de vie au travail. En permettant une amélioration de la productivité, elle a rendu le travail plus compatible avec nos vies personnelles et nous a donné plus de liberté.

Alors oui, nous ressentons tous une grande fatigue de ce télétravail systématique. Oui, passer nos journées « en visio » est usant. Et oui, les contacts quotidiens « en vrai » avec nos collègues nous manquent. Mais reconnaissons que conserver certains aspects de cette nouvelle organisation, à dose modérée, serait positif : par exemple, pouvoir télétravailler un ou deux jours par semaine, garder de la flexibilité sur notre présence au bureau, ou encore réduire les déplacements inutiles. Et bientôt, la télé-présence en réalité virtuelle immersive permettra encore plus de fluidité.

Prenons encore un pas de recul. Pour beaucoup d’entre nous, cette crise, aussi terrible qu’elle ait été par ailleurs, a aussi été l’occasion de découvrir d’autres équilibres. Elle nous a permis de passer plus de temps avec nos enfants ; parfois en y étant forcés, mais souvent avec plaisir. Ce changement a été l’occasion de remettre en cause nos modes de vie, pour retrouver davantage de sens dans nos journées, en réconciliant la personne que l’on est au travail et celle de sa vie personnelle. Cette crise a aussi été le moment de repenser notre rapport à la nature. Elle a poussé certains citadins, parmi ceux qui en avaient la possibilité, à fuir les grandes villes, et à apprécier la possibilité d’avoir un extérieur, un coin de verdure. Enfin, alors que les contacts avec nos proches se sont faits plus rares, nous apprécions d’autant plus les moments privilégiés que nous pouvons passer avec eux. Grâce aux progrès technologiques, nous avons la possibilité de conserver, demain, ce rapport plus équilibré à notre vie personnelle.

Sur toutes ces mutations à l’œuvre, sur cette révolution du rapport au travail, à notre entourage, à nos vies, il peut être utile de mettre un nom : « l’ikigai ».

Dans la culture japonaise, le concept d’ikigai conjugue la recherche du sens, de la raison d’être, et la joie de vivre. C’est le bonheur profond de vivre la vie que l’on doit mener, en harmonie avec son environnement, à sa juste place. Pour les Japonais, il s’agit non seulement d’un concept philosophique, d’un sens profond de la vie, mais aussi de quelque chose de plus léger et joyeux qui peut habiter, et enchanter, des moments ordinaires de notre vie. C’est aussi, pour les jeunes générations, une manière différente d’envisager le rapport au travail.

Grâce à la technologie, à la digitalisation du travail, nous avons les outils pour changer le monde du travail, pour y permettre une plus grande satisfaction des salariés. Contrairement à ce que disent les esprits chagrins, l’intelligence artificielle ne sera pas le fossoyeur d’un travail épanouissant. Bien au contraire… Elle nous offrira un nouveau mode de vie, plus riche, et de nouvelles façons de se réaliser. L’ikigai a surement un bel avenir devant lui !


Journée mondiale de la lutte anti-contrefaçon

Avec la multiplication des plateformes e-commerce et des ventes en ligne réalisées sur celles-ci (selon la Fevad, le chiffre d’affaires du e-commerce français a progressé de +14,8 % au premier trimestre 2021 sur un an), la lutte anti-contrefaçon est plus que jamais un sujet dactualité.

Rakuten, qui se positionne comme un intermédiaire de confiance entre les acheteurs et les vendeurs, est engagé depuis plus de 15 ans pour endiguer ce phénomène, en sécurisant les transactions et contrôlant la qualité des produits vendus sur sa plateforme grâce à une équipe d’experts et à une approche par Intelligence Artificielle.

Au-delà des obligations légales et des moyens humains déployés, avec une équipe technique dédiée à la lutte contre la mise en vente de produits dangereux et/ou contrefaisant, Rakuten investit massivement sur les moyens technologiques, et développé une technologie unique de surveillance et de contrôle, basée sur du Machine Learning.

Les équipes du Rakuten Institute of Technology ont en effet imaginé de nombreux algorithmes capables d’identifier toute anomalie quant aux produits mis en vente. L’IA ainsi intégrée par Rakuten au sein de sa plateforme permet d’engager des actions efficaces pour assurer la sécurité et la satisfaction de ses 10 millions de membres de sa communauté, le Club R.

Au moyen d’un moteur de règles connecté à sa base de données transactionnelles, Rakuten détecte également en amont tout comportement frauduleux des vendeurs et adopter une attitude proactive dans la lutte anti-contrefaçon[1]. En cas d’alerte, les annonces suspectes sont envoyées automatiquement en observation, 24 heures sur 24, et sont traitées manuellement par une équipe composée d’une dizaine de personnes.

Dans les très rares cas de vente d’un produit contrefaisant, Rakuten donne la possibilité à l’acheteur d’ouvrir une réclamation et demande alors le retour immédiat du produit dans ses locaux afin de minutieusement l’analyser. L’équipe dédiée de Rakuten échange ensuite systématiquement avec les vendeurs concernés et traite leur situation individuellement. Quant à l’acheteur, si sa réclamation est justifiée, celle-ci est remboursée quoi qu’il arrive, grâce à la garantie Tiers de Confiance qui le protège gratuitement.

Enfin, pour parfaire son expertise dans la détection de produits contrefaisants, Rakuten rencontre régulièrement les marques, notamment des secteurs les plus exposés (luxe, jouets, high-tech), qui proposent des formations similaires à celles dispensées aux agents douaniers afin d’identifier les éléments à inspecter.

[1] En complément, et concernant les produits dangereux, l’équipe dédiée de Rakuten se base évidemment sur le système d’alertes européen garant de la sécurité des produits Rapex, qui regroupe tous les produits présentant un danger. Des mots-clés sont alors définis grâce à ce système afin d’identifier les annonces de produits à risque sur la plateforme.


Rakuten lance son premier Live Shopping, en mode inclusif

Lancé en partenariat avec la plateforme Quidol, ce nouveau format vidéo live permettra à Rakuten de présenter en direct des thématiques fortes : son club d’acheteurs et vendeurs redistributif, la vente entre particuliers, le reconditionné et un focus sur les produits high tech.
Ces soirées Live Shopping sont prévues jusqu’au 6 juillet.

Dans la continuité de sa démarche en faveur d’une valorisation et digitalisation de toutes les formes de commerce, Rakuten mise aujourd’hui sur le succès du live streaming pour proposer à tous des contenus plus authentiques, interactifs et engageants.

Associant divertissement et innovation retail, Rakuten invite sa communauté à une nouvelle expérience du e-commerce. Lors de ces sessions, ouvertes à tous, chacun aura la possibilité d’interagir et poser toutes ses questions aux invités et animateurs du live, qui pourront y répondre, réaliser des démos ou encore scénariser les produits ou services présentés.

Une 1ère session Club’R Everywhere, mardi 8 juin à 19h

Lors de la première session, Rakuten présentera le modèle rétributif du Club R et plus particulièrement le Club R Everywhere, son programme d’affiliation avec plus de 1 300 marques partenaires (Nike, Booking, Asos…), en valorisant 5 d’entre elles sur lesquelles seront valables une remise exceptionnelle de 20% en Rakuten Points.

Les participants profiteront également d’un jeu concours avec à la clé 4 lots de 100€ à dépenser librement sur la plateforme.

Présente aux côtés de l’animatrice de la session, l’influenceuse La Pote Gênante partagera son expérience en tant qu’acheteuse et membre du Club R.

« Avec cette première opération Live Shopping, nous souhaitons aller à la rencontre des nouvelles attentes des consommateurs, de plus en plus en plus demandeurs d’expériences live, authentiques et interactives », explique Armando Pastor, Directeur Marketing de Rakuten France.

4 rendez-vous Live Shopping jusqu’au 6 juillet

Pendant un mois, Rakuten proposera quatre Live Shopping d’une durée de 45 minutes à 1 heure, dédiés à des thématiques spécifiques :

  • Mardi 8 juin, avec une session qui permettra de mieux connaitre le Club R Everywhere
  • Mardi 22 juin, avec une session consacrée à l’univers High Tech
  • Mardi 29 juin, avec une session spéciale vente entre particuliers
  • Mardi 6 juillet, avec une session consacrée aux produits reconditionnés

Les lives seront accessibles directement sur Rakuten, via une page évent dédiée, et seront également disponibles en replay.


Rakuten lance le Pack Starter, une offre exclusive pour les TPE et PME françaises

Dans la continuité de ses engagements pour la digitalisation du commerce local, Rakuten lance le Pack Starter, une offre exclusive destinée à faciliter l’accès des petites entreprises au e-commerce.

Abonnement gratuit et sans engagement, le Pack Starter permet aux TPE et PME de profiter de tous les avantages et services proposés par Rakuten, dont la possibilité de créer leur propre e-shop sur la plateforme et de générer du trafic dans leur magasin grâce à la solution de click & collect, mise à disposition, sans surcoût.

Cette offre inédite sur le marché, réservée aux nouveaux inscrits, leur permettra de mettre à la vente l’ensemble de leur catalogue, sans limite de taille ni de temps. Elles pourront ainsi bénéficier de l’audience qualifiée de la communauté Rakuten, le Club R – qui vient de franchir le cap des 10 millions de membres –, seul programme de fidélité qui incite ses membres à adopter des comportements responsables et vertueux.

« Avec le Pack Starter, nous poursuivons notre politique de soutien à la digitalisation des commerces français, qui est l’un des piliers de notre stratégie de développement. Cette initiative vise à faciliter l’accès des petites entreprises, en recherche d’une audience complémentaire, à la plateforme Rakuten, son écosystème de services et sa communauté de membres actifs. Elle s’inscrit dans notre promesse d’« e-commerce qui met tout le monde d’accord », qu’on soit un jeune pure player récemment arrivé sur le marché ou un petit commerce local établi de longue date », explique Matthieu Denime, Directeur Commercial de Rakuten France.

Pour aider les entreprises dans leurs premiers pas, Rakuten met également à leur disposition des vidéos de formation gratuites, grâce à la plateforme Rakuten Academy, pour les accompagner dans leur démarche d’accès à l’e-commerce.

Le Starter Pack sera opérationnel sur la plateforme Rakuten au 1er juillet. Les entreprises peuvent dès à présent s’inscrire afin d’en bénéficier.


Oui, l’e-commerce responsable est possible !

Internet n’est pas le Far West que certains dépeignent. C’est un espace où les valeurs de responsabilité et de durabilité peuvent aussi imprimer leur marque. C’est la vision que je défends, et c’est aussi celle qui fonctionne. Preuve en est avec le cap des 10 millions de membres franchi aujourd’hui pour le Club R, notre programme de fidélité qui s’appuie sur ces valeurs, qui incite ses membres à adopter des comportements vertueux, qui propose un modèle inclusif unique dans l’e-commerce français. Revenons ensemble sur les raisons d’un succès qui ne doit rien au hasard !

Notre recette est la même depuis l’origine : des relations partenariales durables, un engagement fort en faveur du pouvoir d’achat ou de celui de revendre, et d’un e-commerce responsable, dans un esprit à la fois pionnier et innovant en matière d’économie circulaire. C’est ce qui nous distingue de nos concurrents et ce qui rend notre plateforme unique.

10 millions de membres qui ont vu en Rakuten un partenaire de confiance

Durant la crise, nous nous sommes mobilisés pour mettre à disposition notre technologie et répondre aux besoins de digitalisation des petits commerçants. Plusieurs milliers d’entre eux ont ainsi pu ouvrir leur boutique en ligne, sous leurs propres couleurs, en bénéficiant des conseils de nos équipes. C’est bien la preuve que plateformes e-commerce et boutiques physiques sont complémentaires, et ont vocation à travailler ensemble. La preuve aussi qu’une plateforme comme Rakuten, qui n’est jamais en concurrence avec les commerçants qu’elle héberge, peut être beaucoup plus qu’un intermédiaire : un partenaire indispensable.

Aujourd’hui, ce sont plus de 8 500 commerçants et grandes enseignes qui ont choisi de nous faire confiance. Grâce à eux, nous pouvons proposer une large gamme de produits qui contribue au succès du Club R.

10 millions de membres qui ont vu leur pouvoir d’achat augmenter

Le Club R ! Bien plus qu’un programme de fidélité, c’est le seul club qui redonne du pouvoir d’achat, qui offre le pouvoir de revendre et permet ainsi de contribuer à l’économie circulaire de façon inédite. Le Club R, c’est le nom de notre communauté d’acheteurs-vendeurs, qui offre des avantages uniques à ses membres. Toute transaction sur la plateforme Rakuten, achat ou vente, déclenche en effet un remboursement systématique en Rakuten Points, véritable monnaie digitale de la plateforme. Les membres obtiennent également des remboursements sur leurs achats auprès des 1 300 marques et sites d'e-commerce présents dans notre programme. En moyenne, chaque membre se voit ainsi rétribuer 400 € par an, grâce à leur activité d’achat ou de vente. Un montant qui peut atteindre jusqu’à 1 000 € pour les plus actifs d’entre eux, les Platinum, ce qui fait de notre Club R, l’un des programmes de fidélité le plus généreux du e-commerce en France.

Cela n’a d’ailleurs pas échappé aux Français, puisque le nombre de membres de notre Club a bondi de 300 % en 18 mois. Ce qui nous permet aujourd’hui de franchir le cap symbolique des 10 millions de membres.
10 millions de membres dont nous augmentons le pouvoir d’achat et le pouvoir de revendre.

Faire des économies n’est pour autant pas le seul leitmotiv qui les guide. Ils souhaitent aussi être plus responsables, notamment grâce aux produits de seconde main, auxquels Rakuten a toujours fait la part belle. Ils souhaitent enfin s’engager en faveur de la transition écologique et avoir le pouvoir de vendre des biens dont l’impact environnemental est positif.

Oui, nos membres partagent nos valeurs, et c’est ensemble que nous changerons les règles de l’e-consommation.

10 millions de membres qui se sont engagés dans l’économie circulaire

Rakuten leur en offre l’opportunité. Pionnier sur la seconde main, nous avons fait le pari de miser sur des achats et des ventes porteurs de sens et nous avons eu raison. Ces biens représentent aujourd’hui deux produits sur trois vendus sur notre plateforme et sont assurément le moteur de l’économie de demain.

Je souhaite sur ce sujet que nous allions encore plus loin, et que la consommation vertueuse soit récompensée à sa juste valeur. C’est pourquoi nous lancerons le 1er juillet prochain une nouvelle offre de fidélisation qui valorise davantage l’impact positif de nos membres, le badge « Vision’R ». Concrètement, pour l’acquisition de deux produits de seconde main d’un montant total de 100 € minimum, ce badge donnera droit à 10 % de réduction supplémentaire lors d’une nouvelle commande le mois suivant.

A l’échelle de notre plateforme, 75% de l’impact carbone de la vente de produits neufs est d’ores et déjà compensé par la vente de seconde main. Notre objectif est d’atteindre 100 % et de garantir ainsi un équilibre pérenne entre produits neufs et produits d’occasion.

L’e-commerce qui met tout le monde d’accord

L’avenir appartient aux plateformes qui sauront proposer au sein d’un même espace tous types de biens, à celles qui sauront s’adresser à la fois aux acheteurs et aux vendeurs, à celles qui sauront créer du lien entre grandes enseignes, petits commerçants et particuliers. Il appartient à celles qui sauront promouvoir un modèle vertueux et agir pour un commerce positif, responsable et durable. C’est la voie que nous avons choisi de suivre, celle du « e-commerce qui met tout le monde d’accord ».

Par Fabien Versavau, PDG de Rakuten France


10 millions de Français membres du Club R de Rakuten

Rakuten franchit une nouvelle étape dans sa stratégie de croissance en France en dépassant le cap des 10 millions de membres au sein du Club R, le seul programme de fidélité qui incite ses membres à adopter des comportements responsables et vertueux.
Près d’1 Français sur 4 achetant en ligne fait désormais partie de la communauté d’acheteurs et de vendeurs la plus engagée en faveur de l’économie circulaire.

Ce seuil symbolique ne marque pas seulement la réussite de Rakuten France, portée par la plus forte croissance parmi les plateformes généralistes en 2020*, il témoigne également de sa contribution à l’évolution des consommateurs français vers un commerce à impact positif. Plateforme inclusive au service de la digitalisation aussi bien des grandes enseignes que des TPE/PME, pionner et leader de l’économie collaborative, premier écosystème redistributif de l’e-commerce français : Rakuten est l’e-commerce qui met tout le monde d’accord.

« 10 millions de membres du Club R, ce sont 10 millions de Français inscrits dans un écosystème vertueux, gratuit, profitable aussi bien aux acheteurs qu’aux vendeurs, qu’ils soient commerçants ou particuliers. Le contexte pandémique a permis une formidable accélération des tendances de consommation à l’œuvre dans la société française, de plus en plus engagée dans l’économie circulaire, soucieuse de son pouvoir d’achat et désireuse de favoriser l’économie locale. De leur côté, les commerçants ont fait un bond sans précédent dans leur accès au e-commerce », déclare Fabien Versavau, PDG de Rakuten France.
« Rakuten a accompagné cette double évolution depuis ses prémices en France. Notre ambition est aujourd’hui de l’amener à sa pleine maturité en développant les outils technologiques et services innovants qui bénéficieront à tous. C’est le sens de notre nouvelle signature, "l’e-commerce qui met tout le monde d’accord", et des nouveautés que nous dévoilerons au cours des prochains mois », ajoute-t-il.

400 euros de pouvoir d’achat en moyenne par an pour les membres du Club R

La réussite du modèle Rakuten repose sur une double promesse : le pouvoir d’acheter et le pouvoir de revendre ; un système de rétribution pour chaque achat réalisé sur la plateforme et auprès des 1 300 marques et sites d'e-commerce présents dans notre programme, ainsi que pour chaque vente, afin de récompenser la contribution à l’économie circulaire de notre communauté de membres.

A travers le Club R, 10 millions de Français profitent de ces deux pouvoirs : en moyenne, chaque membre du Club R bénéficie de remboursements d’une valeur de 400€ par an grâce à leur activité sur la plateforme, et cette valeur monte jusqu’à 1 000€ par an en moyenne pour les membres les plus actifs du Club, les Platinum. C’est l’occasion pour eux de s’équiper en téléphonie, de commander des livres, de s’habiller avec leurs marques préférées... et même de voyager. Tout cela en dépensant moins.

« Le Club R propose un modèle inclusif unique dans l’e-commerce français. Avec Rakuten, on achète, on vend, on est rétribué. Cela participe à la mise en place d’une dynamique vertueuse qui bénéficie aussi bien au développement de la seconde main qu’à l’achat en neuf auprès de nos marchands grâce aux gains de pouvoir d’achat, et bien sûr au consommateur. Le succès du Club en témoigne : le nombre de membres a bondi de 300 % en 2020 », explique Fabien Versavau.

La communauté de membres la plus engagée dans l’économie circulaire

Bien plus qu’un programme de fidélité, le Club R, c’est une communauté très engagée dans le développement de l’économie circulaire, dont Rakuten est un acteur historique en France. Avec l’essor du Club, 2 produits sur 3 vendus sur la plateforme sont désormais issus de l’économie circulaire. 45 millions de produits de seconde main sont disponibles dans notre catalogue, dont près de la moitié proposés par des particuliers, faisant de Rakuten l’un des leaders sur le marché français, en croissance de 65 % en un an sur ce segment.

Pour encourager et féliciter cet élan, Rakuten dévoile aujourd’hui, le lancement du badge Vision’R, récompensant l’achat de produits de seconde main.

« Sur la seconde main, nous voulons aller encore plus loin et porter la croissance en France de ce marché au cœur de notre promesse de commerce à impact positif. Sur le plan environnemental notamment. Notre objectif, à travers notre badge Vision’R et les offres que nous lancerons dans les prochains mois, est d’atteindre les 100 % de décarbonation d'ici 18 à 24 mois », déclare Fabien Versavau.

Vision’R récompense l’achat de produits de seconde main

Le badge Vision’R, lancé le 1er juillet 2021, est le premier programme du e-commerce français encourageant et récompensant l’achat de produits de seconde main.

En effet, pour 2 achats de produits de cette catégorie achetés sur Rakuten pour un montant total de 100 euros minimum, les acheteurs recevront 10% supplémentaires en Rakuten Points, monnaie virtuelle de la plateforme, par rapport à leur rétribution habituelle, à valoir dès le mois suivant sur les prochains achats réalisés sur Rakuten.

*Source Médiamétrie, donnée constatée au Q4 2020


On ne pourra jamais faire l’économie du livre

En 2020, des milliers de librairies et de bibliothèques dans le monde ont été contraintes de fermer leurs portes pour enrayer la propagation du coronavirus. Leur activité en a été profondément affectée mais les libraires ont pu trouver dans les plateformes de e-commerce de précieux alliés. Grâce à ce partenariat, les ventes de livres en ligne ont connu une très forte progression. Sur notre place de marché, nous avons vendu 25 % de livres supplémentaires par rapport à l’année précédente. Toutefois, la vente sur notre plateforme de ces produits culturels n’est pas un fait nouveau. Les libraires font partie de nos partenaires historiques. Convaincu de l’importance de la lecture, j’ai souhaité vous partager trois ouvrages qui ont marqué à la fois le lecteur passionné que je suis mais aussi le citoyen et le dirigeant d’entreprise.

  1. L’entreprise du XXIème siècle sera politique ou ne sera plus (Pascal Demurger)

Le premier d’entre eux est l’ouvrage de Pascal Demurger, Directeur général du groupe MAIF,  L’entreprise du XXIème siècle sera politique ou ne sera plus (2019). L’auteur y démontre avec brio que l’engagement d’une entreprise peut devenir sa source principale de performance économique. Il nous incite à nous affranchir de la responsabilité sociétale des entreprises pour passer à l’étape suivante, celle qu’il nomme audacieusement « l’entreprise politique ». J’y vois une source d’inspiration. Comment ne pas reconnaître dans son « obsession du temps long » la culture de l’excellence de service et de fidélisation de notre groupe international d’origine japonaise ? Comment ne pas voir dans son plaidoyer en faveur de la convergence des intérêts des entreprises et de leurs interlocuteurs un écho au travail que nous menons aux côtés des libraires ?

  1. Capitalisme, Socialisme et Démocratie (Joseph Schumpeter)

Ce sont d’ailleurs ces mêmes partenaires que nous avons accompagnés, au plus fort de la crise, dans la digitalisation de leur activité. En la matière, les mutations qui s’opèrent sont rapides, nombreuses, plurielles. Me replonger dans la lecture de Capitalisme, Socialisme et Démocratie (1942) de Joseph Schumpeter me permet de puiser dans le passé des concepts qui me guident pour mieux analyser le présent. Sa théorie de la destruction créatrice n’a rien perdu de sa pertinence lorsqu'il s’agit d’étudier l’impact économique des innovations numériques et technologiques d’aujourd’hui.

  1. Dans la forêt (Jean Egland)

Ces innovations ne sont pas seulement sources de richesses et créatrices de valeur, elles peuvent aussi apporter des solutions pour lutter contre le dérèglement climatique. Nous sommes, sur ce sujet, à l’aune de changements considérables qui peuvent nous effrayer mais sur lesquels nous devons tenter de porter un regard différent. Ces sujets, la littérature les explore depuis longtemps. Dans la forêt (1996) de Jean Egland, avait à sa sortie été qualifié de « choc littéraire ». Ce roman m’a captivé et beaucoup questionné. Et si « les contemporains d'une époque charnière de l'Histoire [étaient effectivement] les personnes les moins susceptibles de la comprendre » ? Il fait aussi partie de ces livres qui permettent de saisir l’urgence, qui donnent l'élan d’agir pour préserver nos ressources et réduire notre empreinte carbone. Être éco-responsable, c’est s’engager à acheter des biens de seconde main. C’est aussi « vivre mieux avec moins ». En ce qui concerne les livres, le marché de l’occasion a encore de beaux jours devant lui. En revanche, personne ne peut vivre avec moins de livres. Le personnage de Nell, créé par Jean Egland, le sait bien. C’est le seul objet dont elle n’a pu se défaire complètement, le seul dont on ne pourra jamais faire l’économie.


Portrait : Lucie, femme Lead Technique

En France, Rakuten c’est plus de 350 collaborateurs engagés au quotidien pour que notre place de marché réponde aux attentes de ses 8 000 marchands partenaires, de ses millions de visiteurs uniques par mois et ses 9 millions de membres.
C’est pourquoi, nous avons décidé de mettre à l’honneur nos collaborateurs et de leur donner régulièrement la parole sur notre blog !
Aujourd’hui, on commence par une femme, Lucie, Lead Technique.

Et si on parlait des développeurs, ce métier pas si masculin ?

Les clichés ont souvent la vie dure. C’est notamment le cas lorsqu’on pense aux Développeurs. Dans l’esprit collectif, il s’agit principalement d’un métier d’hommes, taciturnes, de geeks... D'ailleurs, en France, en 1973, 600 femmes avaient obtenu le titre d’ingénieur, soit 5% du nombre de diplômés. À la rentrée 2017-2018, la part d’étudiantes dans les écoles d’ingénierie représentait 27 % des effectifs. La parité serait prévue pour 2075...

Pourtant, il fut une époque pas si lointaine où de nombreux programmeurs étaient en réalité des programmeuses, sans parler des femmes qui ont créé et développé l’informatique !

Ada Lovelace, par exemple, la pionnière du secteur qui, au 19ème siècle, a imaginé une machine dont les possibilités iraient au-delà du calcul et qui serait capable de jongler avec les mots, les images et la musique. Trop en avance sur son temps, le projet ne sera jamais construit, mais ses notes et croquis rédigés seront utilisés par les hommes qui bâtiront le premier ordinateur, un siècle plus tard.

Puis ce fut le tour de Hedy Lamarr, la pionnière de la technologie wifi, Grace Hopper, qui a créé le langage de programmation standard encore employé aujourd’hui, ou encore Roberta Williams, qui a designé Mystery House (1980), le premier jeu d'aventure graphique... pour ne citer qu'elles !

Autre anecdote, savez-vous que dans certains pays, comme la Malaisie, l'informatique est un secteur surtout féminin aujourd’hui ?
Et oui, la perception de la discipline est différente d'une région à l’autre de la planète. En Occident, on considère que l'informatique signifie un pouvoir sur le monde. Hors de l'Occident, on le voit plus comme un métier que l'on peut faire chez soi, et qui ne demande pas d'effort physique. Nous avons donc demandé à Lucie, notre Lead Technique de nous présenter son poste...

Lucie, peux-tu te présenter ?

Je suis Lead Technique C2C. Plus concrètement, je suis l’experte technique d’une équipe de près d’une dizaine de développeurs web dédiés au bon fonctionnement de la vente entre les particuliers sur notre plateforme et de son amélioration continue.
Mon rôle est également d'analyser ce qui est concrètement faisable lorsque le pôle C2C nous partage leurs souhaits techniques, puis de les mettre en place avec l’équipe.

Pourquoi choisir ce métier ?

Mes parents sont ingénieurs en informatique dans les télécommunications. Ils travaillent énormémement, souvent seuls, n'arrivent pas vulgariser ce qu'ils font lorsqu'ils me parlent de leur journée... Je n'étais donc pas motivée de poursuivre dans leur voie. Et rester derrière un ordinateur toute la journée ? Très peu pour moi.
J'ai pensé pendant un moment devenir médecin !
Et puis, tout a commencé lorsque j’étais en 3ème... Pour m'occuper après mon Brevet, je “bidouillais" mon blog pour constamment l’améliorer. J’adorais ! C'est à ce moment là que j'ai compris la beauté de ce métier : avoir un impact fort sur le produit sur lequel on travaille.
Mes parents ont réussi à me convaincre de faire une école d’ingénieur. Et grâce à mes stages, j’ai découvert que l’informatique était une voie beaucoup plus créative que je ne le pensais.

Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?

Je sais que la plupart des gens ont du mal à l’imaginer mais travailler en tant que développeur web permet surtout de travailler en équipe. Nous ne sommes jamais seuls.
Avant de lancer un projet, nous en discutons ensemble, évaluons le pour et le contre, imaginons les scénarios possibles. Et parce que nous avons la connaissance technique, nous sommes force de propositions lorsque nous échangeons avec les équipes marketing par exemple. Et au sein de l'équipe, nous travaillons souvent à plusieurs sur le même code, en faisant du "pair programming". C'est très enrichissant pour chacun, ça permet d'apprendre des autres et de tirer tout le monde vers le haut.
Chez Rakuten, nous développons des fonctionnalités concrètes, utiles. Et je suis heureuse de faire un métier qui sert au plus grand nombre, qui est perceptible au moindre changement de lignes de code. C’est vraiment valorisant.

Les compétences indispensables selon toi pour ce poste ?

L'informatique peut être ouvert à tous. Les compétences techniques sont nécessaires évidemment, mais il est primordial de croire en son approche, à son analyse. Il ne faut pas hésiter à partager ses idées car elles peuvent débloquer des projets en cours.
On me dit souvent que l’informatique n’est pas un métier sexy... Développeur est pourtant un secteur qui offrent de formidables opportunités de carrière et qui gagnerait à être mieux connu, que l'on soit un homme ou une femme.

Convaincu(e) ? Et si vous la rejoigniez ? Offre à pourvoir ici


Demain sera phygital

Si la crise a accéléré la digitalisation nos modes de vie, de travail et de consommation, elle nous a aussi rappelé combien le monde physique nous était cher. 
Voilà pourquoi le monde vers lequel nous tendons est hybride, et s’appuie sur ce que le digital a de meilleur pour améliorer durablement notre quotidien. 

Les mille et un visages du retail 

Le retail n’en est pas à sa première révolution : déjà au XVIIe siècle, les imprimeurs proposent aux commerçants le prospectus à souscription. Les catalogues modernes et la vente à distance apparaissent quant à eux au XIXe siècle, notamment avec le catalogue de 144 pages du Printemps édité en 1870 en 12 langues. Dans les années 1980, ce fut le début de ce qui deviendra l’e-commerce avec les ventes par minitel grâce à la démocratisation d’Internet, puis le premier paiement par carte bancaire en 1994, le drive… la suite, … nous la connaissons ! 

Chaque nouveau canal ou mode de distribution vient ainsi compléter les précédents, sans jamais supplanter la vente traditionnelle, pour plusieurs raisons : la satisfaction de voir / toucher avant d’acheter, le plaisir d’un contact humain personnalisé, la possibilité de disposer du produit instantanément et de découvrir de nouvelles références. 

Et après des mois de consommation quasi-exclusivement digitale, personne ne remettrait en cause ce besoin « de réalité ». Même lorsque nous achetons en ligne, notre préférence va aux enseignes tangibles, qui existent en dur. Les achats en France continuent de se faire en boutique, acteurs indispensables de nos centres-villes. Et bien que le e-commerce ne cesse de se développer, en particulier depuis le début de la crise, les magasins physiques sont définitivement loin d’avoir dit leur dernier mot !  

Vers une transition technologique 

Encore faut-il être prêt à accueillir l’innovation et comprendre qu’il peut s’agir d’un véritable atout. Car oui, la technologie n‘est pas synonyme uniquement de ventes en ligne. On l’a bien vu pendant le premier confinement, les commerçants qui ont entamé leur transition vers un service omnicanal, ont vu leur chiffre d’affaires augmenter de 20 %*. 

Parce qu’elle enrichit l’expérience d’achat et protège nos centres-villes de la désertification, la vente omnicanale a réellement fait la différence, et nous n’en sommes qu’aux prémices.  

Chez Rakuten, en tant que pure marketplace, nous existons pour le commerce. Nous croyons ainsi en la complémentarité entre commerce physique et commerce en ligne. Nous sommes d’ailleurs la 1ère plateforme e-commerce omnicanal en France. La solution de click and collect, en permettant de générer du trafic en magasin, développe la satisfaction client : à titre d’exemple les marchands qui offrent la possibilité de faire du click & collect ont en moyenne un Net Promoter Score supérieur de 5 points à ceux qui ne le proposent pas*.  

Vers un monde phygital… et exigeant 

Tous les usages qui ont contourné ou atténué les effets de la crise grâce au digital vont ainsi continuer de tirer ce fil : le monde du travail va poursuivre sa mue, l’immobilier tertiaire évolue déjà vers des bureaux as a service, le client pratique le web to store, etc.  

Mais cela a pour conséquence un niveau d’exigence encore accru : exactement comme les réseaux sociaux ont permis à l’expérience client de s’imposer, les retailers sont confrontés à un consommateur dont la grille de lecture a été préalablement nourrie par le foisonnement des offres et informations disponibles en ligne.  

Les retailers doivent donc savoir parler le langage de ce client “augmenté”, comprendre ses références, pour répondre à ses attentes.
Or, c’est un sujet que les marketplaces connaissent de l’intérieur. C'est pourquoi, nous devons aider les commerçants. 

Faire confiance aux places de marché 

Car oui, s’il existait depuis longtemps, l’accompagnement des marketplaces s’est fortement accéléré avec les confinements. En plus d’avoir pu poursuivre son activité, le commerçant qui fait le choix de s’appuyer sur une marketplace a aujourd’hui accès à des datas et des outils dont il ne disposait pas avant, comme la possibilité d’analyser les comportements de ses clients, d’améliorer ses process, d’évaluer l’expérience utilisateur et bien sûr de bénéficier d’une audience complémentaire, tout cela à moindre coût. Il pourra à l’avenir faire évoluer son modèle au rythme des attentes de ses consommateurs, sans parler des nouvelles possibilités qui se présenteront à lui.  

Et parce qu'il n’y a pas de e-commerce sans commerce, tout comme il n’y a pas de vie de quartier sans magasin : il faut choisir une place de marché qui considère le commerce comme un réel partenaire.  

Cependant, il y a encore un gap entre les commerçants et la vente en ligne. 
Résultat : Les commerçants ne profitent encore que trop peu des outils mis à leur disposition, en particulier les TPE qui n’ont pas toujours les ressources (humaines, financières, ...) pour se lancer et se digitaliser. La crise aura donc été un révélateur pour le retail, en le faisant entrer de plain-pied et à grande échelle dans l’ère du phygital. C’est une très bonne chose, car cela lui permet de répondre à une demande qu’il ne pouvait plus ignorer : avec ou sans Covid-19, le consommateur s’attend à une expérience d’achat hybride et donc en partie digitalisée.  

Voilà pourquoi il est indispensable d’être visible en ligne et  et d'offrir une expérience enrichie. 
Autant de défis à relever pour les commerçants et pour lesquels, nous nous engageons en véritable partenaire.
Autant de raisons pour avancer ensemble ! 


Rakuten France relance et renforce son dispositif de soutien aux TPE/PME initié en 2020

Rakuten, première place de marché omnicanale en France, relance et renforce son dispositif de soutien “E-Commerce pour tous”, initié en 2020  

Alors que les commerces de 16 départements français se retrouvent pour la troisième fois en un an dans l’obligation de fermer leurs magasins à la suite de l’instauration de mesures de restriction en fonction de la situation sanitaire par département, Rakuten se mobilise à nouveau pour venir en aide aux commerçants et leur permettre de poursuivre leur activité en ligne.

A compter du 19 mars et pour une durée de trois mois, Rakuten relance son dispositif d’aide “E-Commerce pour tous”, mis en place dès le premier confinement. Au total, 2 500 commerçants ont déjà bénéficié de ces mesures de soutien à la digitalisation.

Les mesures d’aide à la poursuite de l’activité proposées par Rakuten, en faveur des TPE et PME, représentent l’équivalent d’une enveloppe de 2 000 €. Ces mesures sont les suivantes : 

  • La gratuité de l'abonnement pendant trois mois, pour toutes les TPE & PME désireuses de vendre rapidement en ligne. D’une valeur de 499€/mois, et sans engagement de durée, les commerçants profiteront des taux de commission les plus avantageux de la plateforme.
  • L’activation du click & collect sans surcoût et sans commission sur les ventes réalisées par ce mode de retrait, pour soutenir le commerce de proximité. Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, rappelait lors du deuxième confinement l’importance de maintenir le lien entre les clients réguliers et leurs commerçants en privilégiant ce mode de retrait en magasin.
  • L’accès libre à la "Rakuten Academy", plateforme d’e-learning proposant des formations accélérées aux fondamentaux de la vente en ligne.
  • Un bon de 500€ de “Rakuten Ads” pour aider les commerçants à générer instantanément du trafic complémentaire et développer leurs ventes.
  • Une session de coaching personnalisée avec un consultant E-Commerce Rakuten (ECC).

Rakuten héberge aujourd’hui plus de 8 000 marchands sur sa plateforme, dont 85 % de commerçants français. Rakuten ne vend pas de produits en propre et n’entre donc jamais en concurrence avec les vendeurs présents sur sa galerie marchande en ligne. La place de marché donne accès à une audience de plus de 17 millions de visiteurs mensuels dont 9 millions de clients fidèles, membres du Club R.

Partenaire du commerce de proximité, Rakuten est convaincu que cette démarche répond aux besoins immédiats des commerçants de vendre en ligne alors qu’ils font de nouveau face à un coup d’arrêt brutal de leur activité en magasin. Elle s’inscrit en complément du programme de soutien de long terme porté par Rakuten pour lever les obstacles structurels à la digitalisation du commerce en France.

Pour en savoir plus sur le dispositif, cliquez ici


Et si on parlait rangement ?  

Dans quelques jours, nous allons fêter l'arrivée du printemps ! Et ce sera le moment du fameux ménage de printemps ! Ranger, nettoyer, recycler... Ce rituel annuel est le moment parfait pour mettre de l’ordre chez soi, faire le tri dans ses placards et se débarrasser de ses affaires devenues trop encombrantes. 
Mais au lieu de jeter, si on recyclait ? 

L'importance du rangement 

Connaissez le concept de Seiso? C’est l’idée que, pour bien structurer sa pensée, il faut un environnement de travail ordonné.  

Chez Rakuten, le rangement tient une place importante et depuis toujours.
Chaque semaine, nous pratiquons ce concept à l’issue de notre réunion hebdomadaire – l'Asakaï : tous les collaborateurs du groupe à travers le monde désencombrent leur bureau, nettoient les surfaces, c’est comme un nouveau départ... Nous prenons ce rituel très au sérieux. C'est une tradition, un élément clé de notre culture issue de nos origines japonaises. Même Hiroshi Mikitani, fondateur et PDG de Rakuten, un matin par semaine, pratique ce rituel ! 

Pourquoi faisons-nous cela ? Pour être fiers de notre lieu de travail. L’arrivée du Covid-19 a évidemment changé les choses, mais à l’origine, il s’agit de prendre soin de nous, de faire place nette pour commencer une nouvelle semaine de travail. 

La méthode KonMari 

Et pour cela, quoi de mieux que les conseils de la papesse du rangement, Marie Kondo ? 

« Le rangement est quelque chose que vous faites pour devenir une personne plus heureuse dans la vie. C'est aussi simple que cela », a déclaré Marie Kondo lors de l’événement Rakuten Optimism 2019 

Best-Sellers, série originale Netflix nommée aux Emmy en 2019, collection d’accessoires et de solutions de rangement pour Container Store...  Marie Kondo, également connue sous le surnom de "KonMari", est une personnalité internationale. Elle a développé avec succès son entreprise de "rangement", qui a démarré alors qu'elle n'était qu'une étudiante de 19 ans à Tokyo. Depuis, son message ne cesse de faire des adeptes dans le monde entier : elle encourage les gens à chérir les choses qui suscitent “la joie dans leur vie”.  

En effet, KonMari s'est engagée à aider chacun d’entre nous à transformer leurs maisons encombrées en lieux de sérénité et d'inspiration - ce que nous recherchons pour nos propres espaces de travail. Elle nous incite également à pratiquer la pleine conscience, à nous engager dans une saine autoréflexion et à envisager l'avenir avec optimisme. 

C'est pour toutes ces raisons que Marie a été nommée en 2019, première "ambassadrice de la joie" de Rakuten 

« En rangeant votre maison, la question la plus importante à se poser à propos d'un objet est "Est-ce qu'il suscite de la joie ?”, si ce n'est pas le cas, laissez-le partir avec gratitude.», nous explique-t-elle. 

Ranger et pourquoi pas gagner de l’argent ? 

Alors, lorsque vous vous décidez à vous séparer de vos vêtements, de vos meubles, de vos livres devenus inutiles, au lieu de les jeter, pourquoi ne pas les vendre ?  

En France, Rakuten est un acteur historique du marché de l’occasion et nous sommes la seule marketplace généraliste qui opère un e-commerce véritablement "circulaire". En respectant une consommation responsable et respectueuse de la planète, nous permettons aux Français, depuis 20 ans, de donner vie aux produits initialement prévus pour la poubelle.  

Parce qu’ils sont moins chers que les neufs - en moyenne de 30 % - acheter des produits d’occasion est bon pour la planète mais permet aussi de faire attention à son portefeuille ! 

Ces 10 dernières années, nous avons reversés pas moins de 500 millions d’euros de vente à nos vendeurs particuliers ! Et si vous êtes membre du Club R, notre programme de fidélité le plus généreux de l’e-commerce en France, vous pouvez cumulez des Rakuten Points aussi bien en vendant qu’en achetant d’occasion.  

Et le boom du marché de l’occasion rencontré depuis l’arrivée du Covid-19, ne faiblit pas. Au contraire ! 
Sur les 6 derniers mois, nous constatons que 2 produits sur 3 vendus sur notre plateforme sont des produits de seconde-main, près de 50 millions d’annonces sont actuellement disponibles et en moyenne, 6 paniers sur 10 contiennent au moins un produit d'occasion.  

Il y aura toujours un repreneur de votre collection de vinyles, de votre collection de la bibliothèque rose ou de votre table de nuit ! 

Pour découvrir tous les avantages à vendre sur Rakuten, le rachat immédiat ou encore nos conseils, cliquez ici


Pour un nouveau positivisme technologique

Nous vivons une époque paradoxale. Alors que les innovations n’ont jamais eu un impact aussi positif sur notre vie quotidienne, que le progrès technologique devrait susciter de la confiance, c’est le contraire que l’on observe. Selon l’IFOP, 56% des Français (+15% en un an !) se disent inquiets quant à l’essor des nouvelles technologies. C’est la première fois qu’une majorité des Français expriment une telle défiance. Et c’est une mauvaise nouvelle pour tous ceux qui ont une vision résolument optimiste du rôle de la technologie.

A l’heure du complotisme et des fake news, les idées reçues prospèrent. C’est vrai pour la 5G, dont le lancement suscite des débats passionnés et un lot surprenant d’arguments irrationnels. Vrai pour la protection de l’espace public par la vidéo, de la reconnaissance faciale ou d’autres formes d’identification biométrique, qui ont vite fait d’être des technologies « liberticides ». Vrai pour les vaccins qui seraient une invention dangereuse et lucrative des groupes pharmaceutiques. Vrai pour les réseaux sociaux ou les applications collaboratives, désignés responsables d’une société virtuelle, dématérialisée et déshumanisée. Vrai enfin pour les marketplaces accusées de signer la mort des petits commerces et de promouvoir une surconsommation compulsive.

Prenons ce dernier sujet, que je connais bien. Cette idée reçue ne résiste pas un instant à l’épreuve des faits ! En vérité, les plateformes de e-commerce, par la technologie qu’elles mettent en œuvre, constituent pour les petits commerçants une opportunité formidable permettant d’atteindre un public incomparablement plus vaste que celui auquel ils avaient jusqu’ici accès. C’est en particulier le cas pour les acteurs 100 % "places de marché", véritables centres commerciaux virtuels ne faisant pas concurrence aux vendeurs qu’ils hébergent. Ce relais de croissance a été précieux pour nombre de commerces quand les confinements ont imposé la fermeture des points de vente physiques. Combien ont ainsi pu maintenir une activité et sauver leur entreprise ?

C’est là le plus grand paradoxe de ce regain de méfiance envers la science et la technologie : il intervient au moment où nous leur devons le plus. 2020 a été difficile ? Imaginons ce qu’elle aurait été sans la technologie ! Sans le très haut débit, qui a permis à nombre d’entreprises de poursuivre leurs activités, grâce au télétravail ; sans les plateformes collaboratives, grâce auxquelles des personnes ont pu rompre leur isolement, des familles maintenir les liens. Sans les plateformes de e-commerce, sans les drive, qui nous ont permis de réduire notre exposition au virus. Enfin, sans les technologies open data, sans cette mise en commun de données sans précédent, qui a aidé la communauté scientifique internationale à mettre au point en un temps record les traitements et vaccins qui ont sauvé et sauveront des centaines de milliers de vies.

Donc, alors que la technologie a démontré sa capacité à contenir une crise sanitaire mondiale, nous devrions nous en écarter ? L’erreur serait fatale, car la technologie porte en elle les réponses aux défis de notre temps. Ainsi, plutôt que de nous méfier de l’intelligence artificielle – ce vieux fantasme des robots qui prendraient le pouvoir ! – nous devrions en faire, comme le fait le Japon, un allié assumé pour répondre à des problèmes très concrets : engorgement des villes, aide à la mobilité des personnes âgées, gestion fine et à grande échelle de nos consommations énergétiques, acheminement des biens vers des régions isolées, réduction de la pénibilité au travail. Les exemples sont innombrables. C’est enfin une réinvention de nos comportements d’achat, ne serait-ce qu’en matière de réemploi : la technologie a donné à la pratique de l’occasion autrefois enfermée dans la sphère locale, dans le bouche-à-oreille, une échelle incomparable.

Oui, la technologie a ses excès, et nous devons nous en garder. Individuellement, en essayant d’adopter des comportements plus matures. Et collectivement par une régulation adaptée et juste. Nous devons aussi réfléchir aux causes profondes de cette méfiance collective. Elles sont nombreuses : l’accélération parfois sans contrôle du progrès technologique et ses conséquences irréversibles sur notre environnement ; l’accroissement des inégalités qui a accompagné la diffusion des innovations, et le manque d’investissement pour relever le défi de l’inclusion digitale, qui fait que nombreux sont ceux qui perdent pied face à un monde qui va trop vite. Je suis convaincu que nous devons être plus solidaires, plus inclusifs, mieux partager les fruits de l’innovation et les rendre accessibles à tous.

Nous devons, nous acteurs économiques, faire beaucoup plus de pédagogie pour expliquer l’intérêt des innovations. Pour combattre ce nouvel obscurantisme, il faut nouveau positivisme technologique, qui évite les discours incantatoires. Continuons de nous baser sur des faits vérifiables, objectifs, car c’est ce qui différencie notre discours positif et rationnel des rumeurs propageant les idées reçues. Et surtout travaillons main dans la main avec les pouvoirs publics pour que les enseignements scientifiques retrouvent leurs lettres de noblesse, notamment grâce à des sujets d’étude plus directement en phase avec le monde de demain ; je pense par exemple au coding. C’est ainsi que nous pourrons rendre de nouveau audible un discours valorisant, et peut-être même enchanteur, sur la science, et patiemment, petit à petit, redonner foi en la technologie.

L’engouement suscité par l’arrivée de Perseverance sur Mars nous montre que l’humanité peut encore vibrer devant un exploit technologique. Il prouve que notre espèce continue de rêver à repousser les frontières, refusant toute limite autre que celle de son imagination. J’y vois une note d’espoir, un premier pas vers la reconquête des esprits. Persévérons !

Par Fabien VERSAVAU, Président et PDG de Rakuten France


La différence est une force

A l’occasion de la journée de la Femme, nous voulions mettre à l’honneur une collaboratrice de notre groupe.

Nous avons donc demandé à Yuko Oki, notre Global Partnership Managing Director - qui a concrétisé notre tout nouveau partenariat avec le British Fashion Council - de nous retracer son parcours.

Yuko, qu’est-ce qui t’a amenée à devenir Global Partnerships Managing Director pour le groupe Rakuten ?

J'ai un parcours plutôt atypique. Japonaise d’origine, j’ai vécu à Paris pour y mener des études d’art et de de philosophie. J'étais même au conservatoire de musique ! Mais lorsque mon professeur m’a dit “tu es bonne, pas excellente”, c’est à ce moment-là que j’ai choisi de m’orienter vers le marketing et la publicité, domaine dans lequel j’ai travaillé pendant près de 20 ans.
Puis, j’ai eu l’opportunité d’intégrer Rakuten en tant que Head of Global Business Development et je m’occupe aujourd’hui des partenariats du groupe.

Selon toi, qu'est-ce qui fait ta force ?

J’ai effectué mon premier emploi dans une agence de publicité, il y a 20 ans, pour laquelle j'ai dû apprendre l’anglais. Imaginez, une femme japonaise, parlant anglais avec un accent français !

Ensuite, j’ai collaboré pour des agences aux Etats-Unis, A Singapour, en Chine, au Moyen Orient, et au Japon. Mon expérience de cultures différentes a été des atouts particulièrement importants dans le marketing, surtout dans un groupe international. Connaitre ses clients qui se trouvent partout dans le monde, les comprendre, est une réelle richesse pour construire ses stratégies.

Pourquoi ce partenariat avec le British Fashion Council ?

La mode est depuis longtemps un domaine cher à Rakuten.
Dès 2017, avec l’acquisition de ShopStyle, l’une des principales places de marché spécialisées dans la mode et l’art de vivre, puis en 2019, lorsque le groupe devient le principal partenaire de la Fashion Week de Tokyo.
C’est également une volonté très forte du groupe de faire connaître la mode japonaise et ses créateurs à travers le monde.

Récemment, nous avons annoncé le parrainage du British Fashion Council (BFC), une organisation qui promeut la mode britannique à l'échelle internationale par le biais d’une “Fashion Week”, d'expositions et d'événements de prestige.
Notre rôle ? Soutenir l'organisation qui souhaite mettre en place des programmes concrets qui bénéficieront à l'industrie et à son besoin de renouvellement, en particulier à cause du Covid qui a évidemment durement impacté le secteur. Ce nouveau partenariat permet également à Rakuten de contribuer à l'une des “Fashion Week” les plus emblématiques au monde.

C’est la journée de la femme et des droits de la femme, à cette occasion, as-tu un message à faire passer ?

Vous connaissez certainement le “syndrome de l’imposture” ? Un sentiment que je ressens bien souvent. Ne pas se sentir capable, de manquer de confiance en soi...  Nous sommes pourtant tous en mesure de concrétiser des choses que l’on pense a priori inatteignables !

Je venais d’arriver de mon Japon natal dans les années 1980 – 90 quand je me suis retrouvée en France et dans d'autres pays, seule étudiante asiatique de ma classe et ne parlant pratiquement pas la langue ! Ce n’était pas évident, mais ce fut une expérience incroyable qui m’a beaucoup appris.

De cette expérience parisienne, je retiens 2 choses fondamentales : “ Vive la différence !” et “Pas comme les autres” qui ont réellement marqué ma vie. J’ai en effet appris l’importance d’avoir son propre point de vue. Il ne faut pas hésiter à voir le monde autrement, à croire en sa propre perception. La diversité des points de vue et des cultures est une vraie force. Aujourd’hui, je suis une femme japonaise au comité de direction, je n’hésite pas à partager mon point de vue et j’en suis fière.

Pour en savoir plus sur le partenariat du groupe Rakuten avec le British Fashion Council, cliquez ici