Les petits secrets de Noël : 1 Français sur 2 a déjà offert un cadeau qu’il avait reçu… ou y a déjà pensé

Paris, le 9 décembre 2025 - Le baromètre Rakuten France–Ipsos bva révèle ce que les Français font à Noël… mais ne disent pas toujours : cadeaux de seconde main glissés en douce, présents qui circulent d’un foyer à l’autre, revente devenue presque un réflexe. Derrière ces pratiques parfois discrètes, les chiffres révèlent des Français plus malins mais toujours attachés au plaisir d’offrir.
Les Français croient encore que les cadeaux de seconde main doivent rester cachés… alors que le plaisir reste intact

Près de la moitié des Français (49%) pourrait acheter des cadeaux de seconde main cette année, une option idéale pour dénicher le bon produit au bon prix. Parmi ces acheteurs potentiels, 66% y voient l’occasion de faire une bonne affaire, 37% un geste pour la planète et 35% une façon d’accéder à des produits qui seraient hors budget en neuf.
Par peur de décevoir, certains préfèrent encore rester discrets : 1 Français sur 3 (34%) admet avoir déjà offert un cadeau de seconde main sans le dire et 1 Français sur 3 (33%) ne l’a pas fait mais déclare que cela pourrait arriver.
Une cachotterie qui ne reflète plus les mentalités actuelles : 1 Français sur 2 (49%) serait ravi de recevoir un cadeau de seconde main car cela ne ferait aucune différence.
Et cette évolution s’inscrit dans un mouvement plus large : sur Rakuten, 1 produit vendu sur 2 est de seconde main, signe que la circularité s’installe durablement dans les habitudes d’achat, bien au-delà des fêtes.
Et dans cette recherche du bon cadeau, un autre réflexe s’installe : 1 Français sur 3 s’appuie désormais sur l’IA pour préparer ses achats de Noël (une habitude encore plus présente chez les 16-34 ans qui sont 4 sur 10 à le faire), que ce soit pour trouver une idée, comparer les prix ou vérifier la fiabilité d’un site.
Pascal Lardellier, sociologue, anthropologue et auteur du livre Eloge de ce qui nous lie : l'étonnante modernité des rites (2023), déclare : « L’IA est un assistant. Il ne remplace pas l’intention mais l’affine, et pose avant tout les bonnes questions, par exemple à qui s’adresse le cadeau et quels sont ses goûts, pour recréer de l’attention à l’autre. C'est précisément là que peut naître l’enchantement du cadeau. »
La vie (pas si) secrète des cadeaux : réofferts, revendus, adoptés à nouveau

Les cadeaux circulent de main en main, et ce n’est plus un sujet sensible. 1 Français sur 2 a déjà offert un cadeau qu’il avait lui-même reçu… ou y a déjà pensé. Plus concrètement, un quart l’a déjà fait.
Une pratique autrefois taboue, aujourd’hui en plein dans l’air du temps : éviter le gaspillage, prolonger la vie des objets, offrir autrement. Les Français assument davantage l’idée qu’un objet puisse connaître plusieurs propriétaires au fil du temps.

Près d’1 Français sur 3 (31%) serait prêt à revendre son cadeau de Noël s’il ne lui convenait pas cette année. Et cette proportion grimpe encore chez certains profils : 42% parmi ceux qui comptent acheter de la seconde main cette année, et 41% chez les 35–54 ans ; soit, dans les deux cas, un peu plus de 4 Français sur 10.
Les raisons sont simples :
- 44% revendent parce que le cadeau ne plaît pas
- 42% parce qu’il n’est pas utile
- 21% préfèrent transformer ce présent en quelque chose qui leur fera vraiment plaisir
Si cette revente est devenue plus courante, elle est aussi mieux acceptée. Près de 3 Français sur 4 (71%) réagiraient de manière positive ou neutre si un proche revendait un cadeau qu’ils ont offert :
- 43% déclarent que cela n’aurait pas d’impact sur leur ressenti
- 28% considèrent même que cela permet de donner une seconde vie à l’objet.
En moyenne, les Français déclarent avoir récupéré près de 100€ en revendant leurs cadeaux reçus à Noël 2024. Une somme bienvenue pour compenser le budget des fêtes.
Cette évolution des usages montre surtout une chose : les Français composent des fêtes qui leur ressemblent davantage, en mêlant plaisir d’offrir, attention portée au choix des objets et recherche d’un rapport plus juste à la consommation. Et malgré les arbitrages budgétaires, le plaisir d’offrir reste leur premier moteur (36 %), loin devant l’inquiétude liée au budget (22 %).
Pascal Lardellier explique : « La revente des cadeaux illustre un basculement vers un Noël plus pragmatique dans un contexte de crise. On conjugue désormais économie circulaire et arbitrages budgétaires : ne pas perdre d’argent si un cadeau ne nous plaît pas, voire en regagner, devient une stratégie assumée. »
Méthodologie
L’étude Rakuten – Ipsos bva a été réalisée auprès d’un échantillon national de 1500 individus représentatifs de la population française âgés de 16 ans et plus ainsi qu’auprès de 100 commerçants de produits non alimentaires (0 à 9 salariés). L'enquête a été menée en ligne en septembre 2025.
Comment utiliser le social commerce pour développer vos ventes ?
Près de 30 % des Français ont déjà acheté via les réseaux sociaux (source : étude Adyen), et ce chiffre grimpe à 50 % chez la Gen Z (personnes nées entre 1997 et 2012). Avec l’explosion du social commerce, ignorer ce canal revient désormais à se priver d’un levier de croissance majeur. En tant que vendeur en ligne, le commerce social est une opportunité unique pour diversifier vos canaux de vente, toucher de nouvelles audiences et augmenter vos revenus. Mais pour en tirer pleinement parti, vous devez en comprendre le fonctionnement et adopter la stratégie adaptée.
Comprendre le social commerce : fonctionnement et bénéfices clés
Le social commerce, aussi appelé commerce social ou shopping social, désigne le fait d’acheter et de vendre directement via les plateformes de réseaux sociaux. Tout le parcours de vente s’effectue depuis la même interface :
- Découverte des produits ;
- Avis ;
- Recommandations ;
- Ajout au panier ;
- Paiement.
Prenons le cas d’un utilisateur sur TikTok, par exemple. Il découvre une vidéo mettant en avant une tasse isotherme. Intrigué, il clique sur l’étiquette du produit intégrée à la vidéo, consulte les avis, puis l’achète. Le tout sans quitter l’application, en quelques secondes seulement.
C’est ça, le social commerce : des achats intégrés, fluides et instantanés.
Social commerce VS social selling : la différence à retenir
Il est important de distinguer le social commerce et le social selling.
Le social selling s’adresse principalement au B2B et repose sur la construction de relations durables. Sur LinkedIn, par exemple, il s’agit avant tout de prospection digitale, de développement de réseau et d’influence professionnelle. L’objectif est de renforcer la confiance, la notoriété de votre marque et son expertise… mais l’acte d’achat final se réalise généralement hors de la plateforme ou résulte indirectement de la relation établie.
Le social commerce, au contraire, est transactionnel et orienté B2C : son rôle est de permettre à l’utilisateur d’acheter un produit directement depuis la plateforme, en simplifiant au maximum le passage de la découverte du produit à la conversion.
Comment le social commerce peut transformer votre activité ?
Le social commerce ne change pas seulement votre façon de vendre : il transforme votre activité en profondeur. En quelques clics, vous touchez une audience immense, vous fluidifiez votre parcours d’achat et vous convertissez davantage. Voici les principaux bénéfices du commerce social :
- Il accroît votre visibilité et renforce votre notoriété de marque.
- Il améliore l’expérience client en ligne en offrant aux acheteurs un parcours simple et sans friction.
- Il augmente vos conversions grâce à la simplicité d’achat et au poids des recommandations sociales.
- Il vous permet de mieux cibler vos clients en vous donnant accès à des données comportementales.
- Il peut s’adresser à de nouvelles cibles qui n’utilisent pas vos canaux de vente habituels (site e-commerce, e-shop sur une marketplace, boutique physique…).
- Il renforce la preuve sociale grâce aux commentaires, avis et partages, et crée un effet de communauté.
Les étapes pour une stratégie de social commerce réussie
Créer un compte Instagram ou TikTok ne suffit pas pour se lancer en shopping social. Pour réussir en social commerce, vous devez construire une présence crédible, engager activement votre communauté et analyser régulièrement vos performances.
Bâtir votre présence et renforcer votre crédibilité
Votre présence sur les médias sociaux est la base de votre réussite. Avant d’acheter, les utilisateurs observent votre sérieux, votre authenticité et votre constance. En travaillant votre présence, vous renforcez immédiatement la confiance que les utilisateurs vous portent et augmentez vos chances de réaliser des ventes en social selling.
Voici les bases indispensables pour façonner une image de marque crédible et engageante :
- Optimisez vos profils
- Sur Instagram Business : une biographie claire, un lien vers votre boutique (ou Linktree), des stories à la une bien organisées.
- Sur LinkedIn : un profil complet, des recommandations, des compétences renseignées.
- Définissez une identité visuelle cohérente : couleurs, typographies, ambiance, ton de voix.
- Partagez votre expertise : réalisez des tutoriels ou faites des démonstrations de produits.
- Travaillez votre storytelling : présentez votre histoire, vos valeurs et vos engagements.
- Montrez l’authenticité de votre marque : vidéos « behind the scenes » ou retours spontanés.
- Affichez vos valeurs : écologique, sociale, artisanale… selon votre univers.
L’objectif ? Créer une marque identifiable et mémorisable, capable de convaincre avant même l’achat.
En outre, il est essentiel de varier vos contenus pour promouvoir vos produits sans être intrusif. Plusieurs formats peuvent vous aider à enrichir votre présence :
- UGC (User Generated Content) : repartagez les photos ou vidéos de vos clients.
- Curation de contenu : mettez en avant des contenus utiles même s’ils ne viennent pas de vous.
- Démonstrations régulières : Reels, stories, avant/après, tests produits.
En adoptant une stratégie social commerce diversifiée, vous nourrissez une présence crédible, vous créez un lien de confiance avec votre audience et vous augmentez naturellement vos ventes.
Engager votre audience et personnaliser la relation
Le social commerce repose sur une relation directe : plus vous échangez avec votre communauté, plus vos chances de vendre augmentent. Pour renforcer cette dynamique, vous pouvez activer plusieurs leviers d’engagement qui transforment vos abonnés en clients.
- Réactivité : répondez vite aux messages et questions (DM, Messenger…).
- Sondages et questions : utilisez les stories pour identifier les besoins clients.
- Offres personnalisées : codes promo envoyés en messages privés, recommandations ciblées.
- Groupes privés : accès exclusifs pour vos clients fidèles (Facebook Groups, serveurs Discord…).
Bon à savoir : vous pouvez aussi renforcer votre portée grâce au marketing d’influence. En collaborant avec un créateur de contenu, vous gagnez en visibilité, touchez de nouvelles audiences et crédibilisez davantage vos produits. Cette exposition supplémentaire peut attirer un trafic qualifié vers vos boutiques intégrées et accélérer vos ventes.
Exploiter la puissance du live shopping
Le live shopping est une stratégie de vente en direct qui repose sur des sessions “live” sur les réseaux sociaux (Instagram Live, TikTok Live, Facebook Live). Vous pouvez y présenter vos produits en temps réel, répondre aux questions des utilisateurs et intégrer un lien d’achat immédiat. Ce format de commerce social hybride déclenche des achats rapides et engage fortement votre audience en créant :
- Un sentiment d’urgence qui stimule les décisions rapides ;
- Une immersion forte grâce à la mise en scène en temps réel ;
- Des conversions immédiates, souvent supérieures aux formats classiques.
C’est aujourd’hui l’un des leviers du social commerce les plus performants pour transformer votre audience en acheteurs.
Mesurer et optimiser vos performances
Vous ne pouvez progresser que si vous mesurez vos actions. Le suivi de vos performances est la base d’une stratégie rentable et durable.
Ces indicateurs vous permettront d’évaluer vos résultats et d’optimiser votre stratégie de social shopping :
- Taux de conversion.
- Revenus générés par les boutiques Instagram, Facebook Shops, TikTok Shop.
- Taux de clic sur les tags produits.
- Engagement (likes, commentaires, partages, interactions avec vos stories…).
- Portée et impressions.
- Coût par acquisition (CPA).
- ROI du marketing d’influence et du live shopping.
- Analyse du sentiment : déterminer la nature des commentaires et réactions de votre audience (positif / neutre / négatif).
À noter : pour analyser vos performances, appuyez-vous sur les outils intégrés aux plateformes (Instagram Insights, TikTok Analytics, Facebook Business Manager). Vous pouvez aussi utiliser votre CRM pour suivre le parcours client et mieux comprendre ce qui déclenche l’achat.
Enfin, rappelez-vous que votre stratégie de commerce social doit évoluer en permanence. Pour ce faire, réalisez régulièrement des A/B tests sur vos visuels, vos titres, vos formats (Reels vs carrousels) ou encore vos offres commerciales. Effectuez un test à la fois pour comprendre précisément ce qui performe auprès de votre audience. L’objectif ? Affiner continuellement votre approche et augmenter durablement vos ventes.
Quelle plateforme de commerce social choisir ?
Le choix de la plateforme sur laquelle vendre dépend de votre audience, de vos produits et de vos objectifs. Concentrez vos efforts sur les plateformes de social commerce où vos clients sont le plus présents, sans négliger les autres : même si elles génèrent moins de ventes, elles renforcent votre image de marque et votre visibilité globale.
Pour identifier la bonne plateforme, vous devez :
- Analyser les stratégies de vos concurrents : s’ils vendent beaucoup sur TikTok ou Instagram, c’est un indicateur fort que votre audience s’y trouve aussi.
- Étudier les données démographiques des plateformes : âges, centres d’intérêt, modes de consommation.
- Observer les habitudes d’achat de votre cible : préfère-t-elle les formats courts, les contenus visuels, les démonstrations en live ?
Voici les plateformes majeures du commerce social sur lesquelles concentrer vos efforts :
- Facebook Shops / Facebook Marketplace
- Idéales si vous souhaitez toucher une audience large et diversifiée, ces plateformes conviennent particulièrement aux produits du quotidien ou d’occasion. Elles offrent un système publicitaire performant et une configuration de boutique simple et rapide.
- Instagram Shops / Instagram Business
- Parfait pour les univers visuels (mode, beauté, déco), il possède un système de tagging produit qui vous permet d’identifier directement un produit sur une photo ou une vidéo pour l’achat en un clic. C’est aussi un excellent réseau pour travailler votre image et votre influence.
- TikTok Shop
- C’est la plateforme en plus forte croissance. Elle excelle pour déclencher des ventes impulsives grâce à ses vidéos courtes, virales, et à ses sessions de live shopping qui facilitent l’achat immédiat.
- Pinterest
- Idéal si vous proposez des produits d’inspiration (décoration, DIY, mode). Son parcours visuel immersif et la forte intention d’achat de ses utilisateurs en font un canal très pertinent pour attirer des clients en phase de recherche.
- LinkedIn (pour le social selling, mais pas le social commerce direct)
- Indispensable pour votre activité B2B. Vous pouvez y développer votre notoriété professionnelle, renforcer votre crédibilité et nourrir votre prospection digitale, même si l’acte d’achat ne se fait pas sur la plateforme.
- Snapchat
- Une plateforme émergente du commerce social, particulièrement adaptée aux jeunes audiences. Ses fonctionnalités d’AR shopping permettent aux utilisateurs de tester virtuellement des produits avant de passer à l’achat.
Notre conseil : ne concentrez pas tous vos efforts sur un seul réseau. Une présence cohérente sur plusieurs plateformes élargira votre audience, renforcera votre image et multipliera vos opportunités de vente. De quoi booster durablement votre stratégie de social commerce.
Rakuten France lance « Rakuten Brand Experience », un service clé en main pour accompagner les marques vers le e-commerce direct
Paris, le 24 novembre 2025 – Alors que démarre le sprint de fin d’année pour les commerçants, Rakuten France réaffirme son rôle d’acteur e-commerce innovant et de partenaire privilégié des marques en annonçant le lancement de Rakuten Brand Experience : un service clé en main conçu pour accompagner les fabricants et enseignes qui souhaitent développer leurs ventes directes aux consommateurs (D2C), en complément de leurs canaux de distribution existants. Une opportunité d’assurer une couverture exhaustive des canaux e‑commerce, pour conquérir de nouvelles audiences et gagner des parts de visibilité.

Un partenaire de confiance pour simplifier le passage au D2C
Avec Rakuten Brand Experience, Rakuten France agit comme partenaire de confiance pour les marques, sans jamais entrer en concurrence avec elles. Le service facilite la gestion opérationnelle des ventes - facturation, gestion des stocks, logistique et opérations quotidiennes - tout en respectant rigoureusement le positionnement, et l’identité de chaque marque, et en les laissant libres de leurs politiques commerciales.
Pensé pour des acteurs issus de secteurs variés comme la culture, les jouets, l’électroménager ou la tech, ce dispositif rend le passage au D2C plus simple, plus fluide et plus maîtrisé, tout en assurant une expérience cohérente et valorisante sur tous les points de contact.
Un service clé en main pour les marques, couvrant une dizaine de marketplaces
Rakuten Brand Experience permet non seulement aux marques de déléguer l’ensemble de la gestion opérationnelle de leurs ventes à Rakuten pour leur boutique officielle sur la marketplace, mais aussi d’étendre leur présence commerciale à d’autres plateformes majeures telles que La Redoute, Amazon, Auchan, Kiabi, Nature & Découvertes, Showroom Privé ou Rue du Commerce.
Cette approche simplifie le passage au D2C et maximise la portée et les ventes des produits. Cette brique de distribution multicanale repose également sur la technologie Mirakl Connect, qui facilite la présence des marques sur plusieurs plateformes sans complexité technique et en assurant une cohérence commerciale.
Parmi les premières marques à avoir adopté ce service figure LEGO, avec une boutique officielle sur fr.shopping.rakuten.com, proposant des offres similaires à ses autres canaux de vente. Aujourd’hui, Rakuten opère 12 boutiques officielles de LEGO sur différentes marketplaces, multipliant ainsi les points de contact avec des audiences diversifiées.

« Notre objectif est d’accompagner les marques dans leur transformation e-commerce tout en respectant leur identité, leurs politiques commerciales et leur stratégie. Avec Rakuten Brand Experience, nous leur proposons un service fluide et transparent pour maximiser leur présence et leur croissance, sans complexité opérationnelle. Nous nous plaçons en prolongement de leurs propres équipes, une équipe D2C externalisée et 100% opérationnelle. » explique Matthieu Denime, VP Sales & New Business chez Rakuten France. « C’est une nouvelle illustration de notre rôle de tiers de confiance : nous ne sommes pas concurrents des marques, mais à leurs côtés pour les aider à grandir. »
Rakuten France accompagne déjà plus de 12 000 vendeurs professionnels et partenaires dans leur digitalisation, via ses nombreux services en ligne. Parmi ces derniers, Rakuten Fulfillment Network, lancé en 2022, leur donne accès à un réseau mondial d’experts apportant la réponse la plus simple, efficace et économique à leurs besoins en logistique e-commerce.
Vendeur en ligne : comment rédiger vos conditions générales de vente ?
75 000 €. Ce nombre représente le montant maximal des sanctions que vous risquez si vos conditions générales de vente ne sont pas conformes. Dans certains cas, la sanction peut aller jusqu’à l’annulation d’un contrat, c’est à dire d’une vente. Les CGV constituent donc le pilier juridique de votre activité en ligne. Elles définissent votre engagement contractuel, encadrent vos échanges avec vos clients et garantissent un cadre clair et transparent pour chaque transaction.
Bien rédiger vos conditions générales de vente ne consiste pas seulement à respecter la loi. C’est aussi protéger votre activité e-commerce, rassurer vos clients et limiter les réclamations client. Des CGV e-commerce claires renforcent la confiance, facilitent la gestion quotidienne et améliorent l’image de votre marque. Elles sont donc essentielles.
Passons en revue les principes clés pour rédiger des CGV complètes et conformes aux exigences du droit de la consommation.
Qu’est-ce que les conditions générales de vente ?
Les conditions générales de vente e-commerce sont un document contractuel qui définit les droits et les obligations du vendeur et de l’acheteur. Elles précisent les règles qui encadrent les conditions de vente en ligne : prix, processus de commande, livraison, garanties, responsabilité, traitement des données, résolution des litiges ou encore validité du contrat ( par exemple lorsque la vente n’est considérée comme définitive qu’après la confirmation de commande envoyée au client).
Tout vendeur professionnel doit regrouper ces informations dans un document accessible. Pour les clients particuliers, les CGV doivent être communiquées avant l’achat. L’article L.111-1 du Code de la consommation et la loi Hamon exigent une information précontractuelle complète et une acceptation claire de ces règles par l’acheteur.
Pour les clients professionnels, les CGV doivent obligatoirement exister, mais leur communication n’est pas automatique. Elles doivent être remises dès qu’un professionnel en fait la demande. Dans les faits, il reste préférable de les transmettre systématiquement pour garantir une information claire et éviter toute ambiguïté commerciale.
Les risques en cas de CGV non conformes ou absentes sont importants. Ils comportent notamment :
- Des sanctions administratives : 3 000 € pour une personne physique, 15 000 € pour une personne morale, selon le Code de commerce (Art. L. 441-1, L. 441-6).
- Des sanctions civiles pour clauses abusives : 15 000 € pour une personne physique, 300 000 € pour une personne morale (Art. L. 241-1 du Code de la Consommation).
- Des risques juridiques :
- Annulation du contrat ou de certaines clauses contractuelles.
- Litiges, remboursements forcés et atteinte à la réputation de votre marque.
- Difficulté à faire valoir vos droits en cas de problème (retours abusifs, impayés).
À noter : vos CGV peuvent varier selon vos canaux de vente (CGV site internet, CGV marketplace ou autres canaux). Dans tous les cas, elles définissent la structure de la relation commerciale et complètent vos conditions générales d’utilisation.
Pourquoi est-il important de bien rédiger ses conditions générales de vente e-commerce ?
La rédaction de vos conditions générales de vente est directement liée à la conformité de votre activité avec la législation du e-commerce, le respect des droits du consommateur et l’encadrement des obligations de chaque partie.
Premièrement, des CGV claires limitent le risque de litiges e-commerce. En définissant précisément les modalités de commande, les délais, les garanties et les retours, vous réduisez les zones d’incertitude et les contestations. Vos CGV constituent votre première ligne de défense en cas de désaccord avec un client.
Elles protègent également votre activité en définissant les conditions de livraison, les modalités de remboursement, l’étendue de votre responsabilité en tant que vendeur, les limites des garanties applicables et la gestion des situations exceptionnelles, comme la force majeure ou une utilisation non conforme du produit.
Elles renforcent également la confiance que vos clients accordent à votre boutique. Des CGV transparentes montrent clairement comment vous fonctionnez, ce que l’acheteur peut attendre de vous et dans quelles conditions la vente s’effectue. Cette transparence crée un climat de sécurité et d’assurance qui encourage vos clients à revenir, ce qui est un élément essentiel de la fidélisation.
Enfin, des CGV claires simplifient votre organisation au quotidien. Elles facilitent la gestion des commandes, des retours et du service après-vente.
Bon à savoir : il est recommandé de faire appel à un avocat spécialisé pour vérifier la conformité juridique de vos conditions générales de vente, les adapter à votre activité et éviter toute erreur de rédaction. Un simple modèle CGV ou un exemple CGV trouvé en ligne est rarement suffisant. Le droit évolue rapidement, et un accompagnement professionnel vous protège contre les erreurs de rédaction et les conséquences financières associées.
Les mentions légales obligatoires dans vos conditions générales de vente
Les CGV doivent regrouper un ensemble de clauses indispensables prévues par la législation française et européenne. Ces dispositions s’appliquent uniquement aux ventes réalisées auprès de clients particuliers (B2C) et garantissent un cadre transparent, conforme et protecteur pour le consommateur.
Identification du vendeur et informations précontractuelles
L’objectif de cette section est de permettre au consommateur d’identifier clairement votre entreprise et de disposer de toutes les informations nécessaires avant la conclusion du contrat.
Elle doit présenter les informations suivantes :
- Le nom ou la dénomination sociale de l’entreprise ;
- La forme juridique ;
- L’adresse du siège social ;
- Le numéro RCS, le capital social, le numéro de TVA intracommunautaire ;
- Les coordonnées complètes ;
- L’hébergeur du site ;
- Les informations précontractuelles.
Caractéristiques du bien ou du service vendu
Le but de cette section des conditions générales est de garantir au consommateur une information précise, fidèle et complète sur les produits et/ou services proposés.
Elle doit inclure les éléments essentiels décrivant votre offre :
- La description des produits (taille, couleur, matière, compatibilité) ;
- Les fonctionnalités des produits ;
- Des photos et des informations conformes ;
- Le renvoi vers des fiches produits détaillées si nécessaire.
Informations relatives à la commande et au paiement
Ici, l’objectif est de clarifier chaque étape du processus de commande pour le consommateur, ainsi que les conditions financières qui encadrent la vente.
Cette section doit détailler les points suivants :
- Les étapes de commande ;
- Les conditions de validation ;
- Les prix TTC et frais annexes ;
- La politique tarifaire ;
- Les modes de paiement acceptés ;
- La sécurisation des paiements ;
- Les conditions en cas de défaut de paiement pour les particuliers et les professionnels.
Garanties, responsabilité et réclamations
Cette partie doit indiquer à votre client les garanties légales dont il bénéficie et de préciser votre cadre de responsabilité. Elle doit préciser les éléments qui suivent :
- La garantie légale de conformité ;
- La garantie contre les vices cachés ;
- La garantie commerciale éventuelle ;
- La responsabilité du vendeur dans le cadre légal ;
- Les conditions du droit de rétractation.
Protection des données et propriété intellectuelle
Cette section des CGV informe le consommateur sur la manière dont ses données personnelles sont collectées, utilisées et protégées, tout en rappelant les règles qui encadrent la propriété intellectuelle du site et de ses contenus. Cette section doit inclure :
- Les données collectées et leurs finalités ;
- Leur durée de conservation ;
- Les droits des utilisateurs ;
- La politique de cookies ;
- La protection des contenus : textes, images, logos, marque.
Droit applicable, résolution des litiges et tribunal compétent
Enfin, cette section doit définir le cadre applicable en cas de désaccord entre vous et le consommateur et de préciser les recours possibles.
Il faut que vos conditions générales mentionnent les informations suivantes :
- Le droit applicable : préciser la loi qui régit le contrat, le plus souvent le droit français pour les ventes réalisées en France.
- La possibilité d’un recours à une médiation de la consommation : indiquer que le consommateur peut saisir un médiateur agréé en cas de litige non résolu à l’amiable, et fournir les coordonnées complètes de ce médiateur.
- La plateforme de règlement en ligne des litiges : mentionner l’existence de la plateforme européenne permettant de résoudre les litiges en ligne entre consommateurs et professionnels établis dans l’UE.
- Les juridictions compétentes : préciser quels tribunaux peuvent être saisis en dernier recours, en rappelant que le consommateur peut engager une action devant la juridiction de son domicile ou du lieu de livraison du produit.
Diffuser et mettre à jour vos conditions générales de vente : les bonnes pratiques
Rédiger des conditions générales de vente complètes ne suffit pas : elles doivent aussi être bien diffusées et régulièrement mises à jour. Voici les bonnes pratiques à suivre pour garantir des CGV fiables et conformes dans la durée.
Accessibilité et acceptation :
- Rendre les CGV visibles sur toutes les pages clés du site, notamment dans le footer (la zone située en bas de chaque page de votre site, contenant généralement les liens importants et informations légales), le panier, la page de commande et l’espace compte client, afin que le consommateur puisse les consulter avant tout engagement.
- Intégrer une case d’acceptation obligatoire lors de la finalisation de la commande. Le client doit cocher cette case pour confirmer qu’il a lu et accepté les CGV avant de valider son achat.
- Conserver la preuve de l’acceptation, par exemple via un horodatage ou une copie de la commande associée à la version des CGV en vigueur au moment de la vente. Cette preuve peut être décisive en cas de litige.
Lisibilité :
- Employer un langage clair et accessible, en évitant le jargon juridique ou les formulations trop complexes, afin que vos clients comprennent facilement leurs droits et obligations.
- Structurer les CGV avec des paragraphes courts et des listes à puces, ce qui facilite la lecture et permet au consommateur d’identifier rapidement les informations essentielles.
- Proposer une version téléchargeable au format PDF, pour permettre au client de conserver le document et de le consulter même hors ligne.
- Avoir une police lisible et un bon contraste, notamment sur mobile, afin de garantir une lecture confortable sur tous les appareils.
Mise à jour :
- Réviser vos CGV régulièrement afin de refléter les évolutions légales (loi Hamon, RGPD, obligations de transparence), les changements dans vos produits, vos services ou vos procédures internes.
- Afficher clairement la date de dernière mise à jour, afin que le consommateur sache immédiatement quelle version est applicable au moment de son achat.
- Archiver les versions précédentes pour disposer d’un historique complet. Cela permet de prouver quelle version était en vigueur lors d’une vente passée en cas de désaccord ou de réclamation.
Donnez un cadre solide à votre e-commerce !
Les conditions générales de vente sont un levier de confiance et un élément fondamental pour sécuriser votre activité, et ce, que vous vendiez sur votre propre site web ou sur une marketplace comme Rakuten. Des CGV complètes, conformes et régulièrement mises à jour protègent votre entreprise, rassurent vos clients et renforcent votre professionnalisme. Veillez à les maintenir claires, accessibles et mises à jour afin d’offrir à vos clients un cadre fiable pour développer votre activité en toute sérénité.
8 Français sur 10 pourraient acheter leurs cadeaux de Noël durant le Black Friday

Paris, le 20 novembre 2025 – A l’approche du Black Friday, qui marque le lancement des achats de Noël, les Français s’organisent pour célébrer les fêtes malgré un contexte économique toujours incertain. Entre recherche de bons plans, usage croissant de l’intelligence artificielle et recours à la seconde main, leurs habitudes évoluent vers des choix plus malins et responsables.
Réalisée par Ipsos bva pour Rakuten France auprès d’un échantillon de consommateurs et, pour la première fois, de commerçants, l’édition 2025 du Baromètre de Noël décrypte ces nouvelles façons d’acheter et de préparer les fêtes.
LE BLACK FRIDAY, TREMPLIN DES ACHATS POUR LES FÊTES

Le Black Friday s’impose comme le véritable coup d’envoi des achats de Noël : cette année, 8 Français sur 10 pourraient profiter de cette occasion pour acheter leurs cadeaux. Ils seraient même 87% parmi les 16-34 ans.
Un tiers des acheteurs du Black Friday (34%) a déjà utilisé l’intelligence artificielle pour son shopping des fêtes, et ils sont 4 sur 10 à compter acheter des cadeaux d’occasion (41%) ou reconditionnés (42%). Malgré un contexte économique encore tendu, les Français affichent un état d’esprit optimiste quant à leur pouvoir d’achat : 7 Français sur 10 prévoient de dépenser autant ou plus que l’année dernière pour Noël. Une tendance qui se confirme pour la deuxième année consécutive.
Cependant, pour 22% des Français, l’inquiétude quant au pouvoir d’achat est le sentiment qui domine quand ils pensent aux fêtes de fin d’année (28% chez les 35-44 ans), quand 36% mentionnent toutefois le plaisir d’offrir aux autres, en priorité. Dénicher les meilleurs prix arrive en tête des motivations à l’achat (70%). D’autres critères rentrent en compte dans les choix de cadeaux des Français :
- La fidélité aux marques (50%) : les 65 ans et plus sont davantages sensibles à cet enjeu que leurs cadets (58%).
- La sécurité des garanties (48%) : 59% chez les 55 ans et plus.
L’IA, LE NOUVEAU LUTIN DU PÈRE NOËL

L’Intelligence artificielle s’installe désormais dans les usages du quotidien, y compris dans la préparation des cadeaux. Elle constitue un outil clé pour faciliter et optimiser les préparatifs des fêtes.
1 Français sur 3 utilise l’IA pour préparer ses achats de Noël. C’est encore plus marqué chez les 16-34 ans (44%) et les Français qui prévoient de dépenser plus cette année (63%).
Le top 3 des cas d'usage de l'IA dans l'achat des cadeaux de Noël est constitué de la recherche d'idées de cadeaux et de la comparaison des prix, qui arrivent ex-aequo en tête du classement (15%), puis de la vérification de la fiabilité d'un site (8%).
Les utilisateurs d’IA sont aussi plus ouverts à la seconde main : 67 % d'entre eux prévoient d’acheter des cadeaux de ce genre.
Cédric Dufour, PDG de Rakuten France commente : « Cette année, l'essor de l'intelligence artificielle transforme profondément les comportements d'achat des Français, surtout à l'approche du Black Friday et des fêtes de fin d’année. Elle s'impose comme un allié incontournable pour accompagner des pratiques de consommation plus réfléchies. Dans un contexte où le pouvoir d’achat est au cœur des préoccupations, l’IA redéfinit durablement la manière d’aborder les achats de Noël. »
LE CADEAU DE SECONDE MAIN, DES RÉTICENCES EN NET RECUL

La transition vers des cadeaux de seconde main, tendance qui s’est accélérée au cours des dernières années, se poursuit en 2025.
Près d’1 Français sur 2 (49%) prévoit d'acheter un cadeau d’occasion ou reconditionné, un chiffre similaire à 2024 et qui monte à 57% pour les 16-34 ans. La même proportion (49%) s’estimerait contente de recevoir un cadeau de seconde main, soit 6 points de plus par rapport à l’année dernière.
Les produits culturels demeurent les produits les plus prisés par les Français pour les cadeaux de seconde main à Noël (44%). Le baromètre met néanmoins en évidence une forte progression des jouets (44%). La montée en puissance des “kidultes” peut expliquer en partie ce phénomène : en parallèle de l’achat traditionnel de jouets pour les enfants, de plus en plus d’adultes s’offrent également des jouets leur rappelant leur enfance. Sur la plateforme Rakuten, les “kidultes” achètent par exemple des jouets LEGO.
Les freins et la méfiance face à l’achat de seconde main reculent nettement : à l’instar des craintes quant à la qualité des produits (40% ; soit -6 points par rapport à 2024) ou de l’absence de garantie/SAV (36% ; soit -11 points). La principale réticence reste le manque d’habitude pour 46% des Français (+7 points par rapport à 2024) et plus particulièrement les 55 ans et plus (51%).
Par ailleurs, les Français sont soumis à une certaine pression sociale quant à leurs propres choix : 46% d’entre eux ressentent une pression sociale vis-à-vis de l’impact environnemental de leurs cadeaux.
Cédric Dufour déclare : « Le cadeau de seconde main a toute sa place sous le sapin depuis plusieurs années, avec une évolution notable en 2025 : on observe un net recul des craintes des Français concernant la qualité de ces produits. Cela s’accompagne d’une prise de conscience collective en faveur d’une consommation plus responsable et durable. Nous nous réjouissons de cette évolution qui redéfinit les standards de l’achat réfléchi. »
ZOOM SUR LE REGARD DES PETITS COMMERÇANTS
Pour la première fois, le baromètre annuel de Noël de Rakuten France et d’Ipsos bva présente le point de vue des petits commerçants (moins de 10 salariés) sur les tendances de consommation et les priorités pour les fêtes de fin d’année.
L’étude intègre à la fois le regard des commerçants et des e-commerçants, dans la mesure où 7 commerçants sur 10 effectuent leurs activités au moins en partie en ligne.
Si les consommateurs adoptent un état d’esprit optimiste à l’approche des fêtes de fin d’année, les commerçants se révèlent plus mesurés : seulement 6 sur 10 se déclarent confiants pour leur activité de fin d’année (Black Friday et Noël), alors que les e-commerçants ont une vision plus positive (71%).
Un second décalage de perception se dégage entre consommateurs et commerçants, concernant les priorités des acheteurs : si ces derniers accordent de l’importance aux garanties (citées par 47% des acheteurs, parmi leurs trois critères) et à la fidélité à des marques (citées par 50%), ces critères sont sous-estimés par les commerçants, qui misent davantage sur les prix et les bons avis. À l’inverse, les commerçants surestiment l’importance des produits locaux dans les choix des consommateurs (36% vs 29%).
Par ailleurs, l’atteinte des objectifs commerciaux représente le principal défi pour plus d’un commerçant sur deux (55%), parmi l’ensemble des défis logistiques et organisationnels auxquels ils sont confrontés pour la période de Noël (50% chez les e-commerçants). 39% mentionnent également l’équilibre entre leur vie privée et leur vie professionnelle (43% chez les e-commerçants) tandis que 17% sont aux prises avec la gestion de leur stress (21% chez les e-commerçants).
À l’instar des consommateurs, 72% des commerçants et 74% des e-commerçants utilisent l’IA pour les accompagner dans leurs activités. Parmi les principaux cas d’usage figurent l’optimisation de l’envoi d’e-mails et SMS (25% pour les commerçants et 28% pour les e-commerçants), la prévision des ventes et de la demande (23% et 26%) ainsi que l’optimisation des prix (23% et 24%).
37% des commerçants envisagent d’avoir recours à la publicité payante pour la période de Noël, et 15% d’entre eux de manière conséquente (22% chez les e-commerçants).
Méthodologie
L’étude Rakuten – Ipsos bva a été réalisée auprès d’un échantillon national de 1500 individus représentatifs de la population française âgés de 16 ans et plus ainsi qu’auprès de 100 commerçants de produits non alimentaires (0 à 9 salariés). L'enquête a été menée en ligne en septembre 2025.
Comment améliorer votre SEO e-commerce ?
Avec plus de 153 000 sites marchands recensés en France¹, se démarquer et attirer des clients est un vrai défi pour tout e-commerçant. La concurrence est forte, et par conséquent, chaque visite sur votre boutique en ligne compte. En travaillant habilement votre stratégie SEO e-commerce, vous attirez des visiteurs qualifiés sans dépendre uniquement de la publicité. Vous réduisez vos coûts d’acquisition et vous construisez une visibilité durable. De fait, le SEO n’est pas une dépense : c’est un investissement stratégique pour développer votre activité sur le long terme.
Voici ce que vous pouvez faire dès aujourd’hui pour poser les bonnes bases de votre SEO e-commerce.
Pourquoi le SEO e-commerce est indispensable ?
Le terme référencement naturel (ou optimisation pour les moteurs de recherche) regroupe l’ensemble des techniques qui permettent à un site de se positionner durablement dans les résultats de recherche. Par exemple : un utilisateur tape “chaussures de running homme amorti pronateur” et il atterrit sur votre annonce en ligne bien optimisée. Vous, en tant que e-commerçant, profitez d’une vente sans coût publicitaire immédiat.
Le SEO e-commerce est donc vital pour :
- Générer une source de trafic qualifié, c’est-à-dire des internautes déjà en posture d’achat ou de recherche précise ;
- Réduire la dépendance à la publicité payante, et donc optimiser votre budget acquisition ;
- Gagner en crédibilité et confiance : figurer parmi les premiers résultats renvoie souvent une image forte d’autorité et de fiabilité ;
- Bénéficier d’une visibilité 24h/24 : votre site e-commerce ou votre boutique sur une marketplace travaille sans pause, même quand vous n’êtes pas connecté(e).e l’activez pas.
Cette logique s’applique aussi bien à votre site e-commerce qu’à votre boutique sur une marketplace comme Rakuten. Même si ces plateformes disposent d’équipes dédiées au SEO, optimiser vos annonces et votre e-shop reste essentiel : vous améliorez votre classement interne sur la plateforme et renforcez votre visibilité externe, notamment via Google Shopping.
Les 4 piliers d’une stratégie SEO e-commerce efficace
Les techniques de SEO évoluent en continu et rester à jour dans ce domaine peut parfois sembler complexe. Toutefois, si vous posez les bases solides que représentent ces quatre piliers, vous bâtirez une visibilité durable, sur laquelle vous pourrez ensuite ajouter des optimisations plus fines.
Pilier 1 : Comprendre l’intention de recherche de vos clients (recherche de mots-clés)
La première étape consiste à identifier ce que vos clients recherchent vraiment. Pour ce faire, vous devez procéder à une analyse concurrentielle SEO et à une recherche de mots-clés bien menée. Ces actions sont fondamentales pour attirer les bonnes personnes au bon moment.
Commencez par des méthodes simples : suggestions de Google, outils gratuits tels que Google Keyword Planner, Google Search Console, puis, si possible, faites appel à des outils plus avancés comme SEMrush ou Ahrefs (avec versions gratuites limitées). Ces outils permettent de repérer les volumes de recherche, la difficulté de positionnement et la pertinence des mots-clés e-commerce.
Il est essentiel de distinguer :
- Les requêtes générales (ex : « chaussures »).
- Les mots-clés de longue traîne (ex : « chaussures de running homme amorti pronateur »), souvent moins concurrentiels et à intention d’achat plus forte.
- La nature de la requête et les intentions de recherche peuvent être informationnelles, navigationnelles, transactionnelles ou commerciales. Pour une boutique e-commerce, cibler en priorité les requêtes transactionnelles augmente nettement vos chances de conversion.
L’objectif n’est pas uniquement d’attirer du trafic, mais d’attirer des visiteurs qualifiés qui :
- Passeront un temps significatif sur votre site ou annonce, découvriront plusieurs offres ;
- Et surtout passeront à l’acte d’achat.
Pilier 2 : Optimiser les fondations de votre site (SEO technique)
Un excellent contenu ne suffit pas si votre site est mal structuré ou lent. En effet, un site techniquement sain est indispensable pour être bien référencé.
Pour travailler votre SEO technique, voici les éléments clés à surveiller :
- Vitesse de chargement : un temps de chargement élevé fige l’expérience utilisateur et pénalise votre positionnement. Il faut donc suivre régulièrement les Core Web Vitals de Google qui sont des indicateurs qui mesurent la vitesse, la réactivité et la stabilité visuelle d’une page.
- Structure du site et navigation : une architecture logique (catégories, sous-catégories), claire pour les moteurs et les utilisateurs, facilite la découverte et l’indexation. Les balises Hn (H1, H2, H3…), qui structurent les titres et sous-titres de vos pages, sont à utiliser de manière cohérente.
- Optimisation On-Page technique : des balises title, des meta descriptions, des balises canoniques et des URLs propres sont indispensables, car elles indiquent aux moteurs de recherche le sujet et la structure de chaque page. Votre CMS e-commerce ou des extensions (ex : Yoast SEO) permettent de les paramétrer.
- Indexation et crawl (l’exploration de vos pages par les robots des moteurs de recherche) : un sitemap XML à jour, un fichier robots.txt bien configuré et l’usage de HTTPS permettent aux moteurs de repérer, explorer et indexer correctement vos pages, pour qu’elles apparaissent dans les résultats de recherche.
- Redirections (301) : elles permettent d’envoyer automatiquement l’utilisateur et Google vers la bonne page lorsqu’une page de votre site est supprimée ou déplacée vers une nouvelle URL. Cela évite les erreurs 404 et préserve votre référencement.
Pilier 3 : Créer des contenus pertinents et de haute qualité (SEO Content)
Un bon contenu (page produit détaillée, article de blog informatif ou guide d’achat, par exemple), joue un rôle déterminant dans votre référencement naturel et votre capacité à convertir. Sans contenu bien optimisé et utile, vos optimisations techniques ne suffiront pas.
Voici ce qui vous aidera à améliorer vos résultats :
- Produire un contenu de qualité et expert : unique, pertinent, informatif qui répond aux questions des utilisateurs. Les articles de blog sont un moyen efficace d’atteindre des requêtes informationnelles et de démontrer votre expertise.
- Éviter le duplicate content (contenu dupliqué) qui représente un risque pour le référencement et peut perturber la compréhension de vos visiteurs.
- Utiliser des images et vidéos de bonne qualité aux formats adaptés, à la taille optimisée et avec des balises alt descriptives (textes qui décrivent l’image pour Google et les lecteurs d’écran) pour l’accessibilité et le SEO.
- Intégrer les mots-clés cibles de manière naturelle tout en évitant la sur-optimisation (ou « keyword stuffing »). Privilégiez plutôt une insertion fluide dans vos contenus.
Notre conseil : privilégiez toujours l’utilisateur. Un contenu pensé pour ses besoins et son confort de lecture a autant de poids que les meilleures optimisations techniques.
Pilier 4 : Bâtir votre autorité et votre popularité (SEO off-page / netlinking)
Une fois votre site techniquement optimisé et doté d’un contenu SEO solide, vous devez renforcer son autorité. Autrement dit, un site “propre” qui n’obtient aucun lien venant d’autres sites reste isolé et aura beaucoup plus de mal à apparaître dans les premiers résultats de recherche.
L’autorité de domaine est en effet un signal fort pour les moteurs de recherche. Ainsi, plus vous recevez de liens externes (backlinks) de qualité, plus vous êtes perçu comme fiable et pertinent.
Pour développer votre autorité, misez sur les leviers suivants :
- Produire du contenu suffisamment exceptionnel pour être cité ou partagé (études de cas, infographies, données exclusives) ;
- Créer des partenariats : blogueurs, influenceurs, médias ;
- Faire du « Guest blogging » dans votre niche en publiant des articles sur d’autres sites de votre secteur pour obtenir de la visibilité et des backlinks de qualité ;
- Inscription aux annuaires professionnels pertinents, citations locales (si vous avez une présence physique) ou travail de votre référencement local ; par exemple : PagesJaunes, Google Business Profile, sites d’avis clients ou annuaires spécialisés de votre secteur.
- Effectuer un nettoyage des backlinks toxiques ou non pertinents (via l’outil de désaveu de Google, Disavow Tool) et surveiller les redirections externes pour ne pas perdre le trafic gagné.
Ce pilier joue un rôle clé : sans autorité, les optimisations techniques et le contenu ne suffisent pas à atteindre les premières positions.
Bon à savoir : évitez les échanges de backlinks excessifs (par exemple, ajouter plusieurs liens vers des pages pour recevoir plusieurs liens vers ces mêmes pages). Ils peuvent être perçus par les moteurs de recherche comme une tentative de manipulation de l’algorithme et donc pénalisés.
Les futures tendances du SEO e-commerce à surveiller
Pour maintenir et développer votre visibilité, vous avez tout à gagner à aller au-delà des pratiques actuelles en anticipant les évolutions du SEO.
Voici les tendances sur lesquelles il est recommandé de garder un oeil :
- L’intelligence artificielle (IA) et la recherche générative : l’IA de Google modifie la façon dont il comprend les requêtes et enrichit la présentation des résultats, notamment via des rich snippets (résultats affichant des informations supplémentaires comme le prix, les avis ou la disponibilité d’un produit) ou des réponses directes.
- Le Mobile-first et l’UX : aujourd’hui, plus de 65 % des achats en ligne en France se font depuis un mobile². L’optimisation mobile est donc plus que jamais indispensable.
- La montée en puissance du contenu de qualité et de l’expérience utilisateur : l’algorithme favorise désormais les sites réellement utiles et agréables à parcourir.
- Le SEO local et la stratégie omnicanale : la synergie online/offline se renforce. Elle peut passer par la création de pages locales ciblées (« acheter un téléphone à Paris », « à Bordeaux », « à Rouen »…) pour capter efficacement les recherches de proximité. Le SEO local s’inscrit désormais dans une approche pleinement omnicanale, où vos actions en ligne renforcent vos performances en magasin, et inversement.
Faites du SEO le moteur durable de votre réussite e-commerce !
Maîtriser le SEO e-commerce, c’est comprendre que votre activité ne repose pas uniquement sur la publicité. Elle se construit grâce à un système de visibilité pérenne, appuyé sur la recherche de mots-clés, l’optimisation technique, la création de contenu et l’acquisition de liens. Chaque élément joue un rôle précis et renforce l’ensemble.
En appliquant ces quatre piliers, vous posez les fondations d’une stratégie solide. Vous attirez un trafic qualifié, vous améliorez votre capacité à convertir vos visiteurs et vous développez une présence fiable dans un environnement en constante évolution. Anticipation, rigueur et authenticité resteront vos meilleurs alliés pour progresser durablement.
Sources :
¹²Fevad, Chiffres clés du e-commerce 2025
Comment gérer les réclamations client en e-commerce ?
En tant que vendeur en ligne, vous le savez : les réclamations client font partie du métier. Retards, erreurs de commande, défauts produits… chaque situation teste votre capacité à réagir avec méthode et professionnalisme. Bien gérer ces litiges est donc un passage obligatoire afin de préserver votre image de marque ainsi que la confiance client.
Selon l’Observatoire des services clients 2025, 75 % des Français ont contacté un service client en 2024. Ce chiffre montre à quel point l’expérience post-achat et la qualité du service client influencent la décision finale d’achat. Répondre rapidement, avec précision et transparence est donc un véritable levier de différenciation. Avec une gestion des réclamations client bien structurée, reposant sur des outils CRM fiables et efficaces, une communication et une expérience client fluides, vous améliorez la satisfaction de vos clients et renforcez leur confiance.
Découvrons ensemble comment transformer chaque réclamation en levier de satisfaction et de fidélisation.
Les réclamations client, d’un défi à une opportunité de fidélisation
89 % des consommateurs ne renouvellent pas leur achat lorsqu’ils sont déçus par la qualité du service client.
En e-commerce, cette insatisfaction a un impact direct sur vos ventes et votre relation client digitale. Limiter les mécontentements doit donc être une priorité absolue.
Un taux de réclamations client élevé entraîne plusieurs effets négatifs :
- Baisse de visibilité : sur Rakuten, ce taux est intégré au calcul du Merchant Quality Score (MQS), un score attestant de la fiabilité d’un vendeur. Si vous avez un MQS faible, vous êtes moins mis en avant sur la marketplace. Et moins de visibilité signifie moins de ventes.
- Perte de confiance : un acheteur insatisfait remet en cause votre sérieux et la qualité du service client et de votre boutique, entraînant une baisse de votre rétention client
- Dégradation de l’image de marque : les avis négatifs affectent durablement votre e-réputation et détériorent l’expérience post-achat
Recevoir des réclamations client reste inévitable. Mais une gestion des litiges rigoureuse, rapide et centrée sur la communication client peut inverser la tendance. Efficacement traitées, les réclamations renforcent la confiance client, valorisent votre image et vous permettent de fidéliser vos clients.
Comment limiter les réclamations client ?
En suivant certaines bonnes pratiques, vous pouvez réduire le nombre de réclamations de vos acheteurs et maintenir ainsi une relation de qualité.
Détaillez vos fiches produits
Mentionnez chaque donnée utile sur vos annonces :
- Dimensions
- Caractéristiques techniques du produit
- Autonomie
- Garantie
- Indice de réparabilité…
Pour les articles électroniques ou électroménagers, précisez les fonctionnalités incluses ou absentes.
Soignez également vos visuels. Montrez le produit en usage réel, sous plusieurs angles et dans un cadre fidèle à sa fonction. Des visuels de haute qualité et précis limitent les erreurs d’interprétation et donc réduisent les retours. Ils permettent par ailleurs d’appuyer votre gestion des litiges.
Pour plus de détails et d’exemples de fiches produits e-commerce optimisées, jetez un œil à notre checklist des 17 critères pour créer les meilleures annonces en ligne :
Communiquez avec transparence
Pour limiter les réclamations client, jouez la carte de la clarté à chaque étape :
- Indiquez le prix réel des produits, précisez les réductions, les points de fidélité ou le cashback associé.
- Mentionnez les frais de livraison : inclus dans le prix, offerts ou leur montant selon le mode choisi.
- Décrivez clairement les options de transport disponibles et les délais estimés.
- En cas d’imprévu (colis perdu, erreur ou retard de transporteur…) prévenez immédiatement vos acheteurs via email, SMS, lien de suivi ou messagerie intégrée.
Cette communication proactive limite les risques de litiges , valorise la qualité de votre service client et vous permet d’entretenir une relation digitale fondée sur la fiabilité et la réactivité.
Optimisez votre logistique
Une logistique fluide limite les réclamations liées aux retards ou pertes de colis. Quelques conseils pour améliorer votre logistique :
- Centralisez vos stocks
- Automatisez les tâches répétitives
- Sélectionnez des transporteurs fiables
- Proposez plusieurs options de livraison pour répondre à tous les besoins
Avez-vous pensé à confier votre logistique à Rakuten Fulfillment Network ? Ce service clé en main, déjà adopté par des milliers de vendeurs, prend tout en charge : stockage, préparation et expédition des commandes, SAV et retours d’articles. Vous gagnez en fiabilité, en rapidité et surtout en temps pour développer votre activité.
Avec Rakuten Fulfillment Network, vous offrez à vos acheteurs une livraison rapide depuis l’Union européenne (48h en moyenne) et bénéficiez d’un taux de satisfaction de 4,8/5.
5 étapes pour bien traiter une réclamation client
Malgré toutes ces précautions, recevoir des réclamations client reste inévitable. L’enjeu : les gérer efficacement pour transformer une expérience négative en levier de fidélisation.
Structurez votre processus de gestion des réclamations
Établir un processus solide, c’est poser les bases d’une gestion des réclamations client fluide et maîtrisée :
- Cartographiez chaque étape du parcours de réclamation : réception via email, chat ou téléphone, analyse, suivi, puis résolution.
- Attribuez à chaque phase un interlocuteur unique afin de centraliser les échanges, éviter les doublons et garantir une prise en charge cohérente, suivie et transparente de chaque réclamation.
- Adoptez un ton cohérent, professionnel et empathique sur l’ensemble des canaux.
- Centralisez les échanges grâce à vos outils CRM et outils de ticketing pour accélérer les réponses et garantir une qualité de service constante.
- Pour finir, créez une FAQ dédiée aux problèmes récurrents afin d’alléger la charge de vos équipes et de concentrer vos efforts sur la gestion des litiges les plus sensibles.
Traitez les demandes rapidement
En e-commerce, la rapidité de réponse est un facteur clé de satisfaction. Selon l’Observatoire des services clients 2025, 65 % des acheteurs estiment que les délais de traitement dépassent leurs attentes. Fournir une première réponse sous 24 h montre que la gestion des réclamations client est une priorité et vous permet d’instaurer un climat de confiance.
Même sans solution immédiate, informer régulièrement l’acheteur maintient son engagement et sa perception positive du service.
Proposez des solutions concrètes
Chaque réclamation client appelle une réponse sur mesure.
Analysez la situation, puis proposez une issue adaptée : remboursement, remplacement de l’article, bon d’achat ou geste commercial. L’acheteur doit sentir une réelle écoute et une compréhension de sa demande.
Si le traitement de la requête s’allonge, informez-le à chaque étape afin de lui apporter un suivi clair et rassurant.
Formez vos équipes et priorisez l’essentiel
Un service client e-commerce performant repose sur une équipe formée, alignée sur les mêmes pratiques et dotée d’une approche homogène dans le traitement des demandes.
Chaque conseiller doit maîtriser les processus, adopter la même approche et maintenir un ton homogène dans la gestion des litiges. Classez les demandes selon leur priorité : urgence, impact sur le client, sur l’entreprise (e-réputation, perte financière) ou nature du problème.
Les réclamations complexes nécessitent une intervention humaine, tandis que les plus simples peuvent être traitées par une FAQ, un chatbot ou des réponses automatisées, pour garantir un traitement à la fois réactif, structuré et adapté à chaque situation.
Utilisez les réclamations pour améliorer votre service
Chaque réclamation client fournit un enseignement concret sur les failles de votre parcours d’achat ou de votre organisation interne.
Analysez vos indicateurs clés : taux de réclamation, délai moyen de résolution, catégories concernées (produit, livraison, paiement) et articles les plus touchés. En Identifiant les problèmes récurrents, vous pourrez garantir une qualité de service durable.
Quelles sont les bonnes pratiques e-commerce à respecter ?
En 2024, on comptait déjà plus de 153 000 vendeurs actifs en ligne en France (soit 9 % de plus qu’en 2023)¹. Réussir en e-commerce dans ce paysage ultra-concurrentiel représente par conséquent un vrai défi. Heureusement, il existe de bonnes pratiques e-commerce pour structurer votre activité, vous démarquer pour attirer des clients et augmenter vos ventes. Que vous vendiez sur votre propre site, via une marketplace ou les deux, découvrez les meilleures pratiques e-commerce pour créer une boutique en ligne performante.
Choisissez les bons canaux de vente
La première bonne pratique e-commerce consiste à bien choisir vos canaux de vente en fonction de vos objectifs. Voici les trois principales options qui s’offrent à vous :
- Le site e-commerce : en vendant par ce biais, vous gardez le contrôle total sur l’identité de votre marque, la relation client, le parcours client e-commerce et vos données. C’est aussi un espace où vous pouvez entièrement personnaliser l’expérience utilisateur.
- Les marketplaces (Amazon, Rakuten, Etsy, etc.) : elles permettent de bénéficier immédiatement d’une visibilité importante, d’un trafic qualifié et d’outils performants pour vendre. C’est aussi un excellent levier pour tester vos produits auprès d’un large public.
- Le Click & Collect ou le Phygital : ce modèle hybride combine vente en ligne et point de vente physique. Cette solution vous permet de proposer un service de proximité tout en optimisant vos coûts de livraison.
À noter : ces canaux ne sont pas exclusifs. En les combinant dans une stratégie omnicanale, vous élargissez votre audience et vous améliorez la satisfaction client. Les chiffres le prouvent. Une étude menée par la Fevad démontre que 36 % des consommateurs achètent des articles de mode à la fois en ligne et en magasin. C’est un argument fort qui met en lumière l’intérêt de la complémentarité des points de vente.
Mettez l’expérience client au cœur de votre stratégie e-commerce
L’expérience utilisateur est un facteur déterminant pour réussir en e-commerce. Elle influence directement vos conversions, la fidélité de vos client et votre réputation.
Une offre claire et des prix compétitifs
Sur les marketplaces, le prix est un critère de différenciation majeur. La meilleure pratique est de rester compétitif tout en conservant une marge acceptable. Notre conseil : soyez transparent en indiquant si les frais de port sont inclus, proposez des remises claires et évitez les frais cachés (ex. : frais de traitement, options payantes non signalées ou supplément imprévu pour certaines zones de livraison).
Un bon ciblage
Vous devez adapter vos offres à votre clientèle cible, mais également votre ton et la manière de les communiquer. Si vous vendez des sneakers à des particuliers ou du matériel agricole à des professionnels, l’approche est complètement différente.
Une bonne pratique est de réaliser en amont une analyse concurrentielle sur les produits que vous vendez en vous concentrant sur les prospects ciblés. Quels canaux utilisent vos concurrents ? Sur quelles marketplaces vendent-ils ? Quel est le ton qu’ils utilisent dans leur communication ? L’objectif évidemment est de rester pertinent et cohérent avec votre propre identité de marque, mais ces éléments peuvent vous aider à mieux cibler vos acheteurs potentiels.
Une navigation fluide et intuitive
Un site lent ou mal conçu fait fuir les clients potentiels. Voici les bonnes pratiques e-commerce à adopter :
- Vitesse de chargement : l’affichage des pages de votre site internet doit se faire en moins de 3 secondes pour limiter le taux de rebond (quand vos visiteurs quittent le site immédiatement). Utilisez des formats d’image optimisés comme WebP ou AVIF pour alléger le poids de vos visuels sans compromis sur la qualité.
- Design clair et appels à l’action (CTA) visibles : structurez vos pages avec un design épuré et des boutons d’action stratégiquement placés, afin de guider l’utilisateur naturellement vers l’achat. Limitez les clics inutiles et retravaillez votre tunnel de conversion pour qu’il y ait le moins d’étapes possible.
- Mobile first : avec 65 % des acheteurs qui passent par leur smartphone, votre site ou votre boutique en marketplace doit impérativement être responsive et garantir une expérience fluide sur mobile.

Des fiches produits optimisées
Vos annonces en ligne sont votre vitrine. À ce titre, elles doivent être soignées et engageantes. Les éléments à ne pas négliger sont :
- Des visuels de qualité (plusieurs angles, détails, zoom).
- Une description claire avec mots-clés pertinents pour votre optimisation SEO e-commerce.
- Des mentions légales obligatoires (marquage CE, identité du fabricant).
- Des avis clients et des réponses aux commentaires pour renforcer la confiance.
Un processus de commande simple et rapide
85% des e-acheteurs achètent en ligne pour gagner du temps². Une bonne pratique est donc de supprimer toutes les étapes inutiles du tunnel de vente. L’achat en un clic, des call-to-action clairs et des emails de confirmation automatiques sont autant d’éléments déterminant pour booster les performances de votre boutique en ligne.
Des modes de livraison et de paiement variés
Vos clients doivent pouvoir choisir comment être livrés. Pour ce faire, proposez plusieurs modes de livraison (standard, express, relais) et plusieurs moyens de paiement (carte bancaire, PayPal, paiement en plusieurs fois).
À découvrir : notre article sur les modes de livraison, pour faire le meilleur choix selon votre activité.
Un service client irréprochable
Votre service client e-commerce est une arme puissante pour fidéliser, à condition qu’il respecte les bonnes pratiques. Pour l’améliorer, pensez à :
- Multiplier les canaux de contact (chat, téléphone, email).
- Répondre rapidement aux réclamations.
- Adopter une communication personnalisée et humaine.
- Montrer une bonne connaissance client.
- Suivre les performances avec des indicateurs comme le taux de réclamation ou le Net Promotor Score (NPS).
Visibilité et acquisition : les bonnes pratiques pour attirer de nouveaux clients
Il ne suffit pas d’avoir un bon produit pour réussir en e-commerce. Il faut que les clients vous trouvent. Pour y parvenir, voici les stratégies gagnantes à adopter :
- Optimisation SEO e-commerce : structurez vos pages produits avec des titres clairs, balises bien hiérarchisées et des mots-clés stratégiques. Soignez les descriptions, les visuels et les métadonnées pour améliorer votre positionnement sur les moteurs de recherche et dans les résultats internes des marketplaces.
- Publicité ciblée : développez des campagnes performantes via Google Ads, Meta Ads ou Rakuten Ads. Ces outils vous permettent de cibler vos audiences selon leurs intérêts, leurs comportements ou leurs intentions d’achat, tout en maîtrisant vos coûts grâce à un système d’enchères au clic.
- Preuve sociale : capitalisez sur les avis clients, les témoignages et les évaluations produits pour instaurer un climat de confiance. Affichez vos certifications ou labels qualité si disponibles. Mesurez régulièrement votre Net Promoter Score (NPS) pour évaluer la satisfaction globale, le niveau de fidélisation et anticiper les axes d’amélioration. Cet indicateur révèle la probabilité que vos clients recommandent votre boutique à leur entourage.
- Stratégie de communication digitale : appuyez votre activité e-commerce par une production régulière de contenus à forte valeur ajoutée : articles de blog, guides pratiques, newsletters, posts sur les réseaux sociaux… En plus de nourrir votre relation client, ces contenus participent à votre référencement naturel et renforcent votre notoriété.
- Analyse des données : suivez vos indicateurs de performance (KPI) avec des outils comme Google Analytics, le Merchant Dashboard Rakuten ou les tableaux de bords des marketplaces. Analysez les taux de conversion, les taux d’abandon de panier ou le ROI de vos campagnes pour prendre des décisions éclairées et affiner votre stratégie.
Conseil : Faites le point régulièrement sur vos leviers d’acquisition et vos actions marketing. En travaillant votre entonnoir de clients et en adaptant votre stratégie à chaque parcours d’achat, vous maximiserez votre retour sur investissement.
Mettez en place ces bonnes pratiques pour faire de votre e-commerce un succès durable !
C’est finalement en maîtrisant les bonnes pratiques e-commerce que vous aurez les bases pour développer votre activité. De la personnalisation des contenus à la sécurisation des paiements en ligne, en passant par l’accessibilité e-commerce, chaque détail compte. Gardez toujours en tête que ce sont vos clients qui font le succès de votre boutique. En leur offrant un parcours fluide, une expérience personnalisée et un service irréprochable, vous construisez une relation solide et durable.
Ainsi, pourquoi ne pas vendre sur une marketplace comme Rakuten ? Vous profiterez d’un puissant levier de croissance, d’outils performants et d’un accompagnement sur mesure pour vendre vos produits en ligne.
Sources :
Droit de rétractation e-commerce : maîtrisez vos obligations et optimisez vos retours
Saviez-vous que près de 60 % des acheteurs en ligne consultent la politique de retour avant de valider leur panier ? En e-commerce, la gestion des retours et le respect du droit de rétractation ne sont pas de simples contraintes légales : ce sont de véritables enjeux en matière de protection du consommateur, de fidélisation et de performance logistique. En tant que e-commerçant, bien gérer le droit du consommateur ne vous permet pas seulement d’éviter les litiges consommateurs. C’est aussi l’opportunité de rassurer vos clients, d’améliorer leur expérience d’achat et de faire de votre politique de retour un véritable atout concurrentiel.
Les fondamentaux du droit de rétractation
Le droit de rétractation, c’est la possibilité pour un acheteur de se rétracter et d’annuler un achat effectué à distance sans avoir à se justifier. Par exemple, un client qui commande une veste en ligne peut la renvoyer, simplement parce qu’elle ne lui convient pas, même si elle ne présente aucun défaut.
Ce droit est encadré par l’article L221-18 du Code de la consommation et repose sur la directive 2011/83/UE. Ces textes indique que tout vendeur doit respecter un délai légal de rétractation. Cette obligation s’applique à tous les vendeurs professionnels, qu’il soient situés en France ou dans l’Union européenne.
Délai de rétractation : ce que dit la loi
S’il souhaite procéder à une annulation de commande, le client n’a pas besoin de justifier sa décision. Il peut utiliser un formulaire de rétractation ou simplement vous informer par écrit de sa décision d’annuler la commande, muni de sa preuve d’achat (facture, mail de confirmation avec numéro de commande…).
Ce qu’il faut retenir :
- Le client dispose d’un délai de rétractation de 14 jours à compter de la réception du produit.
- Si vous n’avez pas mentionné ce droit au moment de la vente, ce délai est étendu à 12 mois.
- Le client doit déclarer son intention de se rétracter. Un simple retour sans notification préalable n’est pas suffisant.
À noter : le droit de rétractation est distinct de la garantie légale de conformité ou des vices cachés, qui peuvent s’appliquer après les 14 jours si le produit présente un défaut.
Bon à savoir :
Le délai de rétractation ne prend pas en compte les jours ouvrables et jours ouvrés, il est simplement calculé selon les jours calendaires. En d’autres termes, tous les jours comptes. Seule exception : si le dernier jour du délai de rétractation est un jour de week-end ou un jour férié, le délai est prolongé jusqu’au premier jour ouvrable suivant.
Produits concernés et exceptions
Le droit de rétractation e-commerce couvre la grande majorité des produits commandés. Mais certains cas sont exclus, notamment :
- Les produits personnalisés ou faits sur mesure.
- Les produits périssables.
- Les enregistrements audio/vidéo ou logiciels descellés.
- Les articles d’hygiène descellés (ex : cosmétiques, sous-vêtements).
- Les biens indissociables d’autres éléments (ex : télécommande incluse avec un téléviseur).

Droit de rétractation : quelles sont vos obligations légales en tant que vendeur et comment gérer vos retours ?
Respecter les obligations du vendeur, c’est rester en conformité avec la loi, éviter les litiges consommateurs et réussir à créer une relation de confiance. Pour améliorer votre taux de vente, vous devez donc mettre en place une procédure de retour claire, cohérente et rassurante.
Avant la vente : informer et anticiper sur le droit de rétractation
En tant que e-commerçant, vous avez l’obligation d’informer vos clients sur :
- L’existence du droit de rétractation.
- Le délai légal de rétractation.
- Les conditions de retour, y compris qui paie les frais de retour.
- Le délai de remboursement.
- L’existence ou non d’une clause de rétractation spécifique.
Ces informations doivent figurer dans :
- Vos conditions générales de vente (CGV) et vos mentions légales.
- Vos fiches produit.
- Votre page vendeur lorsque vous vendez sur une marketplace.
- Une politique de retour claire et facilement accessible.
Pour aller plus loin :
- Fournissez un formulaire de rétractation simple, avec l’identité visuelle de votre boutique.
- Proposez une politique de retour facilement accessible sur toutes vos pages.
- Indiquez de manière explicite si les frais de retour sont à la charge du client.
Ce sont tous ces petits détails qui renforcent la protection du consommateur… et la confiance qu’ils placent dans votre boutique en ligne !
Après la vente : gérer la rétractation et le remboursement
Une fois la demande de rétractation reçue, vous devez :
- Envoyer un accusé de réception.
- Rembourser le client dans un délai maximum de 14 jours.
Voici les règles à suivre :
- Le remboursement doit couvrir tous les articles commandés, ainsi que les frais de livraison standard.
- Si vous n’avez pas encore reçu le produit ou une preuve d’expédition, vous pouvez attendre pour rembourser.
- Le remboursement doit être effectué via le même moyen de paiement, sauf accord contraire.
Attention : le droit de rétractation ne remplace pas les recours possibles en cas de produit défectueux ou de produit non conforme, qui relèvent d’autres protections légales.
Pénalités en cas de retard
Au-delà de 14 jours, vous encourez des pénalités :
- Jusqu’à 10 jours : taux d’intérêt légal en vigueur
- 10 à 20 jours : 5 %
- 20 à 30 jours : 10 %
- 30 à 60 jours : 20 %
- 60 à 90 jours : 50 %
- +5 points par mois ensuite (jusqu’à doublement du prix, puis majoré du taux d’intérêt légal)
État du produit : vos droits et leurs limites
Avant d’accorder un remboursement, vous pouvez évaluer l’état du produit retourné. Toutefois, certaines règles encadrent ce contrôle.
- Produit déballé : le client peut se rétracter même si le produit a déjà été ouvert, sauf pour les produits descellés et liés à l’hygiène. L’emballage d’origine n’est pas obligatoire, mais le retour doit être sécurisé.
- Produit déprécié : vous êtes tenu d’accepter la rétractation, mais une décote peut être appliquée si l’article a été utilisé de façon excessive. Exemple : des chaussures portées tous les jours pendant quatorze jours.
Frais de retour : un point stratégique
Les frais de retour doivent faire partie intégrante de votre politique de rétractation. En tant que vendeur en ligne, vous avez plusieurs options, mais certaines obligations s’imposent selon les cas.
- Par défaut, ces frais sont à la charge du client.
- Si vous n’avez pas précisé ce détail avant l’achat, vous devez en assumer la charge.
- Si vous offrez les frais de retour, cela devient un argument marketing fort pour rassurer.
Au-delà de l’obligation : faites de la gestion des retours un levier de croissance
Une bonne gestion des retours e-commerce participe aussi à améliorer votre stratégie de fidélisation. C’est d’ailleurs là qu’intervient la logistique inverse. Aussi appelée « reverse logistics », elle consiste à organiser le retour des articles pour les inspecter, les remettre en stock ou les recycler.
Pour professionnaliser vos retours, il existe quelques bonnes pratiques :
- Mettez en place une procédure de retour simple et accessible.
- Proposez une étiquette de retour pré-remplie.
- Créez un portail de retour en ligne automatisé.
- Formez votre service après-vente à gérer les réclamations, les échanges, les produits non conformes, et à adopter une communication empathique.
- Externalisez cette logistique via un prestataire logistique spécialisé.
Parmi les solutions présentes sur le marché, vous pouvez notamment vous appuyer sur le service logistique e-commerce clé en main Rakuten Fulfillment Network. RFN vous accompagne dans toute la chaîne retour, de la réception à la réintégration stock. C’est une solution idéale pour ne pas alourdir vos équipes, fluidifier l’expérience client et vous concentrer sur votre cœur de métier.
Le droit de rétractation e-commerce, une opportunité à saisir
Bien plus qu’une contrainte légale, le droit de rétractation e-commerce est un levier de confiance, de transparence et de différenciation. En maîtrisant les droits de l’acheteur et vos obligations de vendeur, vous protégez votre activité tout en renforçant la fidélité de vos clients. En allant au-delà des minima légaux avec un service après-vente réactif, une politique claire et des conditions de retour bien définies, vous démontrez votre sérieux. Et en confiant vos retours à une solution comme Rakuten Fulfillment Network, vous simplifiez la gestion des retours, sécurisez vos flux et améliorez votre image. En fin de compte, le droit de rétractation n’est pas une fatalité, mais bien une opportunité stratégique.
Vendeur en ligne : tirez parti de l’achat en un clic
Une étude de l’institut Baymard le démontre : plus de 70 % des paniers sont abandonnés en e-commerce. Derrière ce chiffre se trouve une réalité simple : les clients attendent une expérience d’achat rapide, accessible et sans friction. Lorsqu’un tunnel de commande est trop long ou trop complexe, la majorité des visiteurs quittent la page sans valider leur achat. L’achat en un clic est justement pensé pour contrer ce phénomène. Il accélère la conversion, améliore l’ergonomie du site et simplifie tout le parcours client.
Qu’est-ce que l’achat en un clic ?
L’achat en un clic, aussi appelé paiement en un clic, est un processus qui permet à vos clients de commander sans ressaisir leurs coordonnées bancaires ou leur adresse à chaque achat. Toutes les informations sont enregistrées une seule fois, dans un portefeuille numérique ou sur une marketplace, puis réutilisées automatiquement.
Voici comment cela fonctionne :
- Le client entre une première fois ses données lors d’un achat (adresse, carte bancaire, etc).
- Lors de ses prochaines commandes, un seul clic suffit à valider l’achat.
Le paiement en un clic est idéal pour les produits physiques, les services numériques, les achats sur mobile ou les abonnements. Aujourd’hui, de nombreuses marketplaces et solutions de paiement intègrent cette fonctionnalité de click to pay, car c’est l’assurance d’une expérience client améliorée.
Les avantages de l’achat en un clic
L’achat en un clic est un système de paiement qui profite à la fois à vos clients et à vous, e-commerçants. Il facilite le quotidien de vos utilisateurs tout en stimulant vos ventes et votre taux de conversion. Faisons le point sur ses nombreux avantages.
Offrez une expérience utilisateur sans friction
Grâce au paiement en un clic, vous améliorez considérablement l’ergonomie de votre site et la qualité du parcours client. Cette solution optimise chaque étape du tunnel d’achat pour offrir une expérience sans accroc.
- Fluidité et simplicité : vos visiteurs ne perdent plus de temps à entrer leur carte bleue à chaque achat. L’interface utilisateur est simplifiée et sans étapes inutiles, ce qui crée un parcours client plus fluide.
- Rapidité et confort : le gain de temps est immédiat, surtout en situation de mobilité. C’est idéal pour l’achat sur mobile, notamment via des applications ou des navigateurs.
- Sécurité des transactions : le fait de ne pas saisir les données sensibles à chaque commande rassure. Le paiement automatique est ainsi perçu comme plus sécurisé pour beaucoup d’acheteurs.
Garantissez la sécurité des paiements
Pour fonctionner, l’achat en un clic s’appuie sur un cadre de sécurité strict et des technologies éprouvées :
- Conformité réglementaire : les solutions de paiement respectent les standards du PCI DSS (Payment Card Industry Data Security Standard) ; un ensemble de règles de sécurité imposées aux systèmes traitant les données de cartes bancaires. Les données sensibles sont cryptées ou tokenisées afin d’éviter tout risque de fuite.
- Responsabilité partagée : la sécurité des transactions repose sur votre prestataire de paiement ou la marketplace, ce qui vous décharge des contraintes techniques.
- Authentification forte (SCA/DSP2) : une validation renforcée est demandée lors du premier achat. Ensuite, si le niveau de risque est faible, les achats suivants s’effectuent plus rapidement.
Améliorez vos conversions et augmentez vos ventes
En e-commerce, chaque clic compte. Avec le paiement en un clic, vous raccourcissez le chemin vers l’achat et augmentez vos chances de transformer une intention en commande réelle grâce à une vraie facilité d’utilisation. Les effets sont visibles sur trois aspects :
- Moins d’abandons de panier : grâce à une conversion rapide, vous supprimez les étapes chronophages. Le taux d’abandons de panier diminue considérablement.
- Ventes impulsives, additionnelles et croisées : en rendant l’ajout au panier très simple, vous favorisez la vente croisée. Par exemple : proposer un accessoire immédiatement après un achat principal fonctionne mieux avec le paiement instantané. Résultat : un panier moyen plus élevé, donc plus de revenu pour vous.
- Fidélisation et récurrence : vos clients reviennent plus facilement s’ils savent qu’ils peuvent commander en un clic. Cela crée une habitude et améliore votre taux de fidélisation client.
Démarquez-vous de vos concurrents et améliorez votre fidélisation client
Dans un environnement concurrentiel, la rapidité d’exécution et la simplicité font la différence. En intégrant l’achat rapide, vous renforcez votre image de marque, améliorez l’expérience client et vous construisez une relation plus durable avec vos acheteurs.
- Voici comment ce mode de commande express renforce votre positionnement :
Optimisation du parcours client : un processus fluide renforce l’expérience client. Les utilisateurs satisfaits laissent plus facilement des avis positifs. - Collecte de données facilitée : les données issues de l’achat en un clic permettent de mieux cibler vos recommandations et d’anticiper les comportements.
- Avantage concurrentiel : à produit et prix égaux, le client choisira l’option la plus rapide. En proposant une commande express, vous sortez du lot.
Comment mettre en place le paiement en un clic ?
Deux options s’offrent à vous pour intégrer l’achat en un clic sur votre site ou votre boutique :
Vous pouvez passer par un PSP (prestataire de services de paiement) moderne : la majorité des acteurs proposent cette fonctionnalité via une API. Choisissez votre solution en fonction :
- Du coût ;
- De la facilité d’intégration ;
- Des garanties de sécurité ;
- Des cartes de crédit compatibles (VISA, Mastercard, etc) ;
- De la compatibilité avec les paiements internationaux ;
L’option la plus simple est de vendre directement sur une marketplace comme Rakuten. Dans ce cas, vous bénéficiez automatiquement du paiement en un clic, sans configuration technique. L’accessibilité et la sécurité sont assurées, les interfaces sont prêtes et vos clients bénéficient d’une expérience optimisée dès leur premier achat.
Achat en un clic : points de vigilance et bonnes pratiques
L’achat en un clic comporte aussi quelques défis. Pour en tirer le meilleur parti, voici ce qu’il faut garder en tête :
- Confiance initiale : certains clients peuvent hésiter à enregistrer leurs données. Vous devez les rassurer avec des messages clairs sur la sécurité et leur laisser la possibilité de modifier ou supprimer leurs informations.
- Risque d’achats impulsifs regrettés : certains utilisateurs peuvent regretter un achat trop rapide. Cela peut entraîner des retours ou des réclamations.
- Gestion des litiges : même avec le paiement en un clic, les procédures de remboursement ou d’annulation restent les mêmes. Le PSP ou la marketplace gère ces demandes comme pour toute commande classique.
Pour prévenir cela, il existe plusieurs bonnes pratiques à adopter :
- Soyez transparent sur le fonctionnement du processus.
- Donnez à vos clients la possibilité de gérer leurs données facilement.
- Communiquez clairement sur la confidentialité et la sécurité.
L’achat en un clic transforme l’expérience d’achat en ligne. Plus rapide, plus simple, plus efficace, il permet de répondre aux attentes des acheteurs. Grâce à lui, vous améliorez votre taux de conversion, proposez un confort d’achat incomparable et vous distinguez dans un univers concurrentiel. En choisissant une solution de paiement performante ou une marketplace comme Rakuten, vous bénéficiez d’un environnement sécurisé, prêt à l’emploi et capable de soutenir la croissance de votre activité.
Quels modes de paiement proposer en e-commerce ?
En e-commerce, le choix des modes de paiement conditionne directement votre succès. Il ne s’agit pas seulement de traiter une transaction, mais bien de bâtir la confiance qui soutient vos ventes et votre image.
Le paysage des paiements est en perpétuelle mutation. Entre l’essor des fintechs, le poids des nouvelles réglementations et des attentes clients de plus en plus exigeantes, il ne suffit plus d’ajouter à votre boutique en ligne deux ou trois options standards. Chaque solution de paiement doit être pensée comme une pièce maîtresse de votre stratégie.
Ces choix ont un impact immédiat sur vos performances : fluidité du parcours client, taux de conversion, satisfaction et fidélité des acheteurs. Un système de paiement clair et sécurisé rassure, tandis qu’un tunnel confus peut briser la confiance et freiner vos ventes.
Quels modes de paiement en ligne adopter pour répondre aux attentes des consommateurs tout en maximisant vos revenus ? On vous aide à y voir plus clair !
Panorama des modes de paiement en ligne en 2025
En 2024, les comportements de paiement se sont révélés particulièrement variés. Si la carte bancaire reste le mode de paiement privilégié pour 89% des clients, 46 % des acheteurs ont aussi utilisé une solution de paiement électronique, 37 % une carte ou un chèque cadeau, et 22 % un virement ou un prélèvement¹. Ces chiffres clés témoignent de la diversité des usages et de la nécessité de proposer plusieurs options à vos clients.
Au total, pas moins de sept moyens de paiement différents aujourd’hui utilisés par les Français pour leurs achats en ligne C’est sur ces solutions majeures que nous allons concentrer notre analyse.
💡 Bon à savoir 💡
Si vous vendez en B2B, vos clients n’ont pas les mêmes usages. Les entreprises privilégient des solutions comme le virement bancaire ou les règlements sur facture avec délais, qui facilitent la gestion de trésorerie tout en instaurant une relation commerciale plus sécurisée et durable.

La carte bancaire, pilier du paiement en ligne
La carte bancaire demeure le mode de paiement numéro un en e-commerce. En 2024, 89 % des achats en ligne en France ont été réglés par carte. Ce chiffre illustre la confiance que les consommateurs lui accordent : outil familier, simple d’usage et perçu comme sûr.
Qu’elle soit de crédit, de débit ou prépayée, la carte couvre tous les profils d’acheteurs. Les grands réseaux comme Visa, Mastercard ou American Express renforcent cette position dominante grâce à leur notoriété et aux garanties qu’ils apportent.
La réglementation européenne a également consolidé cette position.
En effet, avec la Directive sur les Services de Paiement 2 (DSP2), l’authentification forte est devenue obligatoire pour la majorité des transactions. Le protocole 3D Secure (Visa Secure, Mastercard Identity Check) en est l’application la plus visible : il réduit les fraudes en confirmant l’identité de l’acheteur.
Pour un site e-commerce, deux bonnes pratiques s’imposent pour sécuriser les paiements par carte :
- Authentification forte : mise en place du 3D Secure, désormais incontournable
- Cryptage des données : respect des normes PCI DSS (Payment Card Industry Data Security Standard) pour le traitement, le stockage et la transmission des informations bancaire. Le cryptage des données n’est pas un détail technique : il garantit la protection des informations sensibles et consolide la confiance de vos clients.
💡 Bon à savoir 💡
Vendre sur une marketplace comme Rakuten, c’est bénéficier de l’expertise d’équipes dédiées à la sécurité des paiements. Toute la gestion de l’encaissement est assurée et sécurisée en amont, ce qui vous permet de vous concentrer sur vos ventes.
Les solutions de paiement électronique en forte croissance
En 2024, 46 % des acheteurs en ligne ont utilisé une solution de paiement électronique, soit +9 points en un an. Cette progression s’explique par une attente simple : payer vite, surtout sur mobile, sans ressaisir sa carte.
Les e-wallets répondent exactement à ce besoin. Un portefeuille électronique enregistre les données de paiement de vos clients et accélère le règlement lors des achats. PayPal, Apple Pay, Google Pay ou Lydia comptent parmi les services les plus répandus :
- Accélérer l’achat : validation d’achat en un clic, les données étant déjà enregistrées
- Simplifier le paiement sur mobile : saisie rapide via Face ID/Touch ID
- Renforcer la confiance : aucune saisie bancaire sur le site marchand
Pour vous, vendeurs e-commerce, les bénéfices sont tout aussi clairs. Ses avantages principaux sont :
- Conversion rapide : moins d’abandons (validation biométrique, pas de redirection)
- Fluidité d’achat : meilleure expérience (auto-remplissage, paiement in-app)
- Ventes additionnelles : plus d’achats impulsifs et de ventes croisées
Les facilités de paiement : un excellent levier de conversion
Les facilités de paiement permettent à vos clients d’étaler ou de différer leurs règlements. Un argument de poids quand il s’agit de conclure une vente importante.
Toujours selon la Fevad, en 2024, 42 % des acheteurs ont opté pour le paiement en plusieurs fois et 28 % pour le paiement différé. Ces chiffres confirment que la flexibilité est devenue un véritable critère de choix. Les principales facilités de paiement son :
- Paiement en plusieurs fois (paiement fractionné) : permet à l’acheteur d’étaler le montant en mensualités.
– Avantage : rend les achats coûteux accessibles, fait grimper le panier moyen.
– Exemple : 3× sans frais sur un panier de 240 € (3 × 80 €). - Paiement différé (Buy Now, Pay Later) : achat validé aujourd’hui, règlement plus tard.
– Avantage : laisse le temps au client d’attendre sa paie.
– Exemple : payer sous 30 jours. - Prélèvement automatique : idéal pour abonnements et services récurrents.
– Avantage : encaissements réguliers, sans action côté client.
– Exemple : renouvellement mensuel d’un abonnement SaaS. - Paiement à la livraison (COD) : régler à réception.
– Avantage : rassure les acheteurs réticents, zéro avance.
– Exemple : remise en main propre (espèces/chèque), courant en C2C (ex. Leboncoin).

Fevad, chiffres clés du e-commerce 2025
Comment sélectionner les bons modes de paiement ?
Les modes de paiement sont complémentaires : en proposer davantage permet de satisfaire un maximum d’acheteurs.
- Votre cible : les habitudes de paiement changent selon la génération et la zone géographique. Ignorer ces préférences, c’est risquer de perdre une partie de vos clients.
– Exemple : en France, la carte bancaire reste la norme, tandis qu’aux Pays-Bas, la majorité des acheteurs privilégient iDeal. - Votre offre : la nature du produit et le montant du panier orientent le choix. Plus le prix est élevé, plus la flexibilité devient décisive.
– Exemple : pour un ordinateur à 1 200 €, proposer un paiement fractionné ou différé permet de réaliser plus de ventes. - Aspects techniques et sécurité : L’API de paiement doit s’intégrer facilement à votre boutique et sécuriser le parcours. Sans cela, vous multipliez les frictions et les abandons.
– Exemple : une intégration fluide sur Shopify permet de gérer automatiquement les transactions et d’offrir une expérience utilisateur plus fiable. - Coûts : frais d’encaissement, commissions des PSP (Prestataire de Services de Paiement) ou coûts d’intégration influent sur vos marges. Mais supprimer une option trop chère peut aussi freiner la conversion.
– Exemple : accepter un surcoût si le mode de paiement augmente réellement vos ventes. - Internationalisation : vendre à l’étranger exige d’adopter les solutions locales et de gérer la conversion des devises. Négliger cet aspect, c’est restreindre vos opportunités. – Exemple : intégrer Alipay pour capter des clients chinois, avec conversion automatique en euros.
Le saviez-vous ?
Rakuten s’appuie sur plusieurs partenaires de paiement spécialisés en e-commerce afin de faciliter le paiement multi-devises à des conditions compétitives, pour soutenir vos ventes à l’international.
Optimisez l’expérience de paiement pour maximiser vos conversions
Un mode de paiement adapté est un atout, mais c’est l’expérience complète qui fait la réussite de l’achat. Voici les bonnes pratiques à adopter :
- Fluidité du parcours. Réduisez le nombre d’étapes et limitez les champs. Proposez une interface claire, lisible, avec des messages d’aide. Sur mobile, soignez l’ergonomie : clavier adapté, auto-remplissage, boutons larges et visibles.
- Transparence et confiance. Affichez dès le début les modes de paiement disponibles. Rassurez avec les logos de sécurité, les mentions SCA/DSP2.
- Gestion efficace. Donnez accès à un historique des paiements et envoyez des e-mails récapitulatifs clairs. Traitez remboursements et annulations sans délai, avec un statut visible à chaque étape.
- Personnalisation et choix. Proposez les options pertinentes selon le profil et le pays de l’acheteur. Autorisez la mémorisation des données (avec consentement) pour activer le paiement one-click et faciliter la fidélisation.
- Gestion des litiges. Définissez des procédures simples pour les chargebacks et remboursements. Fixez des délais de réponse, centralisez les preuves (tracking, preuve de livraison) et informez le client à chaque avancée afin d’anticiper les litiges.
- Prévention de la fraude. Formez vos équipes aux signaux à risque. Appuyez-vous sur un PSP doté d’un moteur anti-fraude (détection en temps réel, 3D Secure adaptatif, scoring, contrôles de vitesse, empreinte appareil) et suivez vos KPIs de contestation.
Les futures tendances des modes de paiement
Quatre tendances marquent déjà l’avenir des paiements :
- Cryptomonnaies : leur adoption est encore limitée, mais déjà présente dans certains secteurs technophiles.
- Paiement biométrique : reconnaissance faciale et empreinte digitale pour renforcer la sécurité lors des paiements.
- Paiements embarqués (IoT) : voitures connectées ou objets intelligents intégrant directement l’option d’achat.
- Intelligence artificielle : optimisation de la détection de fraude et personnalisation des parcours de paiement.
Le mot de la fin
Le choix de vos modes de paiement n’est pas une question accessoire : elle conditionne la fluidité de vos parcours, la confiance de vos clients et, in fine, la croissance de vos ventes.
En France comme à l’international, vos acheteurs attendent des options adaptées à leurs usages, à leurs habitudes et à leur pouvoir d’achat. Ignorer cette réalité, c’est prendre le risque de multiplier les abandons de panier et de freiner votre expansion.
L’ouverture aux marchés étrangers est également déterminante. Le paiement multi-devises permet notamment d’élargir votre clientèle tout en conservant une tarification claire et compétitive. C’est un levier stratégique pour accompagner vos ambitions et gagner en compétitivité.
Sources :
¹Fevad, Chiffres clés du e-commerce 2025
Comment piloter votre activité avec un tableau de bord e-commerce ?
Vous gérez un site e-commerce, vous vendez sur plusieurs marketplaces ou vous utilisez des services logistiques, mais vous avez du mal à centraliser vos données ? Vous n’êtes pas seul(e). Saviez-vous qu’un e-commerçant passe en moyenne plus de 10 heures par semaine à extraire, croiser et analyser manuellement ses résultats ? Un temps précieux qui pourrait être consacré au développement des ventes. Sans outil de reporting commercial comme un bon tableau de bord e-commerce, vous pouvez vite être submergé par la quantité d’indicateurs et votre prise de décision peut devenir approximative. Pour y remédier, il y a une solution : le dashboard e-commerce. Son rôle consiste à centraliser vos KPIs e-commerce, à vous permettre de choisir les bons indicateurs et à vous donner une vision claire et stratégique de votre activité.
Qu’est-ce qu’un tableau de bord e-commerce ?
Un tableau de bord e-commerce, ou dashboard e-commerce, est un outil de gestion centralisé qui rassemble et présente un certain nombre d’indicateurs de performance (KPIs). Il vous offre une vue d’ensemble instantanée de votre activité de vente en ligne.
Voici les principaux bénéfices d’un tableau de bord e-commerce efficace :
- Une vision à 360° : données de vente, trafic, logistique, retours, etc., réunies en un seul outil tableau de bord.
- Une prise de décision éclairée : vous anticipez les tendances (hausse ou baisse) en observant les indicateurs en temps réel.
- Une identification rapide des problèmes et des opportunités : retard de livraison, stock critique ou chute de conversion.
- Un gain de temps dans l’analyse : vous ne perdez plus d’heures à regrouper des rapports manuels.
- Une meilleure priorisation des actions : marketing, optimisation produit, ajustement des prix selon les performances.
- Une communication plus simple : entre collègues, avec vos partenaires ou avec votre prestataire logistique.
- Une vision stratégique et une optimisation continue : ajustement selon les résultats pour améliorer la performance globale.
Quelle solution choisir pour son tableau de bord e-commerce ?
Il existe plusieurs options à envisager, chacune avec leurs avantages et leurs inconvénients. Faisons le point sur la question.
Tableau de bord Excel
Le tableau de bord Excel se crée à la main ou en téléchargeant un modèle existant. C’est simple, accessible et hautement personnalisable.
- Avantages : vous n’avez pas besoin d’outil externe et c’est facile à paramétrer selon vos KPIs.
- Inconvénients : mise à jour manuelle, risque d’erreurs, peu adapté si vous avez beaucoup de sources de données.
Bon à savoir : des alternatives comme Google Sheets, Smartsheet ou LibreOffice Calc offrent également toutes les fonctionnalités nécessaires pour mettre en place un tableau de bord performant.
Tableau de bord dans votre CRM
Certains CRM comme Salesforce ou HubSpot incluent leur propre tableau de reporting commercial qui suit les indicateurs liés à la relation client.
- Avantages : vision du cycle de vente, automatisation des relances, suivi des ventes répétées ou des prospects.
- Inconvénients : ne couvre pas toujours les données logistiques ou le trafic web/site et la configuration est parfois complexe.
Tableau de bord intégré à votre marketplace
Une autre possibilité consiste à se baser sur un tableau de bord commercial directement intégré à votre marketplace. C’est par exemple le cas avec le Merchant Dashboard de Rakuten. Cet outil e-commerce complet est pensé pour les vendeurs de la marketplace. Il offre une vue d’ensemble de l’activité en quelques clics : ventes, gestion des annonces, retours et logistique.
Il intègre aussi les données d’expédition via Rakuten Fulfillment Network, notre solution clé en main qui centralise le stockage, la préparation des commandes et la livraison.
- Avantages : c’est simple à utiliser, 100 % intégré à la marketplace et avec des données fiables et à jour.
- Inconvénients : ne couvre que l’activité liée à Rakuten (à compléter si vous vendez sur d’autres plateformes).
Outils de Business Intelligence (BI) dédiés
Les outils de Business Intelligence permettent de regrouper et de consolider vos données issues de plusieurs sources (site e-commerce, marketplaces, CRM, plateforme logistique…) dans un seul tableau de bord personnalisé.
- Avantages : grande précision d’analyse, personnalisation poussée, visualisation claire et rapports actualisés presque en temps réel. Ces outils facilitent l’identification de tendances, de corrélations ou d’anomalies que des solutions plus simples ne détectent pas.
- Inconvénients : ils nécessitent généralement des compétences techniques ou l’intervention d’un prestataire spécialisé, et peuvent représenter un coût non négligeable selon la complexité des besoins.
Exemples : Google Data Studio, Power BI, Tableau. Des outils connexes comme les ERP (Enterprise Resource Planning) ou les PSP (Prestataires de Services de Paiement) peuvent également intégrer des modules de reporting commercial ou des indicateurs logistiques, élargissant ainsi le champ d’analyse possible.
Quels KPIs inclure dans votre tableau de bord e-commerce ?
Tous les KPIs e-commerce ne sont pas forcément pertinents pour votre activité de vente en ligne. Voici les indicateurs à ajouter à votre tableau de bord e-commerce, comment les calculer et le type d’action concrète qu’ils vous permettent d’initier.
KPIs de ventes
Les indicateurs clés de performances liés aux ventes sont les suivants :
- Nombre de ventes : volume total de commandes. Il permet de suivre la croissance ou la lenteur de l’activité.
→ Si ce chiffre stagne, lancez une opération promotionnelle ou améliorez la mise en avant de vos produits sur la marketplace. - Panier moyen = Chiffre d’affaires total ÷ Nombre de commandes. Il sert à connaître la valeur générée par commande.
→ Pour l’augmenter, vous pouvez proposer des ventes croisées ou inciter à l’achat de produits complémentaires (upselling). - Achats répétés = clients avec ≥ 2 achats ÷ nombre total de clients. Il reflète votre capacité à fidéliser.
→ Pour améliorer ce taux, mettez en place un programme de fidélité ou des offres exclusives post-achat, par exemple. - Taux d’abandon de panier = (nombre de paniers abandonnés ÷ nombre total de paniers créés) × 100. Il met en lumière les points de friction dans le parcours d’achat.
→ Pour le réduire, simplifiez le tunnel de commande, proposez plusieurs moyens de paiement et automatisez les relances. - Chiffre d’affaires : montant total des ventes. Il permet de mesurer l’efficacité globale de votre activité.
→ En cas de baisse, analysez vos catégories sous-performantes et ajustez vos priorités marketing. - Marge brute / nette : marge brute = (CA − coûts des marchandises vendues) ÷ CA × 100. Marge nette : profit net ÷ CA × 100. Il permet de surveiller la rentabilité par produit ou par catégorie.
→ Si les marges diminuent, renégociez vos coûts d’achat, ajustez vos prix ou réduisez certaines dépenses opérationnelles.
KPIs liés au trafic web
Les KPIs qui vous informent sur vos performances en matière de trafic web sont les suivants :
- Nombre de visiteurs uniques : indique l’attractivité du site.
Action : investir dans le SEO ou la publicité. - Pages vues par visite, temps passé : mesure l’engagement.
Action : améliorer le contenu et optimiser la navigation. - Source de trafic (SEO, réseaux sociaux, publicité, email) : savoir d’où viennent vos prospects.
Action : ajuster le budget selon les canaux. - Taux de conversion visiteur → acheteur : visiteur qui passe à l’achat. C’est un indicateur clé pour fiabiliser vos annonces, vos fiches produits et le tunnel de commande.
KPIs liés aux coûts
Les coûts sont des KPIs essentiels pour suivre la rentabilité de votre activité. Voici ceux à surveiller de près :
- Coût d’acquisition client (CAC) : total dépensé en marketing ÷ nombre de nouveaux clients.
→ Si ce coût est trop élevé, vous devez optimiser vos campagnes marketing, ajuster vos ciblages ou travailler sur la conversion des visiteurs existants. - Coûts logistiques : stockage, préparation des commandes et expédition.
→ Pour les réduire, envisagez d’optimiser la gestion de votre stockage, de renégocier vos contrats avec vos transporteurs ou d’externaliser ce pan de votre activité via une solution comme Rakuten Fulfillment Network (RFN). - Coûts marketing / publicitaire : suivi des dépenses pour chaque canal, ROAS.
→ En cas de rendement insuffisant, ajustez vos investissements en fonction des canaux les plus rentables. - Coûts fixes vs variables : les coûts fixes regroupent les loyers, les abonnements ou les salaires. Les variables dépendent directement de votre activité (emballages, frais d’expédition, commissions…).
→ Analyser cette répartition vous aide à mieux comprendre votre seuil de rentabilité et à identifier les postes sur lesquels vous pouvez agir pour optimiser vos marges.
KPIs logistiques
Et enfin, les indicateurs de performances qui concernent la logistique sont les suivants :
- Délai moyen de livraison : c’est le temps écoulé entre la commande et la réception par le client.
➝ Ce KPI est essentiel, car il influence directement la satisfaction client et la probabilité d’un nouvel achat. - Taux de retours d’articles : cela correspond à la proportion de produits retournés par rapport au nombre de ventes effectuées
➝ Un taux élevé peut indiquer des problèmes de description de produit, de qualité ou de correspondance avec les attentes du client. - Taux de rupture de stock : c’est la durée pendant laquelle vos produits ne sont pas disponibles à la vente.
➝ Pour limiter ce phénomène, vous pouvez améliorer vos prévisions, mettre en place des alertes automatiques et renforcer votre gestion de stock. - Délai de préparation des commandes : il s’agit du temps entre la réception de la commande et son expédition.
➝ Ce délai peut être réduit en optimisant le picking, en améliorant le conditionnement et en intégrant des solutions logistiques automatisées.
Bonnes pratiques pour l’utilisation de votre tableau de bord e-commerce
Un tableau indicateur de performance puissant n’est utile que s’il est bien exploité. Pour tirer pleinement parti de vos indicateurs, vous devez prendre certaines habitudes dès le départ.
- Définissez des objectifs précis : chacun des KPIs e-commerce sélectionnés doit correspondre à un but mesurable.
- Mettez à jour le tableau de bord KPI à une fréquence adaptée : quotidienne pour les ventes, hebdomadaire ou mensuelle pour les coûts ou la fidélisation.
- Interprétez les données : vous ne devez pas vous contenter des chiffres. Il faut identifier les tendances ou les anomalies.
- Agissez sur les insights : exploitez vos données pour apprendre, comprendre et mettre en place des actions concrètes (optimisations, mise en place de nouvelles campagnes et ajustements).
- Partagez les résultats avec vos équipes pour plus de visibilité et pour une vraie responsabilisation de chacun.
- Assurez l’évolutivité : ajoutez des KPIs ou des sources au fur et à mesure que votre activité grandit ou que de nouveaux outils s’ajoutent.
Pour conclure :
Sans un bon tableau de bord logistique, vous risquez de perdre du temps, des opportunités et de manquer d’une vision claire. Un tableau de bord KPI bien conçu vous permet de concentrer vos efforts sur ce qui compte vraiment : vendre, améliorer et fidéliser. Avec les bons indicateurs, une solution adaptée (Excel, tableau de bord marketplace, CRM, outil de BI), et une discipline dans le suivi, vous prenez le contrôle de votre activité. Commencez dès aujourd’hui à construire votre tableau de reporting commercial.
Comment choisir sa plateforme logistique e-commerce ?
Saviez-vous que près de 67 % des consommateurs ont déjà abandonné un panier en cours ? L’une des raisons principales : des délais de livraison trop longs. Aujourd’hui, les internautes s’attendent en effet à être livrés en moins de 48 heures. En tant que vendeur en ligne, il peut être difficile de tenir ces délais : manutention, gestion des stocks, préparation des colis, étiquetage, expédition, retours… chaque étape peut rallonger vos délais de livraison. Face à ces défis, les plateformes logistiques e-commerce sont la solution idéale. Elles vous permettent de centraliser, d’accélérer et de fiabiliser vos approvisionnements, pour mieux servir vos clients et vous concentrer sur la vente.
Qu’est-ce qu’une plateforme logistique e-commerce ?
Contrairement à un entrepôt classique qui stocke longtemps, une plateforme logistique est un lieu de transit et de tri où les marchandises ne restent généralement que quelques heures.
Parmi les avantages de cette solution logistique :
- Fluidité des flux physiques : réception, déchargement, tri et expédition optimisés pour accélérer les livraisons.
- Adaptée à la last mile delivery (transport du colis depuis le centre logistique jusqu’à la porte du client) : leur proximité avec les zones de livraison finales permet un vrai gain de temps.
- Gestion des pics saisonniers : capacité à absorber les volumes importants (Black Friday, soldes, Noël).
- Réduction des coûts opérationnels : ressources mutualisées et tournées optimisées.
- Amélioration de l’expérience client : délais raccourcis et fiabilité renforcée.
Imaginez un colis qui arrive, est scanné, trié et immédiatement acheminé vers le bon quai de chargement pour le transporteur final. C’est ce fonctionnement rapide que vous offre un centre logistique performant.
Les critères essentiels pour choisir une plateforme logistique
Choisir la bonne plateforme logistique e-commerce est un choix stratégique qui impacte directement vos délais et vos frais de livraison, votre rentabilité et la satisfaction de vos clients. Faisons le point sur les critères de performances à cibler.
Coût de la plateforme logistique
En tant que e-commerçant, le coût d’une plateforme logistique est souvent le critère numéro un. Mais il dépend de plusieurs facteurs :
- Volume de commandes traitées.
- Durée et type de stockage (court terme vs long terme).
- Complexité des préparations (packaging spécifique, personnalisation, assemblage).
- Services additionnels : gestion des retours, kitting (regroupement de plusieurs articles dans un même colis), service client lié à la logistique.
Le saviez-vous ?
Avec Rakuten Fulfillment Network (RFN), vous bénéficiez de tarifs compétitifs grâce à la mutualisation des transporteurs. En regroupant vos commandes avec celles des autres vendeurs partenaires, RFN organise des tournées optimisées par destination : aucun camion ne part avec un seul colis. Cette logistique collective évite les détours, limite les trajets à vide et permet de proposer des frais de livraison plus avantageux.
Localisation géographique
L’emplacement d’un entrepôt logistique influence directement les délais et les coûts de livraison :
- Proximité des axes routiers, ferroviaires, ports ou aéroports. En choisissant un hub logistique bien positionné, vous bénéficiez d’une distribution plus rapide sur tout le territoire.
- Pour vendre à l’étranger : un hub proche du pays cible ou un entrepôt situé dans l’UE facilite le passage en douane et accélère les livraisons transfrontalières.
- La proximité des bassins de consommation finale (zones urbaines densément peuplées) permet de réduire le “dernier kilomètre” et l’empreinte carbone.
À savoir : le “dernier kilomètre” désigne la dernière étape de la livraison, entre l’entrepôt et l’adresse du client. En transport routier, c’est généralement la partie la plus complexe et la plus onéreuse de la chaîne logistique, car elle implique de nombreux arrêts sur de courtes distances. En réduisant ce trajet, on limite les émissions de CO₂, les coûts de transport et les délais de livraison.
Capacité de stockage et scalabilité
La plateforme logistique choisie doit aussi pouvoir évoluer avec votre activité :
- Assurez-vous qu’elle dispose de surfaces de stockage suffisantes.
- Prévoyez une montée en charge pour les périodes de forte demande (soldes, fêtes).
- Examinez la flexibilité des contrats pour adapter les surfaces ou les volumes selon les saisons.
Ne perdez pas de vue que la rapidité et la fiabilité de la préparation des commandes sont des éléments différenciants dans l’expérience client.
Technologies et automatisations intégrées
Une plateforme logistique moderne s’appuie sur des technologies avancées pour fluidifier les opérations et garantir une exécution rapide, fiable et rentable.
- WMS (Warehouse Management System) : ce système de gestion d’entrepôt permet de piloter en temps réel les stocks, les emplacements, les mouvements de produits et la préparation de commandes.
- Automatisation de l’entrepôt : l’utilisation de convoyeurs, de chariots mobiles autonomes (AGV – Automated Guided Vehicles) ou encore de bras robotisés facilite la manutention, le déplacement des marchandises et le tri, tout en réduisant les délais de traitement.
- Traçabilité renforcée : grâce aux scanners de codes-barres, aux étiquettes RFID (identification par radiofréquence) et aux systèmes de vision par ordinateur, chaque colis est suivi avec précision à chaque étape, ce qui renforce le contrôle qualité et limite les erreurs.
- Analyse prédictive et intelligence artificielle : des algorithmes dédiés permettent d’optimiser le picking, de prévoir les pics d’activité, de détecter les anomalies et de piloter les flux logistiques avec une grande réactivité.
Le saviez-vous ? Grâce à Rakuten Fulfillment Network, vous avez accès à un tableau de bord qui vous permet de suivre en temps réel vos stocks, vos commandes et vos retours.
Type d’infrastructure et conformité
Tous les produits ne se stockent pas dans les mêmes conditions. Une plateforme logistique efficace doit pouvoir s’adapter aux spécificités de chaque marchandise :
- Qu’il s’agisse d’articles fragiles, surdimensionnés, dangereux ou frais, certaines marchandises nécessitent des infrastructures adaptées : température contrôlée, dispositifs anti-choc ou zones de stockage dédiées.
- Pour garantir la conformité, les plateformes doivent respecter des certifications reconnues comme ISO 9001, ISO 14001, ou d’autres normes spécifiques selon les secteurs (alimentaire, cosmétique, santé…).
- Les produits à forte valeur ou sensibles exigent également des dispositifs de sécurité renforcés : vidéosurveillance, contrôle d’accès, systèmes d’alarme et suivi en temps réel.
À noter : les plateformes logistiques opérées par un prestataire 4PL (Fourth-Party Logistics), comme Rakuten Fulfillment Network, intègrent aussi la gestion stratégique de l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement, avec une infrastructure conçue pour piloter différents types de flux produits, même complexes.
Qualité de la relation client
La plateforme logistique doit vous proposer un partenariat fiable qui intègre :
- Des équipes réactives et un service client logistique qui communique.
- Une gestion des imprévus (retards, produits endommagés, ruptures de stock).
- Des outils de suivi en temps réel ou de reporting pour que vous pilotiez efficacement votre activité.
- Des services à forte valeur ajoutée : kitting (préparation de kits), personnalisation, gestion des retours, suivi de colis, etc.
Quelles sont les étapes à suivre pour intégrer une plateforme logistique ?
Gagnez du temps en ciblant la bonne plateforme logistique et en l’intégrant en 5 étapes simples.
- Analyse de vos besoins : volume de commandes, taille des produits, destinations, délais souhaités et budget.
- Recherche et audit des prestataires logistiques : capacité technique, références, certifications, zone géographique.
- Négociation du contrat : tarifs, SLA (Service Level Agreement, ou accord de niveau de service, en français), modalités de stockage, responsabilité et retours.
- Intégration technique : connexion des systèmes, flux de stock, WMS, compatibilité avec votre boutique ou marketplace.
- Démarrage progressif : test, monitoring des indicateurs clés (coûts, délais, taux d’erreurs), ajustements.
Avez-vous pensé à Rakuten Fulfillment Network ?
Confier votre logistique à Rakuten Fulfillment Network, c’est libérer du temps pour vous concentrer sur ce qui compte vraiment : développer vos ventes et faire rayonner votre marque. Avec sa solution clé en main, RFN prend en charge l’intégralité des opérations : gestion d’entrepôt, picking, conditionnement, expédition, retours et transport logistique. Vous profitez de tarifs compétitifs, d’une automatisation avancée, d’un suivi en temps réel via un tableau de bord intuitif, et d’une visibilité renforcée pour vos produits sur la marketplace Rakuten.
Choisir la bonne plateforme logistique e-commerce, c’est poser les fondations d’une croissance durable. Avec Rakuten Fulfillment Network, vous gagnez en fiabilité, en performance… et en tranquillité. Reprenez la main sur votre activité commerciale, et laissez RFN simplifier tout le reste.
Comment créer les meilleures annonces marketplace pour dominer la concurrence ?
Saviez-vous que plus de 50 % des achats en ligne débutent sur une marketplace ? Dans cet univers ultra-concurrentiel, votre annonce est votre vitrine. C’est elle qui attire, rassure et convainc… ou fait fuir. Si vous êtes e-commerçant, vous ne pouvez plus publier une annonce en ligne sans une solide stratégie. Créer des annonces marketplace efficaces, c’est comme former vos vendeurs à être irréprochables en boutique. Il vous faut une posture engageante, un argumentaire de vente percutant et une capacité à répondre aux doutes du client en quelques secondes.
Vous voulez conseils utiles pour optimiser vos fiches produits marketplace, pour gagner en visibilité en ligne et pour maximiser vos ventes ? On vous dit tout !
Pourquoi des annonces marketplace performantes sont-elles indispensables ?
Sur une marketplace, vous ne vendez pas seul. Vous partagez l’espace avec des milliers d’autres vendeurs. Pourtant, pas question de se retrouver noyé dans la masse. La clé de votre succès : une annonce marketplace optimisée et un maximum de visibilité. Une annonce bien construite séduit l’algorithme autant que l’utilisateur. Mieux encore : elle remonte dans les résultats, attire plus de clics, convertit mieux… et entre dans une boucle vertueuse qui booste votre performance.
Rappelons-le : sur une marketplace, tout se joue en une micro-seconde. Le client scanne, il ne lit pas. S’il hésite, il clique ailleurs. D’où l’importance de capter son attention dès les premières secondes. Une annonce marketplace bien construite, c’est un rempart contre la volatilité des acheteurs. Elle réduit les doutes, anticipe les objections et transforme l’intention en achat.
8 conseils pour améliorer vos annonces marketplace
Pour capter l’attention, convaincre et vendre, chaque détail de votre fiche produit compte. Voici 7 conseils pour créer des annonces marketplace vraiment efficaces, qui renforcent votre expérience utilisateur.
Soignez les visuels
Les visuels sont votre première impression sur les sites marchands. Ils doivent convaincre avant même que le client ne lise une ligne.
- Photos produit : haute définition, éclairage professionnel, plusieurs angles, zoom. Montrez aussi les détails (matières, finitions, dimensions).
- Photos lifestyle : mettez le produit en situation réelle pour aider le client à se projeter.
- Infographies : synthétisez les bénéfices clés (durée de vie, compatibilité, garanties).
- Vidéos produit : un vrai levier de mise en avant produit. Démonstration, unboxing, témoignage… c’est un atout pour déclencher l’achat.
À noter : optez pour un bon ratio poids/qualité pour vos visuels. Des fichiers trop lourds ralentissent le chargement… et donc les ventes.

Annonce Rakuten d’un aspirateur Dreame H12 Pro
Travaillez votre storytelling produit
Un produit, ce n’est pas qu’une fiche technique. C’est une histoire à raconter pour toucher votre audience.
- Qui êtes-vous ? Une marque engagée, une famille d’artisans, un passionné de design ? Racontez-le.
- Pourquoi ce produit ? Quelle problématique résout-il ?
- Quel impact ? Local, éthique, bien-être… faites-le savoir.
Cette histoire doit être simple et perceptible tout au long du processus d’achat, pour garantir que vos clients potentiels la comprennent.
Le storytelling produit est une stratégie marketing très puissante. Il permet de créer un lien émotionnel, de se démarquer de la concurrence et de bâtir une marque forte, d’autant plus sur une marketplace.
Offrez une proposition de valeur unique
Pourquoi choisir votre annonce plutôt qu’une autre ? C’est la question que chaque acheteur se pose lorsqu’il fait de la comparaison produit. Votre proposition de valeur unique (PVU) doit répondre à cette question de façon claire. En quelques mots, vous devez faire comprendre ce qui rend votre produit ou votre service différent : une fonctionnalité exclusive, un prix avantageux, une livraison express, la gratuité des frais de port, associés un service client ultra-réactif, une fabrication locale…
Notre conseil : analysez vos concurrents, repérez ce qu’ils ne font pas et mettez votre différence en avant dès le titre et les premières lignes de la description. C’est ce qui fera basculer le client de votre côté.
Optimisez vos annonces pour le SEO marketplace
Le référencement naturel, c’est la clé pour exister sur les marketplaces. Avant même de convaincre, vous devez être trouvé. Et pour cela, il faut optimiser chaque annonce marketplace avec les bons mots-clés : ceux que les internautes utilisent.
Pour optimiser vos annonces, utilisez les suggestions de recherche sur la plateforme elle-même pour identifier les termes les plus saisis. Vous pouvez aussi recourir à des outils comme Google Keyword Planner, Google Analytics ou Ubersuggest pour étendre votre analyse aux moteurs de recherche. En pratique, intégrez ces mots-clés naturellement dans les titres, sous-titres, descriptions et balises images. Pensez aussi aux synonymes et aux mots-clés liés. Le résultat d’une bonne stratégie SEO marketplace : vous remontez dans le classement, vous bénéficiez de plus visibilité et vos ventes augmentent.
Adaptez-vous à votre cible
Un bon produit qui est mal présenté reste invisible. Le ton, le vocabulaire et le niveau de détail doivent s’adapter à votre cible. Prenons un exemple : un acheteur tech n’attend pas la même chose qu’un amateur de déco ou un parent de jeunes enfants. De même, selon la plateforme, les attentes changent. Sur Leboncoin, l’attente est à la simplicité et à l’honnêteté. Sur Rakuten en revanche, les clients s’attendent à des annonces complètes, des garanties visibles et une livraison rapide. En connaissant votre audience, vous pouvez vous adresser à elle avec les bons codes et utiliser les bons leviers de conversion.
Soyez transparent et exhaustif pour construire la confiance
Les clients souhaitent un tunnel d’achat rapide. Plus l’acheteur trouve l’information rapidement, plus il est rassuré. Pour ne laisser aucune zone d’ombre, vous devez donc afficher clairement sur votre annonce marketplace :
• Le prix.
• Les éventuelles réductions.
• Les délais de livraison.
• Les frais de port associés.
Mentionnez aussi toutes les caractéristiques techniques, dimensions, compatibilités, ainsi que les obligations légales. Par exemple, pour les produits électroménagers, l’étiquette énergie est indispensable : elle informe sur la consommation et peut peser dans la décision d’achat.
C’est simple : plus votre annonce est précise, moins le client aura besoin de chercher ailleurs. Vous facilitez sa décision et réduisez par la même occasion les risques de retours produits.
Répondez aux objections de vos clients
Tous les acheteurs hésitent. Votre annonce marketplace doit, de ce fait, anticiper les questions qu’ils pourraient se poser et répondre aux objections des prospects pour lever les freins à la vente. Facile à monter ? Lavable ? Durable ? Made in France ? Ajoutez les bonnes infos dans la description et complétez par une FAQ si possible. En montrant que vous comprenez les besoins du prospect et que vous l’aidez à se décider, vous augmentez vos chances d’avoir un panier moyen bien rempli.
De plus, n’oubliez pas l’impact de la preuve sociale sur les conversions : avis clients, notes, témoignages… Sur Rakuten, par exemple, ces éléments influencent directement le référencement produit et la visibilité de vos annonces. Plus vous rassurez, plus vous vendez.
Gérez activement vos stocks et vos prix
Un produit marqué comme « indisponible », c’est aussi une vente perdue. Une annonce avec stock nul est automatiquement déréférencée sur de nombreuses marketplaces. Notre conseil : maintenez vos stocks à jour et ajustez vos prix en fonction du marché. Surveillez la concurrence, et si besoin, utilisez des outils de repricing pour rester compétitif sans rogner sur vos marges.
Astuce : n’hésitez pas à activer des offres spéciales. Promotion temporaire, coupon immédiat, livraison offerte… ces techniques de vente en ligne attirent l’œil et déclenchent l’achat.
Vous l’aurez compris, une bonne annonce marketplace est un levier de conversion, un outil stratégique et un puissant argumentaire de vente. C’est elle qui parle à votre place, capte l’attention, convainc et rassure. En appliquant ces 7 conseils, vous construisez une présence forte et vous vous démarquez de la concurrence. Résultat : chaque visite de votre boutique devient une opportunité de vente.
Un besoin complémentaire ? Sur Rakuten, vous bénéficiez d’un accompagnement pour optimiser vos fiches produits marketplace et d’outils pour booster votre visibilité en ligne. Profitez-en dès aujourd’hui pour mettre vos annonces à la hauteur de vos ambitions.
Rakuten France annonce son expansion en Europe : l’Espagne, première étape d’un déploiement stratégique
Paris, le 15 septembre 2025 - Acteur clé de l’e-commerce et pionnier de l’économie circulaire, la marketplace Rakuten France annonce aujourd’hui son expansion internationale, avec l’Espagne comme premier marché stratégique. Ce lancement vise à proposer aux consommateurs et commerçants espagnols une expérience e-commerce alliant accessibilité, qualité de service et consommation responsable, portée par l’expertise technologique des équipes Rakuten France, notamment en intelligence artificielle. Au-delà de cette première étape, c’est un plan de développement ambitieux et progressif à l’échelle européenne qui est amorcé.
Un développement international porté par une vision optimiste du e-commerce
Rakuten France franchit une étape clé de son histoire en amorçant son expansion internationale. Un choix stratégique qui s’inscrit pleinement dans sa vision optimiste du e-commerce, s’appuyant sur un modèle qui a déjà fait ses preuves dans l’Hexagone. Véritable centre commercial digital ouvert et inclusif, Rakuten France permet aux acheteurs, vendeurs et marques d’interagir en toute sécurité. Un modèle partenarial dans lequel Rakuten n’entre jamais en concurrence avec ses « clients » commerçants.
Ce déploiement est ainsi guidé par trois axes stratégiques qui font la force de Rakuten sur le marché français :
- L’accompagnement des commerçants dans leur digitalisation et leur logistique, grâce à des solutions innovantes et adaptables à leurs besoins comme Rakuten Fulfillment Network (RFN), réseau international d’experts logistiques assurant la gestion complète des commandes – stockage, expédition, suivi et retours. Avec RFN, 99,8 % des commandes passées avant 14h sont livrées en 24h.
- Le soutien concret du pouvoir d’achat, incarné par le Club R, le programme de cashback le plus généreux du e-commerce français, qui a déjà permis de redistribuer plus de 200 millions d’euros aux acheteurs.
- L’engagement pour une consommation plus responsable, avec une large offre de produits de seconde main (occasion et reconditionné).
L’expansion en Espagne marque une première étape concrète pour étendre ce modèle unique et vertueux à l’échelle européenne.

L’Espagne, un marché clé et le point de départ d’une stratégie ambitieuse
Avec plus de 30 millions d’acheteurs en ligne en 2023 (selon l’ONTSI), et un marché e-commerce qui a dépassé 95 milliards d’euros en 2024, en croissance de 13,1 % par rapport à 2023 selon le CNMC, l’Espagne offre un potentiel considérable pour la prochaine phase de croissance de Rakuten France.
Le déploiement se fera par étapes. Dès maintenant, Rakuten France propose une version optimisée de sa marketplace en Espagne, avec deux objectifs clairs : offrir des prix attractifs aux consommateurs espagnols couplés à une qualité d’expérience optimale.
L’offre initiale met en avant des catégories clés comme le high-tech et l’électroménager. Pour assurer un service rapide et fiable aux vendeurs et aux acheteurs, Rakuten France s’appuie sur son solide réseau Rakuten Fulfillment Network (RFN), et sur des partenariats d’affiliation renforçant ainsi la visibilité et la compétitivité de son offre.
Cette implantation s’appuie sur l’expertise éprouvée de Rakuten France en intelligence artificielle. L’IA joue un rôle central dans :
- la traduction automatique et contextuelle de milliers de fiches produit
- l’optimisation continue du moteur de recherche, avec notamment l’exploration de la recherche sémantique.
- l’adaptation des interfaces de navigation aux usages des consommateurs espagnols.
L’offre sera progressivement enrichie en intégrant les fonctionnalités qui ont fait le succès de Rakuten France. Les consommateurs espagnols pourront ainsi bénéficier du programme Club R leur permettant de récupérer du cashback sur leurs achats. L’offre de seconde main sera aussi enrichie avec des articles reconditionnés et d’occasion dans de nombreuses catégories (culture, high-tech, électroménager, jeux vidéo, etc.) pour répondre aux nouvelles attentes de consommation et aux enjeux environnementaux.
Cédric Dufour, PDG de Rakuten France et Rakuten TV déclare : « Cette expansion marque un tournant majeur dans l’histoire de Rakuten France. Elle reflète aussi notre vision d’un e-commerce créateur de valeur pour tous et porteur d’un impact positif. Nous entrons sur le marché espagnol avec une stratégie claire et en capitalisant sur notre savoir-faire, notamment en matière d’accompagnement de nos vendeurs. L’intégration de l’IA dans notre démarche, pensée et déployée par nos équipes, témoigne de notre agilité et capacité à innover. Nous avons une feuille de route ambitieuse, ainsi que les moyens, la vision et l’équipe pour la réaliser. Nous tenons tout particulièrement à nouer des partenariats solides avec les distributeurs espagnols pour croître ensemble sur ce marché dynamique. »
En tant que tiers de confiance, Rakuten France s’engage à garantir aux acheteurs espagnols un niveau élevé de sécurité et un service après-vente complet. Véritable centre commercial digital assurant un rôle de tiers de confiance, la plateforme met en œuvre des normes strictes pour sécuriser les paiements et prévenir la fraude ainsi que la contrefaçon.
E-Commerce : comment réussir vos ventes de fin d’année ?
La période des ventes de fin d’année, ou Shopping Season, marque les grands rendez-vous commerciaux qui rythment votre calendrier : rentrée scolaire, Black Friday, Cyber Monday, fêtes de fin d’année.
Mais dans un contexte où l’inflation pèse sur le pouvoir d’achat, vos clients adaptent leur comportement d’achat et recherchent avant tout de bonnes affaires.
En 2024, le Black Friday a généré 808 millions d’euros de ventes en ligne en France¹, soit une progression de 4,7 % par rapport à 2023. Ces chiffres prouvent que, même dans un environnement économique tendu, la demande reste forte.
Découvrez comment améliorer vos ventes de fin d’année avec méthode et ambition afin de faire de cette période un temps fort décisif pour accroître votre rentabilité et vous démarquer de vos concurrents.
Une bonne préparation, la clé de ventes de fin d’année réussies
Une préparation minutieuse est essentielle pour réussir vos ventes de fin d’année : elle transforme chaque temps fort en opportunité de vente et de fidélisation client.
Définissez vos objectifs et votre stratégie
- Élaborez un calendrier précis : La réussite de vos ventes de fin d’année passe d’abord par un calendrier clair. Inscrivez-y les temps forts comme le Black Friday, le Cyber Monday et Noël, mais aussi vos propres opérations : réductions, coupons ou offres de cashback.
- Pensez au-delà des temps forts : N’attendez pas uniquement les grandes dates : prévoyez des phases de teasing pour susciter l’intérêt en amont, puis des relances ciblées après chaque événement afin de prolonger vos promotions et mieux fidéliser vos clients.
- Fixez des objectifs variés : Ne vous limitez pas aux chiffres (ventes, panier moyen, achats répétés). Profitez de la Shopping Season pour développer la notoriété de votre marque et acquérir de nouveaux clients grâce à vos opérations commerciales.
- Ciblez vos segments : Adaptez vos offres selon vos audiences, en réservant des avantages spécifiques à vos clients fidèles et des promotions dédiées aux nouveaux prospects. Bien cibler permet de délivrer les bons messages sur les bons canaux et donc de mieux convertir vos clients potentiels.
- Appuyez-vous sur l’expertise de votre E-Commerce Consultant Rakuten : il vous accompagne dans vos choix stratégiques et adapte vos actions à votre catégorie de produits.
Préparez vos promotions
La réussite de vos ventes de fin d’année passe par des offres attractives, mais toujours rentables. Chaque promotion doit préserver votre marge contributive : séduire vos clients ne signifie pas sacrifier vos résultats.
Voici les principales options à activer :
- Réductions directes via des coupons de réduction limités dans le temps
- Bundles et ventes flash pour écouler vos stocks rapidement
- Cashback, efficace pour stimuler les achats
- Livraison express offerte, idéale pour les achats de dernière minute
- Cadeaux ou points doublés pour renforcer la fidélisation client
- Programmes de fidélité renforcés (accès anticipé à certaines promotions)
- Offres personnalisées, basées sur l’historique d’achats
N’hésitez pas à mettre en avant vos promos de fin d’année avec des bannières dédiées, des pop-ups intelligentes ou encore de publier des stories éphémères sur vos réseaux sociaux.
Pensez aussi à la visibilité de ces promotions sur les moteurs de recherche. En publiant sur votre site un article de blog dédié aux ventes de fin d’année, vous augmentez vos chances de générer des clients via le SEO (référencement naturel).
Avec Rakuten, vos promotions les plus attractives gagnent en impact : elles sont mises en avant sur la page d’accueil et dans les résultats de recherche, des emplacements stratégiques qui dopent votre visibilité et transforment la Shopping Season en véritable accélérateur de ventes.
Pensez également à diffuser vos offres via l’emailing et le SMS marketing pour les rappels de dernière minute, mais aussi à les relayer grâce à des partenariats avec des influenceurs et sur des comparateurs de prix en ligne comme Google Shopping, afin d’assurer une couverture maximale.
Anticipez l’augmentation du trafic
Le Black Friday 2024 a généré une hausse de 11 % des transactions en ligne en France², confirmant l’ampleur des ventes de fin d’année et les défis qu’elles impliquent. Pour absorber cette montée en puissance, chaque maillon de votre activité doit être prêt :
- Site e-commerce : surveillez l’état des serveurs, corrigez vos pages 404 et préparez des redirections. Réalisez des tests de charge en amont pour éviter tout blocage
- Vitesse de chargement : chaque seconde supplémentaire fait grimper les abandons de panier.
- Optimisez les pages de votre site internet afin de sécuriser vos taux de conversion.
- Livraisons : plus de commandes signifient plus de colis à traiter. Prévoyez des délais rallongés et communiquez-les clairement : transparence = confiance
- Service client : activez des auto-reply pour accuser réception, priorisez les urgences (paiements, commandes bloquées) et maintenez une FAQ dynamique, régulièrement mise à jour, afin de répondre rapidement aux questions les plus fréquentes de vos clients
Stocks et livraisons : un pilier essentiel de vos ventes de fin d’année
La gestion des stocks et de la logistique conditionne la réussite de vos ventes de fin d’année. Appuyez-vous sur les données passées pour établir vos prévisions et maintenir des niveaux suffisants afin d’éviter les ruptures de stock, cauchemar de toute Shopping Season.
Préparez-vous à l’augmentation des commandes : optimisez l’emballage, l’expédition et renforcez vos équipes si nécessaire. Communiquez toujours en amont sur vos délais de livraison, même s’ils sont rallongés : cette transparence renforce la confiance et facilite la fidélisation client.
Prévoyez également une politique de retours claire et visible. Un processus simplifié, comme l’impression directe des étiquettes, rassure vos acheteurs et fluidifie le tunnel de conversion.
Avez-vous déjà envisagé d’externaliser votre logistique afin de mieux gérer vos ventes de fin d’année ? Rakuten Fulfillment Network (RFN) prend en charge l’ensemble de vos opérations et vous permet de bénéficier de :
- Gestion centralisée de vos commandes, y compris hors Rakuten
- Tarifs compétitifs
- Gain de temps pour vous concentrer sur vos ventes et votre service client e-commerce
Pendant les ventes de fin d’année, RFN vous permet de déléguer la complexité logistique et de vous concentrer sur vos ventes et votre marketing saisonnier. Dreame, marque chinoise d’électroménager, témoigne :
“Avant RFN, l’expédition prenait 7 à 10 jours. Aujourd’hui, les commandes expédiées avant 14h sont livrées en moins de 48h, ce qui a considérablement amélioré la satisfaction client”.
Optimisez votre parcours client
L’objectif principal de votre parcours d’achat : amener des clients à remplir et valider leur panier. Plusieurs étapes sont indispensables pour garantir un parcours client sans accroc lors de vos ventes de fin d’année :
- Pendant les ventes de fin d’année, vos acheteurs ne tolèrent pas les détours. Plus vous leur imposez d’étapes inutiles, plus vous risquez de les perdre en route. En simplifiant votre tunnel de conversion (formulaires épurés, validation rapide, paiement en un clic), vous leur offrez une expérience rapide et fluide qui limite les abandons et accélère la décision d’achat. Cette efficacité permet d’installer une relation de confiance qui se prolonge bien au-delà de la première commande.
- Indiquez sur la fiche produit le prix, les délais de livraison et les conditions de retour : cette clarté dissipe les doutes et sécurise l’achat. De plus, proposer plusieurs solutions de paiement sécurisées rassure vos clients au moment décisif. Enfin, une expérience mobile optimisée est indispensable, puisque la plupart des commandes, surtout durant le Black Friday sont désormais passées depuis un smartphone.
- Côté support, formez vos équipes ou renforcez-les afin de gérer efficacement la hausse des demandes. En parallèle, mettez en place une FAQ dédiée et des chatbots pour prendre en charge les questions récurrentes, ce qui permet à vos conseillers de se concentrer sur les urgences. La réactivité reste primordiale. Répondre aux avis, même négatifs, montre que vous prenez vos clients au sérieux. Cette attention transforme une critique en opportunité de dialogue, apaise les frustrations et renforce la confiance dans votre marque.
En optimisant le parcours client lors des vos ventes de fin d’année, vous ne simplifiez pas seulement l’acte d’achat. Vous posez les fondations d’un succès sur le long terme, en renforçant la fidélité de vos clients existants tout en vous assurant des revenus réguliers. Des consommateurs satisfaits peuvent devenir de véritables ambassadeurs de votre boutique, vous aidant grâce à leur bouche-à-oreille à gagner des clients supplémentaires.
Parce que vos besoins évoluent et que les attentes de vos clients ne cessent de croître, nos E-Commerce Consultants sont là pour vous accompagner !



























