RakuTrends #7 : Saint-Valentin, le choix de l'e-commerce pour des achats intimes en toute discrétion !
En ce 14 février, de nombreux couples profitent de ce moment pour partir en quête de cadeaux, idées originales ou dîners romantiques pour faire plaisir à leur moitié. Outre les classiques bouquets de roses, chocolats et bijoux, les Français semblent être de plus en plus friands de nouvelles expériences (insolites ou non) à découvrir à deux.
Rakuten, l’un des leaders du e-commerce en France, bénéficie d’un point de vue unique sur les évolutions de consommation, à la croisée de tendances sociétales permettant de faire le point sur les produits les plus plébiscités en cette période charnelle où l’amour est mis à l’honneur.
Si pour certains la Saint-Valentin a un aspect seulement commercial, d’autres profitent de ce marronnier pour pimenter leur vie de couple. En 2023, l’érotisme semble être de mise avec une évolution de la vente des produits dans la catégorie sextoys depuis plusieurs années. Célibataire ou en couple, la sextech (combinant recherche du bien-être sexuel et innovations technologiques) est en croissance et permet sans aucun doute d’explorer de nouvelles sensations en toute discrétion. L’e-commerce est le lieu privilégié des achats de l’intime, et offre aux couples une parfaite confidentialité pour des achats décomplexés.
TOP 5 DES PRODUITS LES + VENDUS DANS LA CATÉGORIE SEXTOYS
Pour continuer de nourrir les fantasmes, la littérature érotique reste elle aussi une alternative en vogue, pour accompagner tous ceux qui souhaitent voyager dans l’univers sentimental.
TOP 3 DES LIVRES ÉROTIQUES LES + VENDUS
Mais les indétrônables produits de maquillage, soins du corps, parfums et bijoux restent toujours ancrés dans les habitudes de consommation permettant de faire plaisir, ou de se montrer sous son meilleur jour !
QUELQUES MEILLEURES VENTES
Pour cette édition 2023, la Saint-Valentin sera donc placée sous le signe de l’érotisme, qu’on soit seul ou à deux, et les achats coquins en ligne ne cessent de progresser, en toute discrétion !
Comment externaliser sa logistique e-commerce ?
La logistique e-commerce présente de nombreux défis : trouver le temps pour s'en occuper, assurer un service de qualité et contrôler ses coûts. Et une mauvaise logistique laissera un goût amer à vos clients. Se pose alors la question : faut-il externaliser sa logistique e-commerce ?
Dans cet article, nous allons vous présenter les avantages de l’externalisation de sa logistique e-commerce et les étapes à suivre pour la réaliser dans les meilleures conditions possible.
Qu’est-ce que l’externalisation de la logistique e-commerce ?
Gestion des stocks, préparation des commandes, expédition des colis, SAV en cas de retours produits… La logistique e-commerce (de l’anglais fulfillment) englobe de nombreux facteurs que les commerçants doivent prendre en compte et maîtriser. Les commerçants peuvent alors faire le choix de gérer en interne cette logistique, ou de l’externaliser.
L'externalisation de la logistique e-commerce est le processus permettant à une entreprise de confier la gestion de ses opérations logistiques à un prestataire spécialisé.
Ainsi, les entreprises peuvent externaliser une partie ou la totalité des étapes de leur chaîne logistique comme :
- Le stockage
- La préparation des commandes
- L’emballage
- L’expédition
- Les retours clients et le SAV logistique
Cette pratique permet aux commerçants de se libérer des contraintes logistiques et de se concentrer sur leur cœur de métier, tout en s’assurant de proposer une expérience de livraison satisfaisante pour leurs clients. L’externalisation de la logistique e-commerce présente ainsi de nombreux avantages !
Les avantages de l’externalisation de la logistique e-commerce
Se concentrer sur votre coeur de métier
La e-logistique comporte de nombreux facteurs comme le renouvellement des stocks, la préparation et l’expédition des commandes ou encore la location d’un entrepôt pour stocker vos produits en vente.
Avec l’externalisation de votre logistique e-commerce, vous laissez de côté cette gestion chronophage en déléguant ces tâches à une entreprise externe qui met un point d’honneur à vous faire économiser du temps et de l’argent.
Vous vous libérez ainsi un temps précieux, pour vous concentrer sur ce que vous faites de mieux : vendre.
Trouver de nouveaux leviers de croissance, développer votre offre, négocier des prix pour de nouvelles références, dénicher les tendances de demain… Autant de points cruciaux pour un commerçant comme un e-commerçant sur lesquels vous pourrez vous pencher plus souvent en externalisant votre e-logistique.
Profiter de l’expertise d’un prestataire logistique
En passant par un prestataire logistique, vous bénéficiez de son expertise, de son réseau et de ses outils.
Par exemple, un service logistique comme Rakuten Fulfillment Network vous donne accès à des outils qui vous communiquent en temps réel l’état de vos stocks, de vos commandes et de votre chiffre d’affaires. Vous pouvez ainsi facilement réapprovisionner vos stocks pour éviter les ruptures.
Optimiser vos coûts logistiques
Près de 12% des e-commerçants ne sont pas rentables en raison des coûts de distribution (Logistics Bureau). Pourtant, externaliser la logistique peut souvent être plus rentable que de maintenir une infrastructure logistique interne.
Les prestataires logistiques bénéficient souvent de tarifs négociés et d’une prise en charge plus rapide par leur réseau de partenaires de livraison. Vous bénéficiez donc d’une livraison plus rapide et moins coûteuse !
Également, vous réduisez vos coûts de stockage. Un prestataire logistique vous facturera généralement l’espace de stockage utilisé réellement, et non celui loué même s’il n’est pas utilisé dans sa totalité.
Gérer les variations d’activité
Entre les soldes, le Black Friday ou encore la période de Noël, les ventes en ligne connaissent de nombreux pics de vente qui peuvent mettre les commerçants sous pression lorsqu’ils gèrent eux-mêmes leur logistique.
En effet, il est difficile de pouvoir répondre à un flux de commandes anormalement élevé tout en maintenant la même qualité d’expérience client. En externalisant votre logistique auprès d’un partenaire flexible, vous pouvez choisir de vous faire accompagner durant ces temps forts, pour être sûr de ne perdre aucune opportunité business.
Lever les freins à l’achat
35% des consommateurs en ligne annulent leur achat si les délais de livraisons annoncés sont trop longs. Votre logistique ne doit plus seulement être efficace, elle doit aussi être plus rapide que la moyenne.
Les délais et frais de livraison peuvent ainsi devenir des vrais éléments différenciant, il est donc important de les soigner.
Améliorer l’expérience client
Pour 85% des acheteurs en ligne, il suffit d’une seule mauvaise expérience de livraison pour les dissuader de commander à nouveau chez un vendeur. Ne prenez pas le risque de faire partir vos clients durement acquis à cause d’erreurs de logistiques.
En externalisant votre logistique, vous vous assurez d’offrir une expérience de livraison adéquate et vous confiez la gestion des questions de livraison qu’ont vos clients à votre prestataire.
Comment externaliser sa logistique e-commerce facilement ?
Évidemment, pas question de confier sa logistique au premier venu ! Il est important de faire une bonne recherche de prestataires. Voici nos conseils pour vous guider.
Définir vos besoins
Avant tout, lisez vos besoins en matière de logistique.
Quels aspects de votre logistique souhaitez-vous externaliser ? Quel est votre volume moyen de commandes ? Dans quels marchés livrez-vous ? L’international est-il important pour vous ? Quels sont vos coûts logistiques actuels ?
Comparer les prestataires
Il est important d’évaluer votre prestataire logistique sur plusieurs critères. Cela peut être :
- Délais de livraison : Assurez-vous que le prestataire puisse respecter les délais de livraison que vous promettez à vos clients. Par exemple, avec Rakuten Fulfillment Network, 99,8% des commandes passées avant 14h sont livrées en 24h.
- Capacité de stockage : Évaluez la capacité de stockage du prestataire en fonction de vos besoins actuels et futurs. Assurez-vous qu'ils peuvent gérer la croissance de votre inventaire.
- Service après-vente : Le prestataire propose-t-il un service après-vente pour traiter les problèmes de logistique rencontrés par vos clients ? Un tel service vous permet de vous libérer d’un aspect très chronophage de la logistique.
- Flexibilité : Recherchez un prestataire capable de s'adapter à vos besoins changeants. Ils doivent pouvoir gérer les pics de demande lors des périodes d'activité intense.
- Intégration avec votre plateforme e-commerce : Assurez-vous que le prestataire puisse s'intégrer facilement avec votre système de vente en ligne et/ou vos différentes marketplaces pour une communication fluide des commandes.
- Coûts et structure tarifaire : Comparez les tarifs et les frais de différents prestataires logistiques. Assurez-vous de comprendre la structure tarifaire, y compris les coûts cachés (s’il y en a), tels que les frais de stockage inactif ou les frais de retour. Par exemple, avec Rakuten Fulfillment Network vous bénéficiez d’une grille tarifaire simple et sans frais cachés.
Pour en savoir plus, retrouvez notre checklist des critères à prendre en compte pour choisir le bon prestataire logistique !
Suivre l’évolution de votre logistique
Une fois le prestataire sélectionné et la collaboration lancée, vous pouvez mettre en place des routines de suivi de vos stocks et de la performance de vos commandes et livraison pour voir l’impact de votre prestataire.
Pourquoi choisir Rakuten Fulfillment Network pour externaliser votre logistique e-commerce ?
Faire appel à un acteur majeur du e-commerce comme Rakuten pour vous aider dans la gestion de votre e-logistique, c’est :
- Gagner du temps. En déléguant la gestion de votre logistique, vous parvenez à vous recentrer sur l’essentiel : faire florir votre entreprise.
- Se reposer sur des experts du e-commerce. Avec Rakuten Fulfillment Network, Rakuten est le premier acteur en Europe à fédérer un réseau international d’experts du fulfillment dont le savoir-faire est reconnu par leurs pairs.
- Réduire le temps de livraison de vos commandes. Avec Rakuten, chaque commande passée est traitée dans la foulée. L’expédition est rapide, la livraison express.
- Économiser sur les coûts de stockage et d’envoi. Nos grilles tarifaires sont claires et sans mauvaises surprises. Les prix de nos partenaires sont également négociés pour réduire le plus possible vos coûts.
- Augmenter ses stocks. Externaliser sa logistique e-commerce, c’est déléguer la gestion des stocks à une entreprise tierce et vous permettre ainsi d’augmenter le volume de vos références très rapidement.
- Booster votre volume d’affaires. Dans la continuité de l’argument précédent, augmenter vos stocks va influer sur votre volume d’affaires au fil des mois.
- Maîtriser sa croissance digitale. Nombre de produits, stocks, prix… En quelques clics à peine, effectuez les mises à jour nécessaires pour augmenter votre rendement.
- Multiplier ses canaux d’acquisition. Opter pour le Rakuten Fulfillment Network, c’est s’offrir la possibilité de vendre depuis son propre site marchand, votre boutique créée sur Rakuten ainsi que sur toutes les autres marketplaces qui vous intéressent.
- S’appuyer sur des experts du e-commerce. Faire appel à Rakuten pour la gestion de sa logistique e-commerce, c’est s’entourer d’experts dédiés, comme un account manager qui vous accompagne, vous conseille et vous aide en permanence.
ChatGPT écrit ; il fait surtout parler !
C’est un engouement : articles, reportages, réseaux sociaux, conversations entre amis, cours d’école et salles des profs… ChatGPT a fait une entrée tonitruante dans nos vies. Il y a ceux qui l’ont testé – 100 millions d’utilisateurs durant le seul mois de janvier, un record ! – ceux qui sont d’emblée séduits, ceux qui attendent de voir pour croire, et ceux qui, sans vraiment comprendre de quoi il s’agit, ont quand même leur avis sur la question. Tous les ingrédients sont là : nous sommes devant un phénomène de société.
Qui traduit un basculement, dont il faut bien mesurer l’ampleur. Alors que, jusqu’à présent, l’intelligence artificielle était souvent perçue comme « inquiétante », « menaçante », « prête à prendre le contrôle », plus encline à nous nuire qu’à nous aider, la voilà qui, en quelques semaines, bénéficie d’un trait d’image inédit : elle serait devenue sympathique, presque ludique.
Le paradoxe de cet engouement, c’est que, selon les experts, ChatGPT n’est pas une grande avancée technologique. Seulement, ce « simple » générateur automatique de contenu vulgarise tout ce qui se passe, depuis plusieurs décennies, dans le domaine du machine learning. Il rend concret pour le grand public les grandes avancées permises par l’intelligence artificielle : mise au point ultrarapide des vaccins contre le COVID-19, optimisation continue et fiabilisation des processus industriels, amélioration des services rendus aux citoyens par les administrations publiques... Des avancées bien plus enthousiasmantes que la production instantanée de dissertations pour lycéens en manque d’inspiration… mais aussi plus abstraites.
Avec le buzz autour de ChatGPT, nous constatons une fois encore que ce ne sont pas forcément les plus grandes innovations scientifiques et technologiques qui font bouger les lignes, mais celles qui arrivent à frapper et mobiliser l'opinion. Finalement, ChatGPT, en faisant abondamment la une des journaux, a fait plus pour la promotion des avancées technologiques que toutes les grandes campagnes de sensibilisation. Si la technologie permet la viralité, la viralité sert aussi en retour la technologie !
ChatGPT écrit, mais a fait surtout parler de nouveau, en bien, d’innovation et de progrès. C’est peut-être là sa première vertu, au cœur d’une époque marquée par la défiance et le scepticisme envers la science, la technologie, et l’idée de progrès.
A nous d’en tirer les enseignements pour que le génie humain ait meilleure presse. C’est vital, car sans la science, sans une adhésion citoyenne plus forte aux évolutions qu’elle permet, nous n’arriverons pas à mener à bien les grandes transformations, ni à affronter les grands défis, qui sont devant nous. Quelques exemples : sans les clean tech, nous ne pourrons pas réinventer nos moyens de produire de l’énergie ou de nous déplacer pour réduire notre empreinte environnementale. Sans la technologie, qui vient transformer comme jamais la mise en lien entre les personnes, ou encore les opérations logistiques, nous ne pourrons pas faire la promotion d’un commerce plus durable, reposant pour une grande part sur la seconde main. Sans la diffusion de la robotisation, à l’instar de ce qui se fait déjà au Japon, nous ne pourrons pas absorber ce choc que va être pour nos sociétés le vieillissement de la population. Fintech, edtech, foodtech… la liste des secteurs en ébullition est longue, et grandit chaque jour.
Notre avenir dépend de la science, et du progrès. Il était temps donc qu’un algorithme vienne nous redire cette vérité.
Par Fabien Versavau, PDG Rakuten France
« Déployez-vous » : Rakuten dévoile sa campagne marque employeur, imaginée avec les agences Cabalys et YES SIR
Au terme d’une réflexion et d’un projet lancé dès 2022 avec ses partenaires YES SIR et Cabalys, Rakuten France présente les contours de sa plateforme de marque employeur à travers une campagne dédiée. Un film inspirant à valeur de manifeste et 5 vidéos de collaborateurs soulignent la façon dont Rakuten France invite chaque personne à se déployer et à s’épanouir dans un environnement bienveillant. La campagne est visible sur LinkedIn, Twitter et Youtube.
UNE PROMESSE : "DÉPLOYEZ-VOUS"
La première étape consistait à comprendre et formaliser les caractéristiques de la marque employeur de Rakuten. Pour ce faire, 25 entretiens qualitatifs ont été menés en interne puis l’ensemble des collaborateurs a répondu à une enquête en ligne. Des workshops ont eu lieu durant le premier semestre 2022 pour préciser les orientations.
Fondée sur le vécu des collaborateurs au quotidien, la promesse « Déployez-vous » a été pensée pour être à l’image de l’entreprise et intègre les idées de développement, d’évolution et d’épanouissement. Cette promesse repose sur 5 piliers qui renvoient directement aux forces de Rakuten France :
- À vous le projet exaltant
- À vous le mouvement et les perspectives
- À vous le plaisir de se lever le matin
- À vous l’envergure et la taille humaine
- À vous le management qui fait grandir
L’équipe Ressources Humaines de Rakuten France a étroitement collaboré avec YES SIR et Cabalys pour penser une plateforme et une campagne illustrant les valeurs de l’entreprise et ses ambitions. Parmi lesquelles : attirer et recruter des talents et continuer d’améliorer l’expérience collaborateur.
En donnant plus de visibilité aux différents profils existants au sein de l’entreprise, la campagne permettra d'accroître l’attractivité de Rakuten France auprès de nouveaux talents aux profils et parcours très variés.
UNE CAMPAGNE INCARNÉE POUR MONTRER LES VISAGES DE RAKUTEN FRANCE
Afin de donner corps à cette nouvelle marque employeur, un film inspirant (ou film vision) a été dévoilé le 4 janvier sur LinkedIn, Twitter et YouTube, relayé ensuite par les collaborateurs. Ce film, qui met en scène avec humour un jeune collaborateur face aux désillusions d’une expérience catastrophique dans une nouvelle entreprise, illustre, par contraste, la promesse de Rakuten en tant qu’employeur. Une invitation à rejoindre une entreprise qui aidera chacun et chacune à révéler tout son potentiel.
De plus, cinq capsules vidéos ont été tournées et viennent illustrer les 5 piliers de la marque employeur de l’entreprise. Le parti-pris a été de donner la parole aux personnes qui composent aujourd’hui Rakuten France. Une quinzaine de collaborateurs se sont ainsi prêtés au jeu des interviews croisées pour partager en toute liberté leur ressenti, des témoignages authentiques qui donnent un aperçu de la richesse des projets et du management dans une entreprise agile. Ces films sont destinés aux futurs candidats afin qu’ils puissent se projeter et cerner la diversité des métiers chez Rakuten France.
La campagne est actuellement en cours de déploiement sur le site web de Rakuten France ainsi que sur les pages LinkedIn, Twitter et YouTube.
Pour visualiser le film vision et les vidéos capsules, rendez-vous sur YouTube.
Les sapins seront beaucoup plus verts cette année
Ce Noël sera particulier à plusieurs titres. D’abord parce qu’il a lieu dans un climat général marqué durement par l’inflation, sur fond de désordre mondial et de menaces de récession, et par des préoccupations croissantes pour notre pouvoir d’achat. En cette période de « fêtes », difficile de dire que les porte-monnaie des Français ont le sourire. Au contraire : tout devient plus cher, en particulier l’énergie, alors même que les premiers froids de l’hiver se font sentir.
Cette hausse des prix généralisée explique d’ailleurs en grande partie le phénomène d’anticipation des achats lors du dernier Black Friday. Le succès de cette édition (+6% des ventes en ligne par rapport à l’an dernier selon Foxintelligence) s’explique par le fait que les « pères » et « mères » Noël ont saisi une très belle occasion pour remplir leur hotte au meilleur prix. Sous les sapins, de nombreux cadeaux, et en particulier les jouets et les jeux pour les enfants – pas seulement le joli foulard pour la belle-mère ou la paire de gants bien chauds pour le grand-oncle – seront, et sans mauvaise conscience, car nécessité fait loi, des cadeaux discountés, achetés en ligne ou bien en magasin.
Non pas que les épines des conifères subissent une évolution de leur pigmentation due au réchauffement climatique… Non, plus verts, c’est-à-dire plus écologiques, car parmi les présents déposés à leurs pieds, un pourcentage jamais atteint sera constitué de cadeaux de seconde main. Nous le constatons sur notre plateforme de e-commerce : lors de ce Black Friday, les ventes de produits de seconde main ont représenté 56% des achats, une hausse de 20% en trois ans. Et depuis, les ventes des produits d’occasion et reconditionnés continuent d’augmenter, très nettement. C’est en ligne avec le baromètre de Noël que nous avons réalisé avec Ipsos : 1 Français sur 2 envisage d’offrir des cadeaux de seconde main. On atteint même 82% chez les 16-24 ans !
Tendance de fond. Ce choix de la seconde main se fait-il pour « baisser le prix » et pouvoir acheter le cadeau tant désiré, qui comblera de bonheur, mais qui, neuf, serait inabordable ? Oui, mais pas seulement. Ce choix de la seconde main, au moment de Noël, c’est aussi l’illustration très concrète d’une tendance de fond dans l’évolution des pratiques d’achat. Il y a une prise de conscience croissante des consommateurs pour les questions environnementales ; ce qui les amène – nous le voyons tout au long de l’année – à privilégier une consommation plus responsable, et à favoriser, de plus en plus, l’économie circulaire. Offrir à Noël un cadeau ayant déjà servi, ce qui était impensable il y a encore quelques années – c’était réservé à l’oncle « écolo » un peu spécial ou à la grand-mère trop près de ses sous – est devenu fréquent. Et j’ose espérer : de plus en plus fréquent, de plus en plus « tendance ».
Car c’est bien là que se trouve l’avenir de notre consommation, dans un juste équilibre entre les produits neufs, qui sont indispensables, notamment pour diffuser les évolutions technologiques, et les produits de seconde main, qui contribuent à faire baisser nos émissions de gaz à effet de serre et à diminuer la pression qui pèse sur nos ressources naturelles.
Dans ce climat pour le moins morose, ces fêtes de fin d’année constituent donc aussi un motif d’espoir. Cette réinvention de la manière d’offrir, ces sapins plus verts, dans une France sous contrainte d’inflation et de décarbonation, tout cela, ce sont de très beaux cadeaux. Pour nos porte-monnaie bien sûr. Mais pour l’environnement surtout.
Par Fabien Versavau, PDG Rakuten France
La revente des cadeaux de Noël s'impose : 1 Français sur 2 l'envisage
L’année dernière près d’1 Français sur 3 était déçu par au moins un de ses cadeaux. Cette année, la revente des cadeaux de Noël devrait connaître un nouvel essor : 1 Français sur 2 envisage de revendre un de ses cadeaux s’il ne lui convenait pas. Un résultat en hausse de 8 pts par rapport à 2021 ! Plus d'1 Français sur 3 se dirait compréhensif s’il apprenait qu’un cadeau qu’il a offert était revendu.
Les Français ont prévu de dépenser autant voire plus pour gâter leurs proches à l’occasion des fêtes cette année1. Malgré les efforts de chacun pour trouver les meilleures idées pour faire plaisir à ses proches, personne n’est à l’abri d’une mauvaise surprise qui se glisse sous le sapin. En 2021, un Français sur trois avait finalement été déçu par au moins un de ses cadeaux… Plutôt que de les reléguer au fond d’un placard, les Français sont plus que jamais prêts à leur offrir une seconde vie !
C’est ce que nous révèle le deuxième volet du Baromètre annuel conduit fin novembre par Ipsos pour Rakuten France, sur le phénomène de la revente des cadeaux.
LE PLAISIR DE RECEVOIR S’ACCORDE DÉSORMAIS AVEC LE PLAISIR DE REVENDRE
Le 25 décembre 2021 à 15h, Rakuten comptabilisait déjà 600 000 annonces de cadeaux à revendre ! Un chiffre en plein essor qui illustrait déjà à quel point la revente des cadeaux de Noël était devenue un réflexe de consommation pour les Français.
Alors que le plaisir de recevoir (et d’offrir) est important, encore faut-il que le cadeau réponde aux attentes de son destinataire ! Pas d’utilité, doublon ou conscience écologique : les raisons qui amènent les Français à revendre leurs cadeaux de Noël sont diverses et ont déjà amené un quart d’entre eux (27%) à sauter le pas par le passé. Une tendance en hausse car près d’1 Français sur 2 envisagerait dorénavant de passer par l’étape « revente » de son cadeau de Noël, soit 8 pts de plus par rapport à 2021. Les actifs et les adultes de 25 à 49 ans sont plus ouverts à cette idée.
LA REVENTE PREND SA PLACE DANS LES USAGES, MOTIVÉE PAR UNE PRISE DE CONSCIENCE DURABLE ET ÉCONOMIQUE
Il y a encore quelques années, la revente d’un cadeau de Noël allait de pair avec certains sentiments négatifs tels que la culpabilité ou la mauvaise conscience. Aujourd'hui, les mœurs ont changé ! Échanger ou vendre ses cadeaux de Noël sont des pratiques qui prennent de plus en plus d'ampleur et touchent toutes les catégories sociales de la population française.
Une grande partie des cadeaux sont revendus car ils ne seront pas utilisés par leurs nouveaux acquéreurs (39%), en hausse de 7 points par rapport à 2021. Mais la tendance est aussi poussée par une prise de conscience eco-citoyenne. Parmi les ayant déjà revendu un cadeau de Noël, 20% d'entre eux préfèrent les revendre pour participer à l’économie circulaire en donnant ainsi une seconde vie à leur objet.
Avec une inflation galopante et un pouvoir d’achat impacté pour 53% des Français sondés, le contexte économique se fait également ressentir et 16% des personnes interrogées revendent ainsi leurs cadeaux de Noël par nécessité budgétaire. Une raison davantage évoquée cette année, dans un contexte de pression inflationniste (+6 pts).
Que ce soit pour des raisons économiques ou environnementales, la revente des cadeaux de Noël devient un geste presque ordinaire car plus d’un Français sur trois (40%) se dirait compréhensif s’il apprenait qu’un cadeau qu’il a offert était revendu. Un résultat en augmentation de 5 pts par rapport à 2021.
LE BOOM DES SITES DE REVENTE ENTRE PARTICULIERS
Trois-quarts des revendeurs (77%) privilégient comme canaux les sites internet de revente (plateformes e-commerce notamment). Ceux-ci répondent aux attentes des consommateurs en cette période de fin d’année.
Pour 68% des revendeurs, le processus de vente doit également être facilité. Rakuten propose aux vendeurs particuliers une mise en vente très simple, grâce notamment au pré-remplissage des fiches produits pour des objets similaires. Et ce processus peut même prendre moins d’une minute grâce à une fonctionnalité de scan du code barre du produit si celui-ci est déjà répertorié par la plateforme !
58% des revendeurs souhaitent aussi avoir la garantie d’un paiement sécurisé, cela concerne davantage les personnes âgées (75%). Rakuten agit comme tiers de confiance et leur garantit des transactions financières sûres.
69% des revendeurs eux souhaitent profiter d’une revente rapide. Avec plus de 15 millions de visiteurs uniques sur la plateforme Rakuten par exemple, les revendeurs maximisent leur chance de trouver un acquéreur dans les plus brefs délais.
Les mœurs ont changé et la vente d’un cadeau de Noël apparait comme un geste commun et accepté largement, poussé par la situation économique dans laquelle les Français évoluent, et corrélé à l’éveil grandissant des consciences écologiques. Le boom de l’e-commerce facilite également la revente pour les revendeurs comme pour les acheteurs.
1 Volet 1 du Baromètre de Noël 2022 par Ipsos pour Rakuten.
Club R Pay : le premier service de paiement et de cashback intégré de Rakuten France !
Rakuten France lance Club R Pay, le premier service de paiement et de cashback intégré
Avec le lancement de Club R Pay, Rakuten France devient le premier acteur du e-commerce à proposer un moyen de paiement digital intégré, connecté à un système de cashback
Rakuten France annonce le lancement d’une solution inédite de paiement intégré – Club R Pay – et devient ainsi le premier acteur du e-commerce à offrir un tel dispositif de paiement dans l’univers des marketplaces. Solution universelle de paiement intégré, Club R Pay permet à 12 millions de Français, membres du programme de fidélité Club R, de faire des achats en toute simplicité sur plus de 2000 sites tout en étant récompensés sur Rakuten. Illustration concrète de la vision de Rakuten pour le commerce de demain, cette nouvelle initiative permet à Rakuten de fluidifier le parcours d’achat mais également d’accompagner ses partenaires dans leur digitalisation et leur développement.
Fabien Versavau, PDG de Rakuten France, et Flora Louvet, Responsable Communication Corporate, lors de la conférence de lancement de Club R Pay, le 13 décembre 2022.
Simplifier et sécuriser le parcours d’achat sur plus de 2000 sites
Alors que les Français font de plus en plus de dépenses en ligne, la fluidité et la sécurisation du parcours d’achat sont essentiels. D’après la FEVAD, les Français ont dépensé 129 milliards d’euros sur internet en 2021 et le e-commerce représente désormais 14,1%* du commerce de détail. Dans ce contexte, Rakuten lance Club R Pay, une nouvelle solution de paiement au sein de son écosystème de partenaires.
Comment ça marche?
- Un membre du Club R se rend sur un site partenaire de Rakuten, sélectionne son produit et passe au paiement.
- Il peut alors décider de payer via Club R Pay grâce à une nouvelle fonctionnalité directement intégrée dans le parcours d’achat.
- En choisissant cette option, une carte virtuelle est créée, son montant est défini par l’acheteur. Il n’a pas besoin de renseigner ses informations de carte bancaire qui sont déjà pré-enregistrées sur Rakuten.
- Il procède aux vérifications 3Dsecure pour un paiement toujours plus sécurisé.
- L’acheteur valide le paiement et profite de son achat en toute sérénité. Pour chaque achat, il récupère de l’argent automatiquement dans sa cagnotte Rakuten.
Avec Club R Pay, Rakuten offre donc à ses membres un parcours de paiement simplifié et fluide au sein d’un écosystème très large de plus de 2000 partenaires (Nike, Lego, Marionnaud, Hotels.com…).
Par ailleurs, grâce à des partenariats stratégiques avec Mastercard, acteur majeur du secteur bancaire, qui apporte son réseau bancaire et son expertise en matière de sécurisation des transactions, et Marqeta, plateforme internationale d'émission de cartes virtuelles qui fournira les cartes à usage unique, Club R Pay apporte une garantie de sécurité supplémentaire et réduit les risques liés au paiement.
« Notre travail avec Rakuten en France représente une évolution passionnante pour Marqeta en Europe », déclare Jeff Parker, SVP/ Managing Director, International chez Marqeta. « En tirant parti de la puissance de l'émission de cartes virtuelles, nous pouvons aider Rakuten, l'une des plateformes de e-commerce les plus innovantes au monde, à fidéliser et à engager les utilisateurs de sa place de marché. Nous voyons une grande adéquation entre nos deux organisations et nous sommes impatients de développer ce partenariat à l'avenir. »
Soutenir le pouvoir d’achat des Français
Le pouvoir d’achat reste l’une des préoccupations principales des Français en cette fin d’année. Lancé il y a 4 ans, le programme de fidélité de Rakuten, Club R, est aujourd’hui le plus généreux de l’e-commerce en France. Il permet à ses 12 millions de membres de récupérer entre 5% et 35% de leurs achats réalisés sur la marketplace ou auprès de l’un des 2000 partenaires de Rakuten France. Club R Pay permet de simplifier le parcours des membres du Club R, qui récupèrent automatiquement des Rakuten Points leurs de leurs achats auprès des marques partenaires, et bénéficieront, à l’occasion du lancement de Club R Pay, d’une offre de 5 % de remises supplémentaires sur leurs achats.
Proposer aux marques un levier d’acquisition de trafic à moindre coût
Réduction des abandons de paniers, acquisition de trafic à prix compétitif… avec Club R, Rakuten donne aux marques partenaires les moyens d’augmenter leurs revenus digitaux, et ce sur leur propre site. Véritable partenaire d’acquisition marketing, Club R permet aux marques de s’adresser à ses 12 millions d’acheteurs fidèles et engagés, en France. Un levier majeur pour générer de la croissance.
Club R Pay a également été pensé pour permettre aux partenaires d’optimiser leurs dépenses marketing : grâce à un modèle de tarification à la performance, les partenaires paient uniquement quand l’utilisateur procède à un achat.
Enfin, cette solution de paiement, « plug and play », ne nécessite pas de développement complexe du côté des partenaires. Universelle est ubiquitaire, elle s’intègre facilement dans les parcours d’achat.
Cette solution, imaginée par le leader du e-commerce, s’intègre dans une stratégie centrée sur le parcours d’achat pour créer de la valeur pour les acheteurs comme pour les marques. Attentif aux mutations qui s’opèrent au sein de notre société, notamment portées par la forte digitalisation des parcours d’achat et de vente, Rakuten France affirme une fois encore sa mission : mettre son savoir-faire en matière d’innovation au service de millions d’acheteurs et de ses précieux partenaires commerçants.
*Source : FEVAD
Redorons le Black Friday
Encore plus que les années précédentes, le Black Friday aura été, en France, pointé du doigt. Pour ses détracteurs, toujours nombreux en France, cette journée d’achat avec des remises exceptionnelles – qui, pour ne rien arranger, nous vient des Etats-Unis… – serait l’expression la plus aboutie de ce dont l’on ne veut plus : un moment insensé de frénésie consumériste, à rebours des aspirations de notre époque pour une consommation plus raisonnée et plus respectueuse de l’environnement. Au fil des éditions, on a repeint ce vendredi en noir, un noir très sombre. A tel point que les commerçants, les enseignes, les plateformes de e-commerce ont fini par totalement intégrer la critique, en limitant volontairement leur communication, comme si cette journée était devenue une journée de consommation honteuse. C’est une erreur. Ce Black Friday, il faut en redorer l’image.
D’abord parce qu’il permet – et une nouvelle fois, les consommateurs ne s’y sont pas trompés – de lutter contre l’inflation et de redonner du pouvoir d’achat. Il est d’ailleurs déroutant, alors même que les Français, avec la hausse des prix de l’énergie, s’inquiètent pour leur porte-monnaie, de ne pas voir l’opportunité que constitue cette journée. C’est vrai notamment pour les pouvoirs publics, car le Black Friday redonne du pouvoir d’achat sans que cela coûte un centime à l’État, sans prime, sans aide et sans bouclier… quelle aubaine ! Le consommateur – contribuable aussi, lui qui sait parfaitement que c’est lui qui finance ce que verse le gouvernement, et qui intègre cela dans son raisonnement de consommateur –, peut en profiter sans arrière-pensée. Tous ces produits neufs discountés, ce sont des remises immédiates, supportées par l’ensemble des commerçants, les petits comme les grands. Il devrait donc en être remerciés, et non pas blâmés.
Ce Black Friday est par ailleurs beaucoup plus « green », beaucoup plus responsable et durable qu’on ne le croit. Ce que les chiffres montrent, c’est que les consommateurs ont su faire de cette journée un grand rendez-vous – peut être le plus grand – de promotion de l’économie circulaire. Car – on ne le dit pas assez – lors du Black Friday, il se vend de nombreux produits de seconde main. Et de plus en plus ! Un seul exemple : sur notre plateforme de e-commerce, qui est une photo souvent fidèle des comportements d’achats, plus de la moitié (56% précisément) des produits vendus le vendredi 25 novembre, étaient des produits de seconde main. C’est une hausse de 20% en trois ans. Ces chiffres sont d’ailleurs très logiques au regard des intentions d’achats pour les cadeaux de Noël, dont une grande partie se font durant le Black Friday. Selon un sondage récent réalisé par l’Ipsos, un Français sur deux envisage de mettre sous le sapin des cadeaux de seconde main. C’est plus que l’an dernier, et c’est une excellente nouvelle.
Le Black Friday est utile enfin, car en baissant les prix, il permet aussi un renouvellement du parc des produits, en particulier des biens d’équipement. Très concrètement, c’est l’occasion pour des familles, en premier lieu celles qui doivent faire attention à leur budget, de renouveler leur lave-linge arrivé en bout de course, ou leur téléviseur qui ne marche plus, et de faire le choix de produits plus modernes, répondant à des normes environnementales nouvelles et plus strictes ; donc des produits plus sobres pour la planète. Là encore, le « black » est « green ». À celles et ceux qui croient que la solution viendra de la décroissance, il est utile de rappeler que la consommation est aussi un vecteur de transformations. Et il y a dans le Black Friday un mécanisme indéniable d’accélération de la diffusion de l’innovation, de démocratisation du progrès technologique. Qui pourrait raisonnablement s’en plaindre ?
Notre modernité est souvent manichéenne et, cela va de pair, victime de phénomènes d’emballement médiatique. Nous voyons constamment, et massivement, les choses en blanc ou en noir. Pourtant, si l’on fait l’effort de la nuance, on constate que ce Black Friday est une nouvelle démonstration qu’il ne faut pas opposer temps forts commerciaux et consommation utile. Utile pour les consommateurs, et utile pour la planète.
Par Fabien Versavau, PDG Rakuten France
Un Noël toujours généreux et tourné vers la seconde main
Le compte à rebours des fêtes a sonné : Rakuten dévoile le premier volet de son baromètre de Noël, en collaboration avec Ipsos !
Malgré un contexte inflationniste, 58% des Français comptent dépenser autant voire davantage pour leurs cadeaux de Noël cette année. La consommation responsable s’impose en France. Près d'1 Français sur 2 serait content de recevoir un cadeau de seconde main à Noël. Ce qui concorde avec les intentions d’achat puisqu’1 Français sur 2 envisage d’offrir des cadeaux de seconde main à cette occasion.
Contexte économique singulier, sortie de crise… Mais qu’en est-il réellement de la consommation française en ce Noël 2022 ? C’est ce que Rakuten dévoile au travers d’une étude menée par IPSOS auprès de 1 073 Français âgés de 16 ans et plus. Elle révèle qu’en dépit d’un pouvoir d’achat en berne, les Français ont toujours le cœur à la fête ! Les dépenses sont toujours de mise, mais avec une approche responsable et durable qui s’accentue. Les cadeaux issus du marché de la seconde main semblent gagner du terrain, notamment chez les jeunes. Une tendance qui se traduit par une réelle évolution des comportements d’achat s’expliquant par une prise de conscience commune face aux enjeux financiers et environnementaux.
Chiffres saillants, révélations surprenantes, Rakuten décrypte les principaux enseignements de l’étude.
MALGRÉ UNE BAISSE DU POUVOIR D’ACHAT, LES FRANCAIS ACHETENT DAVANTAGE
Plus de la moitié des Français prévoit de dépenser autant voire davantage pour ses cadeaux de Noël (58%), malgré l’inflation et la baisse du pouvoir d’achat. Notamment chez les 18 – 34 ans où 1 jeune sur 5 envisage de dépenser plus que l'année dernière pour Noël.
Le mot d’ordre : prévoyance ! A deux mois des fêtes de fin d’année, la moitié des Français prévoit de faire des achats de Noël des semaines à l’avance.
De plus, 38% des Français sont de réels chasseurs de bonnes affaires et privilégient les promotions pour leurs achats de cadeaux cette année. On note par ailleurs que les dépenses de cadeaux neufs s’orientent également vers des produits locaux ou « made in France » (34%). La population 65 ans et + se distingue pour ce type d’achat (50%).
LA SECONDE MAIN S'IMPOSE DURABLEMENT, SURTOUT CHEZ LES JEUNES
La moitié des personnes sondées envisage d’acheter des articles de seconde main pour Noël (51%) vs. 47% en 2021 et à peine 18%* en 2020. Les intentions d’achat de cadeaux de seconde main sont en hausse par rapport à l'année dernière : +4 points pour l'occasion, +7 points pour le reconditionné.
Les 16-24 ans sont encore plus investis sur le sujet, avec 8 jeunes sur 10 ayant l'intention d'acheter des cadeaux de seconde main pour Noël, contre 6 sur 10 en 2021. Ces achats d’occasion concernent principalement les jouets à 52%, suivis par les produits culturels (livres, CD…) à 50%, et les vêtements à 42%. Cette année, les jouets passent en tête, détrônant les produits culturels. On note d’autre part que les jeux vidéo d’occasion intéressent près d’un jeune (16-24 ans) sur deux!
Les trois quarts des sondés expliquent que ce choix d’axer leurs achats de Noël sur des produits de seconde main est avant tout financier, pour le prix à 79% (faire des économies et bonnes affaires, acheter un cadeau qui n’aurait pas pu être acheté neuf), et environnemental ensuite à 69% (notamment auprès des CSP+). L’économie circulaire prend donc place dans les habitudes des Français.
PRES D'1 FRANÇAIS SUR 2 SERAIT CONTENT DE RECEVOIR DE LA SECONDE MAIN
Des freins persistent tout de même à l’achat de seconde main. Parmi les principales craintes formulées par les répondants : la peur d’offrir des produits de seconde vie qui, dans l’imaginaire de certains, peuvent être défectueux ou de moins bonne qualité. L’absence de garantie ou de SAV serait un frein pour plus d’un tiers des non-acheteurs d’articles de seconde main. Or, sur une plateforme telle que Rakuten, un Service Client est bien disponible pour accompagner les acheteurs pour tous types de produits, neufs comme de seconde main.
Une différence de perception persiste : 33% des Français qui n’envisagent pas d’acheter des cadeaux de Noël de seconde main déclarent avoir peur de décevoir alors que 45% des interrogés seraient heureux de recevoir un cadeau de seconde main car cela ne fait aucune différence avec un cadeau neuf selon eux. Cela concerne plus particulièrement les personnes ayant un profil d’éco-responsable (54%).
En tant que plateforme d’e-commerce engagée en faveur de l’économie circulaire, Rakuten propose à ses membres la garantie Reconditionné CeRtifié, qui assure aux acheteurs la garantie du neuf au prix du reconditionné. Une solution pour répondre aux hésitations des consommateurs, encore frileux de passer le cap.
Trois grandes tendances se dessinent dans cette étude : générosité, recherche de bons plans et seconde main donnent le la de la consommation des Français en cette fin d’année 2022. Ces derniers, prévoyants, sont d’ailleurs déjà mobilisés sur leurs achats de cadeaux.
« Les chiffres de ce baromètre apportent leur lot de surprises. Malgré le retour de l’inflation, les Français restent investis durant la période de Noël et comptent bien faire plaisir à leurs proches. Depuis 3 ans, nous constatons une évolution vers une consommation durable et circulaire, et cette tendance apparaît nettement dans cette étude sur les intentions d’achat en France. », commente Fabien Versavau, PDG de Rakuten France. Il ajoute : « Ce baromètre nous amène aussi à nous questionner sur l’après : les Français seront-ils sereins après la période de Noël si la tendance inflationniste persiste ? »
*Etude Rakuten/OpinionWay2020
Rakuten, un modèle d'e-commerce à impact positif sur l'économie française
Rakuten France génère près de 5 000 emplois et conforte son modèle d’e-commerce à impact positif
Depuis la création de la première place de marché virtuelle au monde en 1997 et son développement en France il y 12 ans, Rakuten ne cesse de se développer. Dans un contexte où le pouvoir d’achat des Français est au cœur des préoccupations, Rakuten France renforce sa place d’acteur incontournable et incarne aujourd’hui un modèle de e-commerce inclusif et vertueux qui profite à tous, aussi bien vendeurs que consommateurs. Rakuten France et le cabinet indépendant Astérès dévoilent aujourd’hui les conclusions d’une étude faisant état de la contribution de Rakuten France à l’économie française et à la création de milliers d’emplois.
Une contribution conséquente à l’économie française
Depuis 12 ans, l’empreinte économique de Rakuten en France ne cesse de se renforcer. En tant que troisième plus grand marché après le Japon et les États-Unis, la France est l’un des pays prioritaires pour Rakuten. Portée par les collaborateurs et l’ensemble des vendeurs, professionnels comme particuliers - dont les trois quarts sont localisés en France - la place de marché Rakuten intervient comme « tiers de confiance » et véritable partenaire pour les e-commerçants. Ce rôle central est mis en lumière par l’analyse du cabinet Astérès puisque l’empreinte totale de la marketplace représente en 2021 :
- 10 000 vendeurs professionnels et marques partenaires*
- 5 000 emplois directs et indirects générés dont 3 400 sont générés par l’ensemble des ventes sur Rakuten France
- 411 millions d’euros de valeur ajoutée au total qui correspond à la richesse économique créée sur le territoire et équivalente au PIB d’une ville d'environ 12 000 habitants.
La marketplace poursuit sa stratégie fondée sur 3 piliers : soutenir le pouvoir d’achat des Français, accompagner les commerçants dans leur digitalisation et leur développement, et contribuer activement à l’économie circulaire.
Des gains de pouvoir d’achat significatifs pour les Français grâce aux effets d'entraînement
Rakuten soutient le pouvoir d'achat des Français avec le Club R : le programme de fidélité le plus généreux de l’e-commerce français* qui permet à ses membres de récupérer de l’argent sur chacune de leur transaction réalisée sur la marketplace, qu’il s’agisse d’un achat ou d’une vente, mais aussi sur chaque achat réalisé auprès de l’un des 2000 partenaires de Rakuten France.
Le programme compte à ce jour près de 12 millions de membres et permet à chacun de récupérer plus de 400 euros de pouvoir d'achat en moyenne chaque année, et jusqu’à 1000 euros pour les membres les plus actifs*.
De plus, le revenu global des vendeurs particuliers a augmenté de 103 millions d’euros sur un an. Cette dynamique vertueuse s’inscrit dans une tendance forte de consommation plus raisonnée (via la seconde main notamment) et a toutes les raisons de croître, considérant que l’activité de revente sur la plateforme est ouverte à tous et permet des gains de pouvoir d’achat bienvenus. Ces gains sont notamment expliqués par les effets d’entraînement : en redonnant du pouvoir d’achat et en permettant la hausse de revenus des Français, la plateforme parvient donc à stimuler la consommation et à générer de nouveaux emplois sur le territoire.
Un modèle inclusif au service des vendeurs et commerçants
Rakuten facilite l'accès des commerçants au e-commerce et les accompagne dans leur digitalisation en apportant à chacun des solutions et technologies innovantes afin de développer leur activité et leurs ventes. Ne commercialisant pas de produits en propre, Rakuten n’entre pas en concurrence avec les vendeurs présents sur la marketplace mais se place plutôt à leur service, dans une logique responsable et durable.
Dans cette perspective, Rakuten a lancé en 2021 le Pack starter, une offre gratuite et sans engagement accessible aux TPE et PME leur permettant d’ouvrir leur boutique en ligne et de bénéficier d’un accompagnement personnalisé. Plus de 1 800 TPE et PME en ont bénéficié et les souscriptions ont bondi de 31% sur un an, témoignant d’un besoin réel d’accompagnement. A ce jour, près de 50% des produits commercialisés dans le cadre de cette offre sont le fruit d’une production locale et artisanale.
Début 2022, la marketplace a également étoffé son offre en lançant Rakuten Fulfillment Network, une solution unique de e-logistique qui offre aux PME et aux marques un accès direct à un réseau d’experts de la logistique, couvrant la prise en charge, le stockage, l’emballage et l’expédition des commandes, avec des tarifs justes et transparents.
Une dynamique qui renforce l’action de tous pour une économie circulaire
Plateforme pionnière de l’économie circulaire en France avec un catalogue de plus de 50 millions de produits de seconde main, Rakuten accompagne ses membres vers des modes de consommation vertueux, largement plébiscités par les Français. Pour la majorité des produits recherchés sur la plateforme, des références de seconde main sont proposées aux acheteurs.
La marketplace encourage la consommation vertueuse à travers plusieurs dispositifs, dont le Badge Vision’R, lancé en 2021, qui récompense l’achat de seconde main par un gain de pouvoir d’achat supplémentaire ou encore Reconditionné CeRtifié, la garantie du neuf au prix de l’occasion.
Grâce à l’ensemble de ces initiatives, 1 produit sur 2 vendus aujourd’hui sur la plateforme est de seconde main ou reconditionné. De plus, 75 % des articles achetés avec des Rakuten Points sont d’occasion.
“C’est une fierté pour les équipes de Rakuten France de voir que nos engagements et nos valeurs ont permis de déployer un modèle si vertueux année après année. Rakuten France est devenu le partenaire de la digitalisation des commerçants français et du pouvoir d’achat des consommateurs, en accompagnant tout du long l'évolution sociétale vers un modèle de consommation plus responsable. Nous ambitionnons de poursuivre naturellement dans cette lignée et ainsi continuer de contribuer au développement économique de la France.” déclare Fabien Versavau, Président et Directeur Général de Rakuten France.
*Source : Rakuten France
L’automobile, inspiration pour nos sociétés
Les passionnés attendaient. Après quatre années d’absence, le Mondial de l’Automobile est de retour. Et de nombreux visiteurs se sont à nouveau rendus porte de Versailles arpenter ses allées, pour y découvrir les nouveautés présentées par les constructeurs et les équipementiers.
Nous devrions en réalité aller en masse à ce Mondial, car il se passe aujourd’hui quelque chose de très marquant dans le secteur automobile, d’une portée qui le dépasse largement. Ce secteur d’activité traverse en effet des mutations profondes, un véritable « big bang » pour reprendre le terme employé dans une étude récente de Cap Gemini. Et il y a là matière à tous nous inspirer, dans tous les secteurs de l’économie. Voire au-delà.
C’est peu dire que l’automobile traverse une crise. Le COVID a laissé des traces, avec une désorganisation profonde des chaines logistiques et une pénurie généralisée sur les semi-conducteurs, obligeant l’ensemble des constructeurs à réduire leur production et à allonger démesurément les délais de livraison. Partout en Europe, les ventes sont en baisse continue. Après la terrible année 2020, où les immatriculations de véhicules neufs en France avaient chuté de 25%, la tendance peine à s’inverser. Au premier semestre 2022, le marché européen reculait encore de 14% par rapport à 2021, avec peu de perspectives d’amélioration rapide, dans un contexte macroéconomique adverse.
Cette crise de l’automobile – pour certains, la plus lourde depuis 1960 – n’est cependant pas que conjoncturelle. Elle est même d’abord structurelle, car liée au réchauffement climatique, et à l’image du secteur, étroitement associé aux énergies fossiles. Soumises à des pressions réglementaires et sociales sans précédent, la planète automobile ne tourne plus comme avant. Le secteur dans son ensemble est sommé de négocier un virage radical. Et vite ! L’Europe a fixé l’échéance : en 2035, plus aucun véhicule à moteur thermique ne sera vendu dans les pays de l’Union.
Dix ans, pour une industrie comme l’automobile, c’est demain ; et le grand public est parfois plus impatient encore. Il faut par conséquent être prêt dès aujourd’hui, en répondant à une myriade de questions liées aux nouvelles énergies – de l’approvisionnement en composants électroniques au recyclage des batteries.
Et donc, porte de Versailles, qu’ont vu les visiteurs ? De grandes innovations, sur tous les stands ! Ce qui semblait singulier, de l’ordre du « concept car », il y a encore quelques années est en passe de devenir la norme. Des dizaines de modèles d’une génération nouvelle sont exposés, sur tous les segments de marché – citadines, berlines, SUV… –, chez tous les constructeurs, des plus généralistes aux plus prestigieux. Il est question de moteurs électriques et de moteurs à hydrogène. On parle aussi de véhicules autonomes, de cloud et d’intelligence artificielle.
En un temps record, le secteur s’est totalement réinventé. Ce qui peut nous amener à faire deux constats.
Le premier, c’est qu’il faut avoir confiance dans le génie humain. Le désenchantement ambiant fait que nous avons trop souvent perdu foi en notre capacité d’inventer, et foi en la science. Il est d’ailleurs symptomatique que les premiers mots du tout récent Prix Nobel français Alain Aspect aient justement été destinés à déplorer le trop faible niveau de culture scientifique des élites, et à exhorter la jeunesse à s’intéresser de nouveau à la science ; car c’est grâce à elle que nous pourrons apporter des solutions durables aux problèmes les plus pressants. Sans la science, comment réduire notre empreinte carbone, nous adapter aux transformations inévitables de notre milieu ambiant ? Comment aussi, dans un autre domaine, accompagner le vieillissement des populations ?
Le second constat, c’est que la contrainte peut être un formidable accélérateur de transformations. Notre époque en est riche : contraintes liées à l’énergie, à nos approvisionnements en matières premières, à la nécessaire préservation des ressources naturelles... Face aux obstacles, on peut décider de s’arrêter, voire de reculer : c’est l’idée de la décroissance. On peut aussi faire un autre choix : dépasser l’obstacle. D’autres secteurs que l’automobile s’y emploient : l’énergie par exemple, qui se réinvente pour bâtir un nouveau modèle plus durable. Et de nombreux autres misent sur l’économie circulaire, à laquelle le numérique, nous le voyons tous les jours chez Rakuten, donne une force sans précédent.
« Ne gâchons pas une bonne crise », disait Churchill. Force est de constater que l’automobile a su trouver, avec de nouveaux produits et de nouveaux usages, comment concilier les contraintes nouvelles de notre époque avec cette aspiration fondamentale à la liberté, dont elle reste un symbole.
On parlait il y a peu de « la société de l’automobile » comme l’aboutissement d’une société de surconsommation, comme d’un modèle dépassé. Par un retournement dont l’histoire a le secret, il semble que l’automobile a aujourd’hui beaucoup à enseigner à nos sociétés.
La précision de la modélisation de l’essayage, son caractère immersif, sa facilité, vont permettre des décisions d’achat plus sûres pour le consommateur. Cela se traduira certainement par un nombre de retours de produits en baisse, et donc aussi par une baisse de l’empreinte carbone. En permettant une consommation plus raisonnée, mieux informée, le métavers facilitera aussi la commercialisation de produits d’occasion ou reconditionnés. Et cela aussi, c’est bon pour notre planète.
Alors pas de craintes ou de fantasmes. Entrons avec enthousiasme dans le métaverse !
Par Fabien Versavau, PDG de Rakuten France
Par Fabien Versavau, PDG Rakuten France
RakuTrends #6 : À vos manettes !
Acteur majeur du commerce en ligne et pionnier de l’économie circulaire, Rakuten bénéficie d’un point de vue unique sur les évolutions à l’œuvre dans l’e-commerce, à la croisée de tendances sociétales et économiques de fond. Avec les RakuTrends, nous vous proposons un décryptage régulier des grandes tendances de consommation, sur le neuf comme sur la seconde main.
Au mois de novembre, le secteur du gaming sera sous le feu des projecteurs, avec le grand retour de la Paris Games Week, rendez-vous incontournable qui réunira les éditeurs les plus influents au monde. Un moment clé pour revenir sur une tendance qui ne cesse d’évoluer, et qui ne concerne plus uniquement une cible geek & GenZ, mais dicte la tendance dans l’ensemble des secteurs et auprès de tous les publics.
Dynamisés par les confinements successifs et par l’explosion du segment mobile, les jeux vidéo poursuivent leur essor fulgurant, en profitant également de nouvelles opportunités de croissance offertes par les plateformes de streaming, plébiscitées par les consommateurs friands de sensations fortes depuis leurs canapés.
CONSOLES & JEUX
LA CLÉ DE LA SUCCESS STORY DU SECTEUR
En 2022, la France marque un nouveau record pour le marché du jeu vidéo. Après une année 2020 hors du commun, le secteur poursuit sa croissance, grâce notamment au succès des produits consoles, jeux vidéo & accessoires. Une dynamique marché qui se confirme également au sein des plateformes e-commerce, et qui a permis d’observer chez Rakuten une évolution de 67% sur le volume des ventes dans la catégorie gaming depuis 2019.
JEUX VIDÉO
LES CLASSIQUES RESTENT LEADERS
Mais qu’en est-il des coups de cœur des gamers français ? La quête d’aventure et jeux de rôle semblent être LES catégories les plus en vogue, suivies de près par les jeux de course, d’action et pour finir de sport.
QUI SONT-LES JOUEURS ?
Contrairement aux idées reçues, le gaming ne concerne pas que la génération Z. Sur la plateforme Rakuten, les achats gaming sont principalement réalisés par les 30-45 ans, suivis des 18-29 ans !
ÉCONOMIE CIRCULAIRE
CAP SUR LA SECONDE MAIN !
Les achats d’occasion dans le secteur gaming ont une place de choix sur Rakuten !
Tandis que depuis 2019, les ventes de produits de seconde main enregistrent une croissance de +16,2%, toutes catégories confondues, celle de la catégorie gaming de seconde main connaît une forte accélération, en enregistrant une évolution de +71% portée par la vente de consoles et jeux vidéo.
Entre le célèbre plombier moustachu et l’adorable Pikachu, les joueurs semblent très attachés aux icônes des jeux les plus anciens : le retrogaming revient en force ces dernières années. Cette tendance, qui consiste à réutiliser les plus belles consoles de l’époque ou les meilleurs jeux montre l’intérêt pour le retour d’objets gaming vintage.
Les jeux sortis récemment sont aussi très recherchés par les joueurs, en seconde main :
Des chiffres qui confirment une nouvelle fois le succès grandissant de la seconde main auprès des Français. En tant que plateforme pionnière de l’économie circulaire, Rakuten encourage ce type d’achats en les récompensant grâce au Badge Vision’R. Pour 2 achats de produits de seconde main achetés en un mois sur Rakuten pour un montant total de 100 euros minimum, les membres du Club R reçoivent 10 % supplémentaires en Rakuten Points par rapport à leur rétribution habituelle, à valoir dès le mois suivant sur leurs achats de seconde main réalisés sur la plateforme.
Vision’R encourage les membres du Club R à continuer d’adopter des comportements d’achat vertueux pour un commerce plus responsable.
Des joueurs soucieux de préserver à la fois la planète et leur portefeuille !
Rakuten Ads, la nouvelle solution retail media qui allie visibilité, performance et ventes
Rakuten réinvente sa solution retail media Rakuten Ads destinée aux marques et distributeurs, qu’ils soient ou non vendeurs sur la marketplace.
Cette plateforme permet aux vendeurs professionnels de tirer parti des forces du modèle Rakuten, en alliant la visibilité à une logique d’acquisition client auprès des 12 millions de membres fidèles du programme Club R.
Dans le prolongement de sa mission d’accompagner la digitalisation des commerçants, la solution Rakuten Ads combine solution technologique et conseil humain permettant de rapprocher la publicité de l'acte d'achat. Côté vendeur, l’interface digitale de Rakuten Ads est réinventée à travers un outil de retail media simple et performant. Côté utilisateur, ce dispositif leur apporte des parcours plus pertinents et personnalisés.
Un pas de plus vers le retail media
Avec l’accélération du digital et de l’analyse de données, le champ des possibles s’est considérablement étendu pour les marques, qui cherchent désormais de nouvelles façons de faire de la publicité auprès d’audiences toujours plus qualifiées. Avec des revenus en hausse de 42%* en 2021 par rapport à 2020, le secteur du retail media constitue un levier de croissance majeur, grâce non seulement au trafic généré par les plateformes mais aussi à la personnalisation précise qu’ils permettent.
Pour offrir aux commerçants de nouvelles opportunités de mettre en lumière un produit vendu sur la plateforme auprès de ses 15 millions de visiteurs uniques par mois, Rakuten réinvente Rakuten Ads avec pour ambition de proposer une solution simple et intuitive à tous les vendeurs, quelle que soit leur taille.
Rakuten Ads permet de bénéficier d’un accompagnement axé sur la performance : les vendeurs ont un accès privilégié aux 12 millions de membres fidèles du Club R, pour accélérer l’acquisition client. Ils peuvent s’appuyer sur la force du programme de fidélité le plus généreux de France, en proposant par exemple des remises en points supplémentaires et capitaliser sur des opérations commerciales intégrées pour booster leurs ventes.
En lançant la nouvelle interface de Rakuten Ads, la plateforme de shopping facilite le lancement de campagnes et la mesure de leur performance, pour connecter plus facilement les vendeurs aux acheteurs. Elle permet le déploiement de stratégies publicitaires encore plus précises et efficaces qu’auparavant pour offrir à chaque e-commerçant et chaque marque la possibilité de maximiser ses ventes et sa visibilité en toute simplicité sur Rakuten.
Dans l’optique de rapprocher la publicité de l’acte d’achat, Rakuten Ads répond concrètement à 3 enjeux :
- Augmenter la visibilité : en maximisant la mise en avant des annonces en 1e position grâce à un algorithme qui propose les produits aux moments les plus propices du parcours client.
- Démultiplier les ventes : en valorisant des produits sur les emplacements à forte visibilité, le vendeur peut faire découvrir aux acheteurs son e-shop dédié et faire croître ses ventes.
- Analyser les performances (ROI) : avec l'aide des E-Commerce Consultants, conseillers Rakuten dédiés à l’accompagnement des vendeurs, ces derniers peuvent analyser les résultats de leurs campagnes et maîtriser leurs coûts.
Donner aux vendeurs les moyens de leurs ambitions
Accessible directement depuis l’espace professionnel de chaque vendeur, la nouvelle solution SaaS donne notamment la possibilité de déployer plusieurs campagnes simultanément et de gérer toutes les publicités internes et externes à la plateforme Rakuten. Développée dans le but de répondre concrètement aux besoins des utilisateurs, elle permet un paramétrage manuel des produits à mettre en avant depuis leur catalogue sur chaque campagne pour accroître leur visibilité. Grâce à la puissance et à la précision de la data de Rakuten, le ciblage des publics est de plus en plus fin et permet une réelle personnalisation du message en fonction des profils, résultant ainsi en une expérience d’achat qui correspond aux attentes des acheteurs.
Rakuten Ads offre surtout une transparence sur les coûts et son utilisation, avec la possibilité de configurer un coût par clic optimisé pour ses campagnes et notamment de définir un budget quotidien, mais aussi une capacité accrue de pilotage des résultats obtenus, notamment – et c’est nouveau - en termes d’impressions, de clics, de conversions et du chiffre d’affaires généré. Cela est possible grâce à l’intégration d’un nouvel outil de suivi des campagnes à travers un Dashboard. Côté ergonomie, Rakuten Ads simplifie au maximum son utilisation.
Cette refonte, comprend également l’optimisation des formats existants :
- Résultats de recherche pour les produits sponsorisés
- Carrousels pour les fiches produit
D’autres formats seront disponibles prochainement.
« Avec Rakuten Ads, Rakuten s’inscrit dans sa mission historique d’accompagner tous les commerçants dans leur digitalisation, quelle que soit leur taille ou leur secteur d’activité. En leur proposant une plateforme d’une grande simplicité d’usage, nous leur permettons de prendre en main leurs campagnes pour qu’elles répondent parfaitement à leurs attentes. La performance de l’investissement publicitaire est un puissant levier commercial pour tous les vendeurs professionnels, avec un impact direct sur leurs ventes. En optimisant ce service, nous leur donnons une raison supplémentaire de faire confiance à Rakuten pour développer leur activité marchande », déclare Matthieu Denime, directeur commercial de Rakuten France.
* Observatoire de l'e-publicité 2021 par le SRI et l'UDECAM
Le métaverse ou les vertus bien réelles du virtuel
La perception du métaverse oscille entre engouement, crainte et scepticisme. Loin des fantasmes, cette innovation de rupture offre avant tout un immense potentiel en termes d'expérience client.
Le métaverse est, depuis quelques mois, sur toutes les lèvres. Comme toutes les innovations technologiques de "rupture", il suscite son lot de réactions extrêmes, de peurs et de fantasmes... Certains, nourris par l’imaginaire de la science-fiction, prophétisent une fusion entre les mondes physique, biologique et numérique, et l’abandon de nos existences dans le monde réel au profit d’une projection addictive dans le virtuel. À l’autre extrême, d’autres affichent le plus grand scepticisme, s’appuyant sur les premiers essais de métaverse, difficilement à la hauteur des anticipations du public – Mark Zuckerberg en a fait les frais récemment, suite au lancement de son monde virtuel, jugé décevant.
La réalité se situe, comme toujours, entre ces deux extrêmes. Non, nous n’allons pas aller vivre une vie nouvelle dans le métaverse ; et oui, le métaverse a un immense potentiel. Il sera bientôt, un outil virtuel offrant d’abord et avant tout d’immenses bénéfices dans le monde réel, et sera en particulier d'une commodité extrême pour le commerce, au profit à la fois des consommateurs et des enseignes.
Il y a 40 ans précisément, Morris Holbrook et Elisabeth Hirschmann, professeurs de l’Université de Columbia et de la New York University, conceptualisaient le Marketing Expérientiel. Ils introduisaient notamment le rôle des émotions et du vécu (« the experience ») dans les mécanismes d’achat. Quatre décennies plus tard, il est tentant de voir dans les nouveaux outils apportés par le métaverse la concrétisation la plus aboutie de cette "consumer experience".
En effet, aujourd’hui, quiconque achète en ligne peut évaluer produits et services grâce aux informations données par le site web le commercialisant et celui du fabricant (c’est ce qu’on appelle le web 1.0), ainsi que par les commentaires vérifiés des clients ou de différents influenceurs (c’est le web 2.0). Le métavers va permettre d’évoluer dans un monde de sens où chacun pourra évaluer par lui-même, au plus près des conditions réelles d’utilisation, un produit ou un service.
On pourra essayer une chaussure virtuelle sur son avatar modélisé avec une précision inédite, essayer un nouveau modèle de véhicule, ou bien faire une visite immersive d’un hôtel pour ses vacances et avoir une image exacte de la surface des chambres, de leur disposition… Tout cela sans sortir de chez soi.
Dans le métaverse, le toucher, le goût ou l’odorat ne seront pas (encore) sollicités, mais il constituera des avancées par rapport à la consommation traditionnelle : la voiture de démonstration ne sera pas immobile comme chez le concessionnaire, elle pourra bouger, accélérer, changer de couleur. On pourra se faire une idée de son espace intérieur ou de sa tenue de route sur une simulation presque plus vraie que nature. Certes, cette expérience virtuelle ne vaudra jamais celle de l’essai « en vrai », mais elle permettra de le préparer, de se faire une première idée, ou de dégrossir un choix où trop d’options se présentent.
Vers une expérience d'achat à distance « parfaite »
Contrairement à ce que l’on entend souvent, le métaverse, ce ne sera donc pas uniquement de l’immatériel, des objets virtuels possédés via les NFT. Bien sûr, quelques-uns achèteront des chaussures virtuelles pour donner du style à leur avatar. Mais cela pourrait rester marginal par rapport aux essayages virtuels de vêtements, réalisés en vue d’un achat dans le monde physique. Peu d’entre nous achèteront des villas virtuelles pour nous installer dans le métaverse, mais nous serons nombreux à faire des visites à distance pour choisir nos lieux de vacances, ou avant toute transaction immobilière.
Bien sûr, il y aura encore des essais ratés et des tâtonnements avant de parvenir à une forme aboutie de cette réalité hybride. Mais le potentiel de cette technologie est immense ; car ce qui s’ouvre ici, c’est une voie vers une expérience d’achat à distance « parfaite ». Celle-ci ne se substituera jamais à l’achat en magasin, qui constitue un vécu irremplaçable. Mais on se rapprochera de la perfection parce qu’on n’aura plus besoin de se déplacer vers un magasin « pour essayer » ; parce qu’on ne sera plus limité par le stock de couleurs et de tailles disponibles dans une boutique donnée ; et parce qu’on pourra revenir, en un clic, autant de fois que nécessaire.
La précision de la modélisation de l’essayage, son caractère immersif, sa facilité, vont permettre des décisions d’achat plus sûres pour le consommateur. Cela se traduira certainement par un nombre de retours de produits en baisse, et donc aussi par une baisse de l’empreinte carbone. En permettant une consommation plus raisonnée, mieux informée, le métavers facilitera aussi la commercialisation de produits d’occasion ou reconditionnés. Et cela aussi, c’est bon pour notre planète.
Alors pas de craintes ou de fantasmes. Entrons avec enthousiasme dans le métaverse !
Par Fabien Versavau, PDG de Rakuten France
RakuTrends #5 : #Cap sur la rentrée !
Acteur majeur du commerce en ligne et pionnier de l’économie circulaire, Rakuten bénéficie d’un point de vue unique sur les évolutions à l’œuvre dans l’e-commerce, à la croisée de tendances sociétales et économiques de fond. Avec les RakuTrends, nous vous proposons un décryptage régulier des grandes tendances de consommation, sur le neuf comme sur la seconde main.
#CAP SUR LA RENTRÉE : ZOOM SUR LES ACHATS PRÉFÉRÉS DES FRANÇAIS
L’heure de la rentrée approche à grand pas ! Comme chaque année au mois d’août, la préparation de la liste des courses « spéciale rentrée » s’impose : nouvelles fournitures, papeterie, produits high-tech, manuels scolaires, sans oublier les loisirs créatifs, pour un passage en douceur sur les bancs d’école. De nombreuses familles ont déjà anticipé cette mission annuelle, afin de saisir les meilleures offres et éviter de devoir se précipiter en magasin quelques jours avant la réouverture des classes. A vos stylos et cahiers ! Rakuten fait le point sur les grandes tendances de consommation 2022 et sur la place accordée aux incontournables de la shopping season de rentrée, avec un focus sur le choix de la seconde main, véritable allié du pouvoir d’achat.
ECONOMIE CIRCULAIRE
FACE À L’INFLATION, LE CHOIX DES LIVRES SCOLAIRES DE SECONDE MAIN S’IMPOSE COMME LA SOLUTION IDÉALE.
Face à l’inflation des prix qui nous guette et au contexte écologique actuel, quoi de mieux que d’opter pour des fournitures de seconde main ? Notamment, quand il s’agit des livres scolaires ou de l’high-tech, des produits généralement coûteux à l’achat ! Une tendance qui continue de se confirmer et qui s’exprime par :
Plateforme pionnière de l’économie circulaire proposant près de 50 millions de produits de seconde main, et parmi les leaders du e-commerce dans les catégories livres / culture, Rakuten est la référence pour dénicher les livres inscrits sur votre liste.
LANGUES ÉTRANGÈRES
LV2, LE CHOIX CRUCIAL DU COLLÈGE
Qui dit école, dit langues vivantes ! Ce choix « crucial » du collège, nous donne généralement du fil à retordre. En cette période, on note une croissance à deux chiffres des ventes des livres de langues étrangères sur les enseignements historiquement plébiscités. L’allemand et l’espagnol restent en tête !
L’ensemble de ces chiffres affirme que la rentrée scolaire 2022 est placée sous le signe des économies et des achats malins ! Les Français privilégient désormais une consommation responsable et durable. Le temps de la cohue dans les magasins la veille de la rentrée scolaire semble définitivement révolu. Cependant, une chose est sûre, la bataille entre l’allemand et l’espagnol n’est pas prête de s’arrêter.
*Chiffres comparatifs sur une période donnée de juillet 2021 vs. juillet 2022
Valorisations des startups : passons à une nouvelle échelle de valeurs
Moins de valorisations stratosphériques et de tours de table records : en 2022, la conjoncture économique est moins favorable à l'écosystème startups qu'en 2021. Ce qui n'est pas forcément une mauvaise nouvelle selon Fabien Versavau, PDG de Rakuten France, qui présage que l'argent frais sera injecté dans les innovations de rupture.
La fête est finie ! L’expression revient régulièrement ces temps-ci, quand il est question de financement des startups, et tout particulièrement dans le secteur de la tech. Valorisations stratosphériques, levées de fonds en augmentation régulière d’année en année, tours de table records : tout cela serait définitivement derrière nous. Les chiffres portant sur la France pour le premier semestre 2022, avec seulement 2 milliards d’euros de fonds levés contre 10 milliards en 2021, établissent clairement une tendance.
Quelles en sont les raisons ? Elles sont, pour une bonne part, conjoncturelles. Parce que, depuis le mois de mars, la hausse des taux freine des ardeurs qui, il y a peu de temps encore, faisaient peu de cas du risque. Parce que le conflit en Ukraine déstabilise de manière aussi spectaculaire qu’imprévue l’ordre mondial, avec des incertitudes très lourdes sur les approvisionnements en énergie, mais aussi sur certains produits alimentaires de base…
Parce que par ricochet, une inflation mondiale galopante s’installe. Tout cela mis bout à bout, avec en plus la question d’une nouvelle vague de Covid-19, donne peu de raisons d’espérer, et beaucoup de motifs de se méfier. Il faut cependant aller plus loin dans l’analyse, et chercher les causes structurelles de ce retournement ; on pourra y trouver quelques raisons de considérer l’avenir avec confiance.
Bien sûr, le climat général actuel pèse fortement sur les perceptions des acteurs économiques. Mais ce qui se fait jour, c’est aussi, de manière plus fondamentale, une forme de « sélection naturelle » entre deux types de startups. D’un côté, il y a celles dont la promesse repose sur une véritable innovation technologique ; et de l’autre, celles dont le modèle s’appuie avant tout sur les gains de productivité permis par le passage rapide à l’échelle.
Force est de constater que, parmi les licornes de ces dernières années, nombre d’entre elles reposaient sur une logique similaire : atteindre sur un marché donné la taille critique plus vite et plus fort que les autres acteurs. Dans un contexte où les liquidités surabondaient, où les investisseurs cherchaient à tout prix des projets dans lesquels investir, nul n’avait besoin de présenter une innovation de rupture ; une perspective réaliste de succès dans cette course à la taille suffisait. Et l’afflux de capital permettait alors à des entreprises de concentrer leurs actions sur ce seul but, particulièrement vorace en cash : préempter au pas de charge une position de leadership.
Force est de constater que ces histoires-là ne convainquent plus comme auparavant. Si le volume général des valorisations baisse, c’est avant tout parce que les investisseurs ont changé leur manière de voir, qu’ils sont devenus plus regardants, notamment sur la réalité de l’innovation proposée. Dès lors que le capital coûte plus cher, les investisseurs veulent en avoir davantage pour leur argent. Ils sont, à ce titre, plus sélectifs dans leurs décisions d’investissement, font des analyses plus profondes et remontent leur niveau d’exigence quant à la viabilité économique des cibles envisagées.
Mais, avant tout, ils veulent s’assurer que, derrière le projet financé, se trouve aussi une capacité réelle et continue à inventer, à proposer, à grandir, à garder une longueur d’avance. John Collison, président de Stripe, a parfaitement résumé la situation : « Partout, les investisseurs paient moins pour les mêmes entreprises […]. Les choses ne sont pas si terribles dans le secteur des technologies. Ce sont juste les valorisations qui ont un peu baissé. » Tout est dit !
La « correction » en cours – c’est vrai des deux côtés de l’Atlantique – est saine pour nos économies. Elle permettra de mieux distinguer les pépites qui innovent réellement. L’histoire récente l’a montré sévèrement : nous n’avons rien à gagner à laisser gonfler les bulles spéculatives. Et nous avons, bien au contraire, tout à gagner à ce que l’argent disponible serve en priorité à soutenir des histoires entrepreneuriales avec des fondamentaux solides, des innovations visionnaires et des expertises de pointe, plutôt qu’à alimenter des chimères aux rentabilités aussi hypothétiques que lointaines.
Il y a là une belle occasion de redonner tout son éclat à la figure de l’entrepreneur. Le resserrement monétaire va forcer les créateurs d’entreprise à être encore plus ingénieux, créatifs, inspirants et résilients. Ces qualités doivent retrouver leur juste place dans l’échelle des valeurs que promeuvent nos sociétés, trop souvent défiantes par rapport à l’innovation technologique, trop souvent enclines à reléguer les compétences techniques au second plan. L’économie s’affaiblit en préférant les contes de fées, elle se renforce en valorisant les belles histoires.
Fabien Versavau, PDG de Rakuten France