Club R Pay : le premier service de paiement et de cashback intégré de Rakuten France !
Rakuten France lance Club R Pay, le premier service de paiement et de cashback intégré
Avec le lancement de Club R Pay, Rakuten France devient le premier acteur du e-commerce à proposer un moyen de paiement digital intégré, connecté à un système de cashback
Rakuten France annonce le lancement d’une solution inédite de paiement intégré – Club R Pay – et devient ainsi le premier acteur du e-commerce à offrir un tel dispositif de paiement dans l’univers des marketplaces. Solution universelle de paiement intégré, Club R Pay permet à 12 millions de Français, membres du programme de fidélité Club R, de faire des achats en toute simplicité sur plus de 2000 sites tout en étant récompensés sur Rakuten. Illustration concrète de la vision de Rakuten pour le commerce de demain, cette nouvelle initiative permet à Rakuten de fluidifier le parcours d’achat mais également d’accompagner ses partenaires dans leur digitalisation et leur développement.
Fabien Versavau, PDG de Rakuten France, et Flora Louvet, Responsable Communication Corporate, lors de la conférence de lancement de Club R Pay, le 13 décembre 2022.
Simplifier et sécuriser le parcours d’achat sur plus de 2000 sites
Alors que les Français font de plus en plus de dépenses en ligne, la fluidité et la sécurisation du parcours d’achat sont essentiels. D’après la FEVAD, les Français ont dépensé 129 milliards d’euros sur internet en 2021 et le e-commerce représente désormais 14,1%* du commerce de détail. Dans ce contexte, Rakuten lance Club R Pay, une nouvelle solution de paiement au sein de son écosystème de partenaires.
Comment ça marche?
- Un membre du Club R se rend sur un site partenaire de Rakuten, sélectionne son produit et passe au paiement.
- Il peut alors décider de payer via Club R Pay grâce à une nouvelle fonctionnalité directement intégrée dans le parcours d’achat.
- En choisissant cette option, une carte virtuelle est créée, son montant est défini par l’acheteur. Il n’a pas besoin de renseigner ses informations de carte bancaire qui sont déjà pré-enregistrées sur Rakuten.
- Il procède aux vérifications 3Dsecure pour un paiement toujours plus sécurisé.
- L’acheteur valide le paiement et profite de son achat en toute sérénité. Pour chaque achat, il récupère de l’argent automatiquement dans sa cagnotte Rakuten.
Avec Club R Pay, Rakuten offre donc à ses membres un parcours de paiement simplifié et fluide au sein d’un écosystème très large de plus de 2000 partenaires (Nike, Lego, Marionnaud, Hotels.com…).
Par ailleurs, grâce à des partenariats stratégiques avec Mastercard, acteur majeur du secteur bancaire, qui apporte son réseau bancaire et son expertise en matière de sécurisation des transactions, et Marqeta, plateforme internationale d'émission de cartes virtuelles qui fournira les cartes à usage unique, Club R Pay apporte une garantie de sécurité supplémentaire et réduit les risques liés au paiement.
« Notre travail avec Rakuten en France représente une évolution passionnante pour Marqeta en Europe », déclare Jeff Parker, SVP/ Managing Director, International chez Marqeta. « En tirant parti de la puissance de l'émission de cartes virtuelles, nous pouvons aider Rakuten, l'une des plateformes de e-commerce les plus innovantes au monde, à fidéliser et à engager les utilisateurs de sa place de marché. Nous voyons une grande adéquation entre nos deux organisations et nous sommes impatients de développer ce partenariat à l'avenir. »
Soutenir le pouvoir d’achat des Français
Le pouvoir d’achat reste l’une des préoccupations principales des Français en cette fin d’année. Lancé il y a 4 ans, le programme de fidélité de Rakuten, Club R, est aujourd’hui le plus généreux de l’e-commerce en France. Il permet à ses 12 millions de membres de récupérer entre 5% et 35% de leurs achats réalisés sur la marketplace ou auprès de l’un des 2000 partenaires de Rakuten France. Club R Pay permet de simplifier le parcours des membres du Club R, qui récupèrent automatiquement des Rakuten Points leurs de leurs achats auprès des marques partenaires, et bénéficieront, à l’occasion du lancement de Club R Pay, d’une offre de 5 % de remises supplémentaires sur leurs achats.
Proposer aux marques un levier d’acquisition de trafic à moindre coût
Réduction des abandons de paniers, acquisition de trafic à prix compétitif… avec Club R, Rakuten donne aux marques partenaires les moyens d’augmenter leurs revenus digitaux, et ce sur leur propre site. Véritable partenaire d’acquisition marketing, Club R permet aux marques de s’adresser à ses 12 millions d’acheteurs fidèles et engagés, en France. Un levier majeur pour générer de la croissance.
Club R Pay a également été pensé pour permettre aux partenaires d’optimiser leurs dépenses marketing : grâce à un modèle de tarification à la performance, les partenaires paient uniquement quand l’utilisateur procède à un achat.
Enfin, cette solution de paiement, « plug and play », ne nécessite pas de développement complexe du côté des partenaires. Universelle est ubiquitaire, elle s’intègre facilement dans les parcours d’achat.
Cette solution, imaginée par le leader du e-commerce, s’intègre dans une stratégie centrée sur le parcours d’achat pour créer de la valeur pour les acheteurs comme pour les marques. Attentif aux mutations qui s’opèrent au sein de notre société, notamment portées par la forte digitalisation des parcours d’achat et de vente, Rakuten France affirme une fois encore sa mission : mettre son savoir-faire en matière d’innovation au service de millions d’acheteurs et de ses précieux partenaires commerçants.
*Source : FEVAD
Redorons le Black Friday
Encore plus que les années précédentes, le Black Friday aura été, en France, pointé du doigt. Pour ses détracteurs, toujours nombreux en France, cette journée d’achat avec des remises exceptionnelles – qui, pour ne rien arranger, nous vient des Etats-Unis… – serait l’expression la plus aboutie de ce dont l’on ne veut plus : un moment insensé de frénésie consumériste, à rebours des aspirations de notre époque pour une consommation plus raisonnée et plus respectueuse de l’environnement. Au fil des éditions, on a repeint ce vendredi en noir, un noir très sombre. A tel point que les commerçants, les enseignes, les plateformes de e-commerce ont fini par totalement intégrer la critique, en limitant volontairement leur communication, comme si cette journée était devenue une journée de consommation honteuse. C’est une erreur. Ce Black Friday, il faut en redorer l’image.
D’abord parce qu’il permet – et une nouvelle fois, les consommateurs ne s’y sont pas trompés – de lutter contre l’inflation et de redonner du pouvoir d’achat. Il est d’ailleurs déroutant, alors même que les Français, avec la hausse des prix de l’énergie, s’inquiètent pour leur porte-monnaie, de ne pas voir l’opportunité que constitue cette journée. C’est vrai notamment pour les pouvoirs publics, car le Black Friday redonne du pouvoir d’achat sans que cela coûte un centime à l’État, sans prime, sans aide et sans bouclier… quelle aubaine ! Le consommateur – contribuable aussi, lui qui sait parfaitement que c’est lui qui finance ce que verse le gouvernement, et qui intègre cela dans son raisonnement de consommateur –, peut en profiter sans arrière-pensée. Tous ces produits neufs discountés, ce sont des remises immédiates, supportées par l’ensemble des commerçants, les petits comme les grands. Il devrait donc en être remerciés, et non pas blâmés.
Ce Black Friday est par ailleurs beaucoup plus « green », beaucoup plus responsable et durable qu’on ne le croit. Ce que les chiffres montrent, c’est que les consommateurs ont su faire de cette journée un grand rendez-vous – peut être le plus grand – de promotion de l’économie circulaire. Car – on ne le dit pas assez – lors du Black Friday, il se vend de nombreux produits de seconde main. Et de plus en plus ! Un seul exemple : sur notre plateforme de e-commerce, qui est une photo souvent fidèle des comportements d’achats, plus de la moitié (56% précisément) des produits vendus le vendredi 25 novembre, étaient des produits de seconde main. C’est une hausse de 20% en trois ans. Ces chiffres sont d’ailleurs très logiques au regard des intentions d’achats pour les cadeaux de Noël, dont une grande partie se font durant le Black Friday. Selon un sondage récent réalisé par l’Ipsos, un Français sur deux envisage de mettre sous le sapin des cadeaux de seconde main. C’est plus que l’an dernier, et c’est une excellente nouvelle.
Le Black Friday est utile enfin, car en baissant les prix, il permet aussi un renouvellement du parc des produits, en particulier des biens d’équipement. Très concrètement, c’est l’occasion pour des familles, en premier lieu celles qui doivent faire attention à leur budget, de renouveler leur lave-linge arrivé en bout de course, ou leur téléviseur qui ne marche plus, et de faire le choix de produits plus modernes, répondant à des normes environnementales nouvelles et plus strictes ; donc des produits plus sobres pour la planète. Là encore, le « black » est « green ». À celles et ceux qui croient que la solution viendra de la décroissance, il est utile de rappeler que la consommation est aussi un vecteur de transformations. Et il y a dans le Black Friday un mécanisme indéniable d’accélération de la diffusion de l’innovation, de démocratisation du progrès technologique. Qui pourrait raisonnablement s’en plaindre ?
Notre modernité est souvent manichéenne et, cela va de pair, victime de phénomènes d’emballement médiatique. Nous voyons constamment, et massivement, les choses en blanc ou en noir. Pourtant, si l’on fait l’effort de la nuance, on constate que ce Black Friday est une nouvelle démonstration qu’il ne faut pas opposer temps forts commerciaux et consommation utile. Utile pour les consommateurs, et utile pour la planète.
Par Fabien Versavau, PDG Rakuten France
Un Noël toujours généreux et tourné vers la seconde main
Le compte à rebours des fêtes a sonné : Rakuten dévoile le premier volet de son baromètre de Noël, en collaboration avec Ipsos !
Malgré un contexte inflationniste, 58% des Français comptent dépenser autant voire davantage pour leurs cadeaux de Noël cette année. La consommation responsable s’impose en France. Près d'1 Français sur 2 serait content de recevoir un cadeau de seconde main à Noël. Ce qui concorde avec les intentions d’achat puisqu’1 Français sur 2 envisage d’offrir des cadeaux de seconde main à cette occasion.
Contexte économique singulier, sortie de crise… Mais qu’en est-il réellement de la consommation française en ce Noël 2022 ? C’est ce que Rakuten dévoile au travers d’une étude menée par IPSOS auprès de 1 073 Français âgés de 16 ans et plus. Elle révèle qu’en dépit d’un pouvoir d’achat en berne, les Français ont toujours le cœur à la fête ! Les dépenses sont toujours de mise, mais avec une approche responsable et durable qui s’accentue. Les cadeaux issus du marché de la seconde main semblent gagner du terrain, notamment chez les jeunes. Une tendance qui se traduit par une réelle évolution des comportements d’achat s’expliquant par une prise de conscience commune face aux enjeux financiers et environnementaux.
Chiffres saillants, révélations surprenantes, Rakuten décrypte les principaux enseignements de l’étude.
MALGRÉ UNE BAISSE DU POUVOIR D’ACHAT, LES FRANCAIS ACHETENT DAVANTAGE
Plus de la moitié des Français prévoit de dépenser autant voire davantage pour ses cadeaux de Noël (58%), malgré l’inflation et la baisse du pouvoir d’achat. Notamment chez les 18 – 34 ans où 1 jeune sur 5 envisage de dépenser plus que l'année dernière pour Noël.
Le mot d’ordre : prévoyance ! A deux mois des fêtes de fin d’année, la moitié des Français prévoit de faire des achats de Noël des semaines à l’avance.
De plus, 38% des Français sont de réels chasseurs de bonnes affaires et privilégient les promotions pour leurs achats de cadeaux cette année. On note par ailleurs que les dépenses de cadeaux neufs s’orientent également vers des produits locaux ou « made in France » (34%). La population 65 ans et + se distingue pour ce type d’achat (50%).
LA SECONDE MAIN S'IMPOSE DURABLEMENT, SURTOUT CHEZ LES JEUNES
La moitié des personnes sondées envisage d’acheter des articles de seconde main pour Noël (51%) vs. 47% en 2021 et à peine 18%* en 2020. Les intentions d’achat de cadeaux de seconde main sont en hausse par rapport à l'année dernière : +4 points pour l'occasion, +7 points pour le reconditionné.
Les 16-24 ans sont encore plus investis sur le sujet, avec 8 jeunes sur 10 ayant l'intention d'acheter des cadeaux de seconde main pour Noël, contre 6 sur 10 en 2021. Ces achats d’occasion concernent principalement les jouets à 52%, suivis par les produits culturels (livres, CD…) à 50%, et les vêtements à 42%. Cette année, les jouets passent en tête, détrônant les produits culturels. On note d’autre part que les jeux vidéo d’occasion intéressent près d’un jeune (16-24 ans) sur deux!
Les trois quarts des sondés expliquent que ce choix d’axer leurs achats de Noël sur des produits de seconde main est avant tout financier, pour le prix à 79% (faire des économies et bonnes affaires, acheter un cadeau qui n’aurait pas pu être acheté neuf), et environnemental ensuite à 69% (notamment auprès des CSP+). L’économie circulaire prend donc place dans les habitudes des Français.
PRES D'1 FRANÇAIS SUR 2 SERAIT CONTENT DE RECEVOIR DE LA SECONDE MAIN
Des freins persistent tout de même à l’achat de seconde main. Parmi les principales craintes formulées par les répondants : la peur d’offrir des produits de seconde vie qui, dans l’imaginaire de certains, peuvent être défectueux ou de moins bonne qualité. L’absence de garantie ou de SAV serait un frein pour plus d’un tiers des non-acheteurs d’articles de seconde main. Or, sur une plateforme telle que Rakuten, un Service Client est bien disponible pour accompagner les acheteurs pour tous types de produits, neufs comme de seconde main.
Une différence de perception persiste : 33% des Français qui n’envisagent pas d’acheter des cadeaux de Noël de seconde main déclarent avoir peur de décevoir alors que 45% des interrogés seraient heureux de recevoir un cadeau de seconde main car cela ne fait aucune différence avec un cadeau neuf selon eux. Cela concerne plus particulièrement les personnes ayant un profil d’éco-responsable (54%).
En tant que plateforme d’e-commerce engagée en faveur de l’économie circulaire, Rakuten propose à ses membres la garantie Reconditionné CeRtifié, qui assure aux acheteurs la garantie du neuf au prix du reconditionné. Une solution pour répondre aux hésitations des consommateurs, encore frileux de passer le cap.
Trois grandes tendances se dessinent dans cette étude : générosité, recherche de bons plans et seconde main donnent le la de la consommation des Français en cette fin d’année 2022. Ces derniers, prévoyants, sont d’ailleurs déjà mobilisés sur leurs achats de cadeaux.
« Les chiffres de ce baromètre apportent leur lot de surprises. Malgré le retour de l’inflation, les Français restent investis durant la période de Noël et comptent bien faire plaisir à leurs proches. Depuis 3 ans, nous constatons une évolution vers une consommation durable et circulaire, et cette tendance apparaît nettement dans cette étude sur les intentions d’achat en France. », commente Fabien Versavau, PDG de Rakuten France. Il ajoute : « Ce baromètre nous amène aussi à nous questionner sur l’après : les Français seront-ils sereins après la période de Noël si la tendance inflationniste persiste ? »
*Etude Rakuten/OpinionWay2020
Rakuten, un modèle d'e-commerce à impact positif sur l'économie française
Rakuten France génère près de 5 000 emplois et conforte son modèle d’e-commerce à impact positif
Depuis la création de la première place de marché virtuelle au monde en 1997 et son développement en France il y 12 ans, Rakuten ne cesse de se développer. Dans un contexte où le pouvoir d’achat des Français est au cœur des préoccupations, Rakuten France renforce sa place d’acteur incontournable et incarne aujourd’hui un modèle de e-commerce inclusif et vertueux qui profite à tous, aussi bien vendeurs que consommateurs. Rakuten France et le cabinet indépendant Astérès dévoilent aujourd’hui les conclusions d’une étude faisant état de la contribution de Rakuten France à l’économie française et à la création de milliers d’emplois.
Une contribution conséquente à l’économie française
Depuis 12 ans, l’empreinte économique de Rakuten en France ne cesse de se renforcer. En tant que troisième plus grand marché après le Japon et les États-Unis, la France est l’un des pays prioritaires pour Rakuten. Portée par les collaborateurs et l’ensemble des vendeurs, professionnels comme particuliers - dont les trois quarts sont localisés en France - la place de marché Rakuten intervient comme « tiers de confiance » et véritable partenaire pour les e-commerçants. Ce rôle central est mis en lumière par l’analyse du cabinet Astérès puisque l’empreinte totale de la marketplace représente en 2021 :
- 10 000 vendeurs professionnels et marques partenaires*
- 5 000 emplois directs et indirects générés dont 3 400 sont générés par l’ensemble des ventes sur Rakuten France
- 411 millions d’euros de valeur ajoutée au total qui correspond à la richesse économique créée sur le territoire et équivalente au PIB d’une ville d'environ 12 000 habitants.
La marketplace poursuit sa stratégie fondée sur 3 piliers : soutenir le pouvoir d’achat des Français, accompagner les commerçants dans leur digitalisation et leur développement, et contribuer activement à l’économie circulaire.
Des gains de pouvoir d’achat significatifs pour les Français grâce aux effets d'entraînement
Rakuten soutient le pouvoir d'achat des Français avec le Club R : le programme de fidélité le plus généreux de l’e-commerce français* qui permet à ses membres de récupérer de l’argent sur chacune de leur transaction réalisée sur la marketplace, qu’il s’agisse d’un achat ou d’une vente, mais aussi sur chaque achat réalisé auprès de l’un des 2000 partenaires de Rakuten France.
Le programme compte à ce jour près de 12 millions de membres et permet à chacun de récupérer plus de 400 euros de pouvoir d'achat en moyenne chaque année, et jusqu’à 1000 euros pour les membres les plus actifs*.
De plus, le revenu global des vendeurs particuliers a augmenté de 103 millions d’euros sur un an. Cette dynamique vertueuse s’inscrit dans une tendance forte de consommation plus raisonnée (via la seconde main notamment) et a toutes les raisons de croître, considérant que l’activité de revente sur la plateforme est ouverte à tous et permet des gains de pouvoir d’achat bienvenus. Ces gains sont notamment expliqués par les effets d’entraînement : en redonnant du pouvoir d’achat et en permettant la hausse de revenus des Français, la plateforme parvient donc à stimuler la consommation et à générer de nouveaux emplois sur le territoire.
Un modèle inclusif au service des vendeurs et commerçants
Rakuten facilite l'accès des commerçants au e-commerce et les accompagne dans leur digitalisation en apportant à chacun des solutions et technologies innovantes afin de développer leur activité et leurs ventes. Ne commercialisant pas de produits en propre, Rakuten n’entre pas en concurrence avec les vendeurs présents sur la marketplace mais se place plutôt à leur service, dans une logique responsable et durable.
Dans cette perspective, Rakuten a lancé en 2021 le Pack starter, une offre gratuite et sans engagement accessible aux TPE et PME leur permettant d’ouvrir leur boutique en ligne et de bénéficier d’un accompagnement personnalisé. Plus de 1 800 TPE et PME en ont bénéficié et les souscriptions ont bondi de 31% sur un an, témoignant d’un besoin réel d’accompagnement. A ce jour, près de 50% des produits commercialisés dans le cadre de cette offre sont le fruit d’une production locale et artisanale.
Début 2022, la marketplace a également étoffé son offre en lançant Rakuten Fulfillment Network, une solution unique de e-logistique qui offre aux PME et aux marques un accès direct à un réseau d’experts de la logistique, couvrant la prise en charge, le stockage, l’emballage et l’expédition des commandes, avec des tarifs justes et transparents.
Une dynamique qui renforce l’action de tous pour une économie circulaire
Plateforme pionnière de l’économie circulaire en France avec un catalogue de plus de 50 millions de produits de seconde main, Rakuten accompagne ses membres vers des modes de consommation vertueux, largement plébiscités par les Français. Pour la majorité des produits recherchés sur la plateforme, des références de seconde main sont proposées aux acheteurs.
La marketplace encourage la consommation vertueuse à travers plusieurs dispositifs, dont le Badge Vision’R, lancé en 2021, qui récompense l’achat de seconde main par un gain de pouvoir d’achat supplémentaire ou encore Reconditionné CeRtifié, la garantie du neuf au prix de l’occasion.
Grâce à l’ensemble de ces initiatives, 1 produit sur 2 vendus aujourd’hui sur la plateforme est de seconde main ou reconditionné. De plus, 75 % des articles achetés avec des Rakuten Points sont d’occasion.
“C’est une fierté pour les équipes de Rakuten France de voir que nos engagements et nos valeurs ont permis de déployer un modèle si vertueux année après année. Rakuten France est devenu le partenaire de la digitalisation des commerçants français et du pouvoir d’achat des consommateurs, en accompagnant tout du long l'évolution sociétale vers un modèle de consommation plus responsable. Nous ambitionnons de poursuivre naturellement dans cette lignée et ainsi continuer de contribuer au développement économique de la France.” déclare Fabien Versavau, Président et Directeur Général de Rakuten France.
*Source : Rakuten France
L’automobile, inspiration pour nos sociétés
Les passionnés attendaient. Après quatre années d’absence, le Mondial de l’Automobile est de retour. Et de nombreux visiteurs se sont à nouveau rendus porte de Versailles arpenter ses allées, pour y découvrir les nouveautés présentées par les constructeurs et les équipementiers.
Nous devrions en réalité aller en masse à ce Mondial, car il se passe aujourd’hui quelque chose de très marquant dans le secteur automobile, d’une portée qui le dépasse largement. Ce secteur d’activité traverse en effet des mutations profondes, un véritable « big bang » pour reprendre le terme employé dans une étude récente de Cap Gemini. Et il y a là matière à tous nous inspirer, dans tous les secteurs de l’économie. Voire au-delà.
C’est peu dire que l’automobile traverse une crise. Le COVID a laissé des traces, avec une désorganisation profonde des chaines logistiques et une pénurie généralisée sur les semi-conducteurs, obligeant l’ensemble des constructeurs à réduire leur production et à allonger démesurément les délais de livraison. Partout en Europe, les ventes sont en baisse continue. Après la terrible année 2020, où les immatriculations de véhicules neufs en France avaient chuté de 25%, la tendance peine à s’inverser. Au premier semestre 2022, le marché européen reculait encore de 14% par rapport à 2021, avec peu de perspectives d’amélioration rapide, dans un contexte macroéconomique adverse.
Cette crise de l’automobile – pour certains, la plus lourde depuis 1960 – n’est cependant pas que conjoncturelle. Elle est même d’abord structurelle, car liée au réchauffement climatique, et à l’image du secteur, étroitement associé aux énergies fossiles. Soumises à des pressions réglementaires et sociales sans précédent, la planète automobile ne tourne plus comme avant. Le secteur dans son ensemble est sommé de négocier un virage radical. Et vite ! L’Europe a fixé l’échéance : en 2035, plus aucun véhicule à moteur thermique ne sera vendu dans les pays de l’Union.
Dix ans, pour une industrie comme l’automobile, c’est demain ; et le grand public est parfois plus impatient encore. Il faut par conséquent être prêt dès aujourd’hui, en répondant à une myriade de questions liées aux nouvelles énergies – de l’approvisionnement en composants électroniques au recyclage des batteries.
Et donc, porte de Versailles, qu’ont vu les visiteurs ? De grandes innovations, sur tous les stands ! Ce qui semblait singulier, de l’ordre du « concept car », il y a encore quelques années est en passe de devenir la norme. Des dizaines de modèles d’une génération nouvelle sont exposés, sur tous les segments de marché – citadines, berlines, SUV… –, chez tous les constructeurs, des plus généralistes aux plus prestigieux. Il est question de moteurs électriques et de moteurs à hydrogène. On parle aussi de véhicules autonomes, de cloud et d’intelligence artificielle.
En un temps record, le secteur s’est totalement réinventé. Ce qui peut nous amener à faire deux constats.
Le premier, c’est qu’il faut avoir confiance dans le génie humain. Le désenchantement ambiant fait que nous avons trop souvent perdu foi en notre capacité d’inventer, et foi en la science. Il est d’ailleurs symptomatique que les premiers mots du tout récent Prix Nobel français Alain Aspect aient justement été destinés à déplorer le trop faible niveau de culture scientifique des élites, et à exhorter la jeunesse à s’intéresser de nouveau à la science ; car c’est grâce à elle que nous pourrons apporter des solutions durables aux problèmes les plus pressants. Sans la science, comment réduire notre empreinte carbone, nous adapter aux transformations inévitables de notre milieu ambiant ? Comment aussi, dans un autre domaine, accompagner le vieillissement des populations ?
Le second constat, c’est que la contrainte peut être un formidable accélérateur de transformations. Notre époque en est riche : contraintes liées à l’énergie, à nos approvisionnements en matières premières, à la nécessaire préservation des ressources naturelles... Face aux obstacles, on peut décider de s’arrêter, voire de reculer : c’est l’idée de la décroissance. On peut aussi faire un autre choix : dépasser l’obstacle. D’autres secteurs que l’automobile s’y emploient : l’énergie par exemple, qui se réinvente pour bâtir un nouveau modèle plus durable. Et de nombreux autres misent sur l’économie circulaire, à laquelle le numérique, nous le voyons tous les jours chez Rakuten, donne une force sans précédent.
« Ne gâchons pas une bonne crise », disait Churchill. Force est de constater que l’automobile a su trouver, avec de nouveaux produits et de nouveaux usages, comment concilier les contraintes nouvelles de notre époque avec cette aspiration fondamentale à la liberté, dont elle reste un symbole.
On parlait il y a peu de « la société de l’automobile » comme l’aboutissement d’une société de surconsommation, comme d’un modèle dépassé. Par un retournement dont l’histoire a le secret, il semble que l’automobile a aujourd’hui beaucoup à enseigner à nos sociétés.
La précision de la modélisation de l’essayage, son caractère immersif, sa facilité, vont permettre des décisions d’achat plus sûres pour le consommateur. Cela se traduira certainement par un nombre de retours de produits en baisse, et donc aussi par une baisse de l’empreinte carbone. En permettant une consommation plus raisonnée, mieux informée, le métavers facilitera aussi la commercialisation de produits d’occasion ou reconditionnés. Et cela aussi, c’est bon pour notre planète.
Alors pas de craintes ou de fantasmes. Entrons avec enthousiasme dans le métaverse !
Par Fabien Versavau, PDG de Rakuten France
Par Fabien Versavau, PDG Rakuten France
RakuTrends #6 : À vos manettes !
Acteur majeur du commerce en ligne et pionnier de l’économie circulaire, Rakuten bénéficie d’un point de vue unique sur les évolutions à l’œuvre dans l’e-commerce, à la croisée de tendances sociétales et économiques de fond. Avec les RakuTrends, nous vous proposons un décryptage régulier des grandes tendances de consommation, sur le neuf comme sur la seconde main.
Au mois de novembre, le secteur du gaming sera sous le feu des projecteurs, avec le grand retour de la Paris Games Week, rendez-vous incontournable qui réunira les éditeurs les plus influents au monde. Un moment clé pour revenir sur une tendance qui ne cesse d’évoluer, et qui ne concerne plus uniquement une cible geek & GenZ, mais dicte la tendance dans l’ensemble des secteurs et auprès de tous les publics.
Dynamisés par les confinements successifs et par l’explosion du segment mobile, les jeux vidéo poursuivent leur essor fulgurant, en profitant également de nouvelles opportunités de croissance offertes par les plateformes de streaming, plébiscitées par les consommateurs friands de sensations fortes depuis leurs canapés.
CONSOLES & JEUX
LA CLÉ DE LA SUCCESS STORY DU SECTEUR
En 2022, la France marque un nouveau record pour le marché du jeu vidéo. Après une année 2020 hors du commun, le secteur poursuit sa croissance, grâce notamment au succès des produits consoles, jeux vidéo & accessoires. Une dynamique marché qui se confirme également au sein des plateformes e-commerce, et qui a permis d’observer chez Rakuten une évolution de 67% sur le volume des ventes dans la catégorie gaming depuis 2019.
JEUX VIDÉO
LES CLASSIQUES RESTENT LEADERS
Mais qu’en est-il des coups de cœur des gamers français ? La quête d’aventure et jeux de rôle semblent être LES catégories les plus en vogue, suivies de près par les jeux de course, d’action et pour finir de sport.
QUI SONT-LES JOUEURS ?
Contrairement aux idées reçues, le gaming ne concerne pas que la génération Z. Sur la plateforme Rakuten, les achats gaming sont principalement réalisés par les 30-45 ans, suivis des 18-29 ans !
ÉCONOMIE CIRCULAIRE
CAP SUR LA SECONDE MAIN !
Les achats d’occasion dans le secteur gaming ont une place de choix sur Rakuten !
Tandis que depuis 2019, les ventes de produits de seconde main enregistrent une croissance de +16,2%, toutes catégories confondues, celle de la catégorie gaming de seconde main connaît une forte accélération, en enregistrant une évolution de +71% portée par la vente de consoles et jeux vidéo.
Entre le célèbre plombier moustachu et l’adorable Pikachu, les joueurs semblent très attachés aux icônes des jeux les plus anciens : le retrogaming revient en force ces dernières années. Cette tendance, qui consiste à réutiliser les plus belles consoles de l’époque ou les meilleurs jeux montre l’intérêt pour le retour d’objets gaming vintage.
Les jeux sortis récemment sont aussi très recherchés par les joueurs, en seconde main :
Des chiffres qui confirment une nouvelle fois le succès grandissant de la seconde main auprès des Français. En tant que plateforme pionnière de l’économie circulaire, Rakuten encourage ce type d’achats en les récompensant grâce au Badge Vision’R. Pour 2 achats de produits de seconde main achetés en un mois sur Rakuten pour un montant total de 100 euros minimum, les membres du Club R reçoivent 10 % supplémentaires en Rakuten Points par rapport à leur rétribution habituelle, à valoir dès le mois suivant sur leurs achats de seconde main réalisés sur la plateforme.
Vision’R encourage les membres du Club R à continuer d’adopter des comportements d’achat vertueux pour un commerce plus responsable.
Des joueurs soucieux de préserver à la fois la planète et leur portefeuille !
Rakuten Ads, la nouvelle solution retail media qui allie visibilité, performance et ventes
Rakuten réinvente sa solution retail media Rakuten Ads destinée aux marques et distributeurs, qu’ils soient ou non vendeurs sur la marketplace.
Cette plateforme permet aux vendeurs professionnels de tirer parti des forces du modèle Rakuten, en alliant la visibilité à une logique d’acquisition client auprès des 12 millions de membres fidèles du programme Club R.
Dans le prolongement de sa mission d’accompagner la digitalisation des commerçants, la solution Rakuten Ads combine solution technologique et conseil humain permettant de rapprocher la publicité de l'acte d'achat. Côté vendeur, l’interface digitale de Rakuten Ads est réinventée à travers un outil de retail media simple et performant. Côté utilisateur, ce dispositif leur apporte des parcours plus pertinents et personnalisés.
Un pas de plus vers le retail media
Avec l’accélération du digital et de l’analyse de données, le champ des possibles s’est considérablement étendu pour les marques, qui cherchent désormais de nouvelles façons de faire de la publicité auprès d’audiences toujours plus qualifiées. Avec des revenus en hausse de 42%* en 2021 par rapport à 2020, le secteur du retail media constitue un levier de croissance majeur, grâce non seulement au trafic généré par les plateformes mais aussi à la personnalisation précise qu’ils permettent.
Pour offrir aux commerçants de nouvelles opportunités de mettre en lumière un produit vendu sur la plateforme auprès de ses 15 millions de visiteurs uniques par mois, Rakuten réinvente Rakuten Ads avec pour ambition de proposer une solution simple et intuitive à tous les vendeurs, quelle que soit leur taille.
Rakuten Ads permet de bénéficier d’un accompagnement axé sur la performance : les vendeurs ont un accès privilégié aux 12 millions de membres fidèles du Club R, pour accélérer l’acquisition client. Ils peuvent s’appuyer sur la force du programme de fidélité le plus généreux de France, en proposant par exemple des remises en points supplémentaires et capitaliser sur des opérations commerciales intégrées pour booster leurs ventes.
En lançant la nouvelle interface de Rakuten Ads, la plateforme de shopping facilite le lancement de campagnes et la mesure de leur performance, pour connecter plus facilement les vendeurs aux acheteurs. Elle permet le déploiement de stratégies publicitaires encore plus précises et efficaces qu’auparavant pour offrir à chaque e-commerçant et chaque marque la possibilité de maximiser ses ventes et sa visibilité en toute simplicité sur Rakuten.
Dans l’optique de rapprocher la publicité de l’acte d’achat, Rakuten Ads répond concrètement à 3 enjeux :
- Augmenter la visibilité : en maximisant la mise en avant des annonces en 1e position grâce à un algorithme qui propose les produits aux moments les plus propices du parcours client.
- Démultiplier les ventes : en valorisant des produits sur les emplacements à forte visibilité, le vendeur peut faire découvrir aux acheteurs son e-shop dédié et faire croître ses ventes.
- Analyser les performances (ROI) : avec l'aide des E-Commerce Consultants, conseillers Rakuten dédiés à l’accompagnement des vendeurs, ces derniers peuvent analyser les résultats de leurs campagnes et maîtriser leurs coûts.
Donner aux vendeurs les moyens de leurs ambitions
Accessible directement depuis l’espace professionnel de chaque vendeur, la nouvelle solution SaaS donne notamment la possibilité de déployer plusieurs campagnes simultanément et de gérer toutes les publicités internes et externes à la plateforme Rakuten. Développée dans le but de répondre concrètement aux besoins des utilisateurs, elle permet un paramétrage manuel des produits à mettre en avant depuis leur catalogue sur chaque campagne pour accroître leur visibilité. Grâce à la puissance et à la précision de la data de Rakuten, le ciblage des publics est de plus en plus fin et permet une réelle personnalisation du message en fonction des profils, résultant ainsi en une expérience d’achat qui correspond aux attentes des acheteurs.
Rakuten Ads offre surtout une transparence sur les coûts et son utilisation, avec la possibilité de configurer un coût par clic optimisé pour ses campagnes et notamment de définir un budget quotidien, mais aussi une capacité accrue de pilotage des résultats obtenus, notamment – et c’est nouveau - en termes d’impressions, de clics, de conversions et du chiffre d’affaires généré. Cela est possible grâce à l’intégration d’un nouvel outil de suivi des campagnes à travers un Dashboard. Côté ergonomie, Rakuten Ads simplifie au maximum son utilisation.
Cette refonte, comprend également l’optimisation des formats existants :
- Résultats de recherche pour les produits sponsorisés
- Carrousels pour les fiches produit
D’autres formats seront disponibles prochainement.
« Avec Rakuten Ads, Rakuten s’inscrit dans sa mission historique d’accompagner tous les commerçants dans leur digitalisation, quelle que soit leur taille ou leur secteur d’activité. En leur proposant une plateforme d’une grande simplicité d’usage, nous leur permettons de prendre en main leurs campagnes pour qu’elles répondent parfaitement à leurs attentes. La performance de l’investissement publicitaire est un puissant levier commercial pour tous les vendeurs professionnels, avec un impact direct sur leurs ventes. En optimisant ce service, nous leur donnons une raison supplémentaire de faire confiance à Rakuten pour développer leur activité marchande », déclare Matthieu Denime, directeur commercial de Rakuten France.
* Observatoire de l'e-publicité 2021 par le SRI et l'UDECAM
Le métaverse ou les vertus bien réelles du virtuel
La perception du métaverse oscille entre engouement, crainte et scepticisme. Loin des fantasmes, cette innovation de rupture offre avant tout un immense potentiel en termes d'expérience client.
Le métaverse est, depuis quelques mois, sur toutes les lèvres. Comme toutes les innovations technologiques de "rupture", il suscite son lot de réactions extrêmes, de peurs et de fantasmes... Certains, nourris par l’imaginaire de la science-fiction, prophétisent une fusion entre les mondes physique, biologique et numérique, et l’abandon de nos existences dans le monde réel au profit d’une projection addictive dans le virtuel. À l’autre extrême, d’autres affichent le plus grand scepticisme, s’appuyant sur les premiers essais de métaverse, difficilement à la hauteur des anticipations du public – Mark Zuckerberg en a fait les frais récemment, suite au lancement de son monde virtuel, jugé décevant.
La réalité se situe, comme toujours, entre ces deux extrêmes. Non, nous n’allons pas aller vivre une vie nouvelle dans le métaverse ; et oui, le métaverse a un immense potentiel. Il sera bientôt, un outil virtuel offrant d’abord et avant tout d’immenses bénéfices dans le monde réel, et sera en particulier d'une commodité extrême pour le commerce, au profit à la fois des consommateurs et des enseignes.
Il y a 40 ans précisément, Morris Holbrook et Elisabeth Hirschmann, professeurs de l’Université de Columbia et de la New York University, conceptualisaient le Marketing Expérientiel. Ils introduisaient notamment le rôle des émotions et du vécu (« the experience ») dans les mécanismes d’achat. Quatre décennies plus tard, il est tentant de voir dans les nouveaux outils apportés par le métaverse la concrétisation la plus aboutie de cette "consumer experience".
En effet, aujourd’hui, quiconque achète en ligne peut évaluer produits et services grâce aux informations données par le site web le commercialisant et celui du fabricant (c’est ce qu’on appelle le web 1.0), ainsi que par les commentaires vérifiés des clients ou de différents influenceurs (c’est le web 2.0). Le métavers va permettre d’évoluer dans un monde de sens où chacun pourra évaluer par lui-même, au plus près des conditions réelles d’utilisation, un produit ou un service.
On pourra essayer une chaussure virtuelle sur son avatar modélisé avec une précision inédite, essayer un nouveau modèle de véhicule, ou bien faire une visite immersive d’un hôtel pour ses vacances et avoir une image exacte de la surface des chambres, de leur disposition… Tout cela sans sortir de chez soi.
Dans le métaverse, le toucher, le goût ou l’odorat ne seront pas (encore) sollicités, mais il constituera des avancées par rapport à la consommation traditionnelle : la voiture de démonstration ne sera pas immobile comme chez le concessionnaire, elle pourra bouger, accélérer, changer de couleur. On pourra se faire une idée de son espace intérieur ou de sa tenue de route sur une simulation presque plus vraie que nature. Certes, cette expérience virtuelle ne vaudra jamais celle de l’essai « en vrai », mais elle permettra de le préparer, de se faire une première idée, ou de dégrossir un choix où trop d’options se présentent.
Vers une expérience d'achat à distance « parfaite »
Contrairement à ce que l’on entend souvent, le métaverse, ce ne sera donc pas uniquement de l’immatériel, des objets virtuels possédés via les NFT. Bien sûr, quelques-uns achèteront des chaussures virtuelles pour donner du style à leur avatar. Mais cela pourrait rester marginal par rapport aux essayages virtuels de vêtements, réalisés en vue d’un achat dans le monde physique. Peu d’entre nous achèteront des villas virtuelles pour nous installer dans le métaverse, mais nous serons nombreux à faire des visites à distance pour choisir nos lieux de vacances, ou avant toute transaction immobilière.
Bien sûr, il y aura encore des essais ratés et des tâtonnements avant de parvenir à une forme aboutie de cette réalité hybride. Mais le potentiel de cette technologie est immense ; car ce qui s’ouvre ici, c’est une voie vers une expérience d’achat à distance « parfaite ». Celle-ci ne se substituera jamais à l’achat en magasin, qui constitue un vécu irremplaçable. Mais on se rapprochera de la perfection parce qu’on n’aura plus besoin de se déplacer vers un magasin « pour essayer » ; parce qu’on ne sera plus limité par le stock de couleurs et de tailles disponibles dans une boutique donnée ; et parce qu’on pourra revenir, en un clic, autant de fois que nécessaire.
La précision de la modélisation de l’essayage, son caractère immersif, sa facilité, vont permettre des décisions d’achat plus sûres pour le consommateur. Cela se traduira certainement par un nombre de retours de produits en baisse, et donc aussi par une baisse de l’empreinte carbone. En permettant une consommation plus raisonnée, mieux informée, le métavers facilitera aussi la commercialisation de produits d’occasion ou reconditionnés. Et cela aussi, c’est bon pour notre planète.
Alors pas de craintes ou de fantasmes. Entrons avec enthousiasme dans le métaverse !
Par Fabien Versavau, PDG de Rakuten France
RakuTrends #5 : #Cap sur la rentrée !
Acteur majeur du commerce en ligne et pionnier de l’économie circulaire, Rakuten bénéficie d’un point de vue unique sur les évolutions à l’œuvre dans l’e-commerce, à la croisée de tendances sociétales et économiques de fond. Avec les RakuTrends, nous vous proposons un décryptage régulier des grandes tendances de consommation, sur le neuf comme sur la seconde main.
#CAP SUR LA RENTRÉE : ZOOM SUR LES ACHATS PRÉFÉRÉS DES FRANÇAIS
L’heure de la rentrée approche à grand pas ! Comme chaque année au mois d’août, la préparation de la liste des courses « spéciale rentrée » s’impose : nouvelles fournitures, papeterie, produits high-tech, manuels scolaires, sans oublier les loisirs créatifs, pour un passage en douceur sur les bancs d’école. De nombreuses familles ont déjà anticipé cette mission annuelle, afin de saisir les meilleures offres et éviter de devoir se précipiter en magasin quelques jours avant la réouverture des classes. A vos stylos et cahiers ! Rakuten fait le point sur les grandes tendances de consommation 2022 et sur la place accordée aux incontournables de la shopping season de rentrée, avec un focus sur le choix de la seconde main, véritable allié du pouvoir d’achat.
ECONOMIE CIRCULAIRE
FACE À L’INFLATION, LE CHOIX DES LIVRES SCOLAIRES DE SECONDE MAIN S’IMPOSE COMME LA SOLUTION IDÉALE.
Face à l’inflation des prix qui nous guette et au contexte écologique actuel, quoi de mieux que d’opter pour des fournitures de seconde main ? Notamment, quand il s’agit des livres scolaires ou de l’high-tech, des produits généralement coûteux à l’achat ! Une tendance qui continue de se confirmer et qui s’exprime par :
Plateforme pionnière de l’économie circulaire proposant près de 50 millions de produits de seconde main, et parmi les leaders du e-commerce dans les catégories livres / culture, Rakuten est la référence pour dénicher les livres inscrits sur votre liste.
LANGUES ÉTRANGÈRES
LV2, LE CHOIX CRUCIAL DU COLLÈGE
Qui dit école, dit langues vivantes ! Ce choix « crucial » du collège, nous donne généralement du fil à retordre. En cette période, on note une croissance à deux chiffres des ventes des livres de langues étrangères sur les enseignements historiquement plébiscités. L’allemand et l’espagnol restent en tête !
L’ensemble de ces chiffres affirme que la rentrée scolaire 2022 est placée sous le signe des économies et des achats malins ! Les Français privilégient désormais une consommation responsable et durable. Le temps de la cohue dans les magasins la veille de la rentrée scolaire semble définitivement révolu. Cependant, une chose est sûre, la bataille entre l’allemand et l’espagnol n’est pas prête de s’arrêter.
*Chiffres comparatifs sur une période donnée de juillet 2021 vs. juillet 2022
Valorisations des startups : passons à une nouvelle échelle de valeurs
Moins de valorisations stratosphériques et de tours de table records : en 2022, la conjoncture économique est moins favorable à l'écosystème startups qu'en 2021. Ce qui n'est pas forcément une mauvaise nouvelle selon Fabien Versavau, PDG de Rakuten France, qui présage que l'argent frais sera injecté dans les innovations de rupture.
La fête est finie ! L’expression revient régulièrement ces temps-ci, quand il est question de financement des startups, et tout particulièrement dans le secteur de la tech. Valorisations stratosphériques, levées de fonds en augmentation régulière d’année en année, tours de table records : tout cela serait définitivement derrière nous. Les chiffres portant sur la France pour le premier semestre 2022, avec seulement 2 milliards d’euros de fonds levés contre 10 milliards en 2021, établissent clairement une tendance.
Quelles en sont les raisons ? Elles sont, pour une bonne part, conjoncturelles. Parce que, depuis le mois de mars, la hausse des taux freine des ardeurs qui, il y a peu de temps encore, faisaient peu de cas du risque. Parce que le conflit en Ukraine déstabilise de manière aussi spectaculaire qu’imprévue l’ordre mondial, avec des incertitudes très lourdes sur les approvisionnements en énergie, mais aussi sur certains produits alimentaires de base…
Parce que par ricochet, une inflation mondiale galopante s’installe. Tout cela mis bout à bout, avec en plus la question d’une nouvelle vague de Covid-19, donne peu de raisons d’espérer, et beaucoup de motifs de se méfier. Il faut cependant aller plus loin dans l’analyse, et chercher les causes structurelles de ce retournement ; on pourra y trouver quelques raisons de considérer l’avenir avec confiance.
Bien sûr, le climat général actuel pèse fortement sur les perceptions des acteurs économiques. Mais ce qui se fait jour, c’est aussi, de manière plus fondamentale, une forme de « sélection naturelle » entre deux types de startups. D’un côté, il y a celles dont la promesse repose sur une véritable innovation technologique ; et de l’autre, celles dont le modèle s’appuie avant tout sur les gains de productivité permis par le passage rapide à l’échelle.
Force est de constater que, parmi les licornes de ces dernières années, nombre d’entre elles reposaient sur une logique similaire : atteindre sur un marché donné la taille critique plus vite et plus fort que les autres acteurs. Dans un contexte où les liquidités surabondaient, où les investisseurs cherchaient à tout prix des projets dans lesquels investir, nul n’avait besoin de présenter une innovation de rupture ; une perspective réaliste de succès dans cette course à la taille suffisait. Et l’afflux de capital permettait alors à des entreprises de concentrer leurs actions sur ce seul but, particulièrement vorace en cash : préempter au pas de charge une position de leadership.
Force est de constater que ces histoires-là ne convainquent plus comme auparavant. Si le volume général des valorisations baisse, c’est avant tout parce que les investisseurs ont changé leur manière de voir, qu’ils sont devenus plus regardants, notamment sur la réalité de l’innovation proposée. Dès lors que le capital coûte plus cher, les investisseurs veulent en avoir davantage pour leur argent. Ils sont, à ce titre, plus sélectifs dans leurs décisions d’investissement, font des analyses plus profondes et remontent leur niveau d’exigence quant à la viabilité économique des cibles envisagées.
Mais, avant tout, ils veulent s’assurer que, derrière le projet financé, se trouve aussi une capacité réelle et continue à inventer, à proposer, à grandir, à garder une longueur d’avance. John Collison, président de Stripe, a parfaitement résumé la situation : « Partout, les investisseurs paient moins pour les mêmes entreprises […]. Les choses ne sont pas si terribles dans le secteur des technologies. Ce sont juste les valorisations qui ont un peu baissé. » Tout est dit !
La « correction » en cours – c’est vrai des deux côtés de l’Atlantique – est saine pour nos économies. Elle permettra de mieux distinguer les pépites qui innovent réellement. L’histoire récente l’a montré sévèrement : nous n’avons rien à gagner à laisser gonfler les bulles spéculatives. Et nous avons, bien au contraire, tout à gagner à ce que l’argent disponible serve en priorité à soutenir des histoires entrepreneuriales avec des fondamentaux solides, des innovations visionnaires et des expertises de pointe, plutôt qu’à alimenter des chimères aux rentabilités aussi hypothétiques que lointaines.
Il y a là une belle occasion de redonner tout son éclat à la figure de l’entrepreneur. Le resserrement monétaire va forcer les créateurs d’entreprise à être encore plus ingénieux, créatifs, inspirants et résilients. Ces qualités doivent retrouver leur juste place dans l’échelle des valeurs que promeuvent nos sociétés, trop souvent défiantes par rapport à l’innovation technologique, trop souvent enclines à reléguer les compétences techniques au second plan. L’économie s’affaiblit en préférant les contes de fées, elle se renforce en valorisant les belles histoires.
Fabien Versavau, PDG de Rakuten France
RakuTrends #4 : L'été est lancé !
Acteur majeur du commerce en ligne et pionnier de l’économie circulaire, Rakuten bénéficie d’un point de vue unique sur les évolutions à l’œuvre dans l’e-commerce, à la croisée de tendances sociétales et économiques de fond. Avec les RakuTrends, nous vous proposons un décryptage régulier des grandes tendances de consommation, sur le neuf comme sur la seconde main.
#21JUIN : L’ÉTÉ EST LANCÉ
Comme chaque année, l’été arrive avec ses incontournables et son lot de nouvelles tendances. Outdoor, cuisine et équipement de la maison : voici trois catégories de produits qui reviennent sur le devant de la scène des top-achats ! Avec au rendez-vous : des ventilateurs pour affronter sereinement les pics de chaleurs, des barbecues dernier cri pour les dimanches après-midi entre amis, ou encore de nouvelles bouées à la mode pour lézarder tranquillement dans l’eau. Des tendances boostées par le début de la période des soldes, décryptées pour vous, par Rakuten !
L’EFFET CANICULE
Les températures grimpent, les ventilos ont le vent en poupe.
Période oblige, les climatiseurs et ventilateurs font désormais partie des meilleures ventes et des produits les plus recherchés par les consommateurs. Suite à la vague caniculaire de la semaine passée, Rakuten a observé un pic très important des ventes (+205%) tout au long de la semaine dernière sur cette catégorie de produits !
ECONOMIE CIRCULAIRE
Exit le neuf ! Et si on faisait le choix d’un ventilateur de seconde main ?
Il n’y a pas que les ventilateurs neufs qui connaissent un boom des ventes, la seconde main a elle aussi fait son grand retour, avec une croissance de +190% enregistrée par la plateforme depuis le mois d’avril, concernant les ventes de produits « heating » d’occasion.
Un chiffre qui confirme une nouvelle fois le succès grandissant de la seconde main auprès des Français. En tant que plateforme pionnière de l’économie circulaire, avec 2 produits sur 3 vendus de seconde main, Rakuten récompense ce type d’achat grâce au Badge Vision'R. Chaque produit de seconde main acheté donne lieu à une rémunération en Rakuten Points, la monnaie virtuelle de la plateforme. Alors, plus d’excuse ! Qu’est-ce qu’on attend pour passer à l’occasion ?
LES PRODUITS PHARES DE L’ÉTÉ
Les incontournables de la summer season.
L’été est bien là ! Il est donc temps de se munir des incontournables #Summer2022 ! Et pour ceux qui sont en panne d’inspiration, Rakuten a concocté une sélection des must-have de la summer season. Au programme : barbecues en terrasse, sauts dans la piscine, apéros et bains de soleil sur le transat.
Sans oublier les titres du moment à glisser dans notre valise pour se ressourcer au bord de l’eau ou sous l’ombre d’un palmier, et les meilleurs produits estivaux soldés à saisir sans hésiter !
Logistics beyond the click: the promise of fulfillment
France has a long tradition of seeing logistics as a minor and unrewarding task, epitomized by the famous quote attributed to Général De Gaulle: “L’intendance suivra”, meaning that the logistics will adapt to the strategy, and that its constraints should not be taken into account in the decision-making process. But regarding e-commerce, this could not be more wrong. And while this service may seem secondary with regards to what remains our core business at Rakuten’s — being an e-commerce marketplace — we believe, to the contrary, that it is in fact essential for us to deliver on our mission, and on our fundamental brand promise.
For small to medium-sized merchants that mostly run physical businesses, and that only recently decided to digitalize a part of their activity, such a fulfillment service is indispensable; because they are absolutely unable to manage the logistics that e-commerce requires beyond a certain volume. Everyone can build a merchant website, but what happens after the click?
Small merchants are not the only ones that absolutely need fulfillment services. Many B2C brands are increasingly selling directly to their customers, in complement to their traditional sales channels, through retailers. There is definitely a space for such direct sales to customers to develop — that match consumers’ aspirations to have a direct link with their favorite brands — but developing a direct B2C activity can be highly demanding: orders need to be fulfilled, and most brand owners have not been designed to do it themselves. Logistics are indispensable, and a trusted partner is necessary to deliver a great customer experience.
The problem is that so far, fulfillment services have been extraordinarily concentrated. Even more problematic: the dominant player for these fulfillment services, which was almost the only one to propose a full-fledged service covering all France, is also one of the largest e-commerce marketplaces. As a result, and due to different pricing mechanisms for external merchants and for its own platform, there was a distortion in competition which made it almost impossible for these merchants’ direct sales to be competitive.
At Rakuten, we have built our business on strong, trusting partnerships with the merchants that are part of our community. This trust is based on a simple fact: we never compete with the merchants that entrust us with their business! To the contrary, we support them in many ways, to help them grow through high-quality services, and to give them the best opportunities. During the pandemic in particular, when physical shops had to close down, we helped thousands of small merchants put a first foot in e-commerce. And, in general, we try really hard to empower them as much as possible. So, when we realized how hard it was for them to benefit from a fair fulfillment service, it was only natural for us to step in.
Last month, Rakuten France announced the launch of a new service: “Rakuten Fulfillment Network”, an order fulfillment service. For those not familiar with the specifics of e-commerce, ‘order fulfillment’ — or ‘fulfillment’ — is a comprehensive logistics service covering the collection, storage, packaging and shipping of electronic trade orders. Our fulfillment service has been designed around the same principles than the rest of our business:
- Inclusiveness: our fulfillment service is freely accessible to every player, regardless of the nature their activity.
- Fairness: our service is offered at the same price to all potential customers.
- Transparency: there are no hidden costs, no discrimination of any kind.
- Freedom of choice: our merchant partners can freely choose whether or not they want to rely on this fulfillment service.
- Partnership: our service is built with, and delivered through a network of logistics companies, some of them small and local, other active on a larger scale.
By the way, these logistics partners with which we develop this service also greatly benefit from it: firstly, because we bring them additional business with new customers. But also because, in so doing, we help them digitalize their business; and this digitalization is indispensable for them to monetize under-used assets, such as warehouses that are structurally not full.
At Rakuten, we strongly believe that the way in which we do business is as important as the business itself. Whatever we do, we always follow the same guiding principles.
We rely on, and we support, local ecosystems, rather than destabilize them.
We connect the different players of our ecosystems (here, merchants and logisticians), and help them work together; and we simplify this part of the business, for everyone.
We operate in partnership with, not in competition with, our business counterparts.
We abide by our values of transparency, of simplicity, of fairness and inclusiveness. Strictly respecting these values is not secondary — no more than logistics are secondary to e-commerce.
And, last but not least, we are faithful to the objective at the core of our philosophy: to contribute to society by creating value through innovation and entrepreneurship.
This business that we are starting is the first of its kind in Europe. We are creating something new, and I am confident that it is what the market is expecting. Time will tell, and as always, we are optimistic!
Par Fabien Versavau, PDG de Rakuten France
Rakuten et Germinal, une association du Groupe SOS, lancent Trajectoires E-Commerce, un programme innovant d’accompagnement numérique pour les commerçants et entrepreneurs en difficulté sociale
Rakuten, un leader du e-commerce français, et Germinal, une association du Groupe SOS, leader de l’entrepreneuriat social en Europe, unissent leurs forces pour aider les personnes éloignées de l’emploi à développer une activité marchande en ligne. Objectif de ce programme d’accompagnement numérique: mettre à profit les relais digitaux pour faire du commerce de proximité un des leviers du développement local et de la lutte contre la fracture numérique.
Alors que les Français.es consomment de plus en plus en ligne, les TPE et PME connaissent un retard préoccupant en matière de transition digitale[1]. Cette fracture numérique touche de plein fouet les personnes éloignées de l’emploi et les territoires défavorisés. Pour répondre à leurs besoins spécifiques, Rakuten et Germinal, une association du Groupe SOS, lancent Trajectoires e-commerce dans 10 régions de France. Les lundi 13 et mardi 14 juin marqueront le coup d’envoi de ce programme avec deux journées complètes alternant apport théorique et cas pratiques, au siège de Rakuten à Paris. A cette occasion, les E-Commerce Consultants de Rakuten formeront 10 Coachs numériques travaillant sur les territoires concernés, composés de Conseillers Numériques et d’ambassadeurs Germinal. L’ambition de ce projet est d’accompagner 1 250 entrepreneur.e.s sur les 18 premiers mois.
« Ce partenariat avec Rakuten est dans la continuité de notre travail et de nos actions, sur le terrain, pour combattre l’exclusion numérique des personnes en situation de vulnérabilité. La formation par Rakuten de Coachs numériques va nous permettre d’aller encore plus loin, en contribuant à redynamiser les commerces de proximité », déclare Jean-Marc Borello, Président du Groupe SOS.
« Nous sommes ravis d’initier ce partenariat qui prolonge notre engagement historique pour une digitalisation de tous les commerçants. En tant qu’acteur technologique majeur, notre rôle est de faire du numérique un puissant levier d’inclusion contribuant à la pérennité des commerces de proximité et à la revitalisation des tissus économiques locaux. C’est tout l’objet de ce partenariat », déclare Fabien Versavau, PDG de Rakuten France.
Un accompagnement à 360° pour la création de commerces pérennes
C’est la première fois qu’un programme d’accompagnement au numérique mobilise activement toutes les parties prenantes impliquées dans cette problématique sociétale :
- Germinal, dans un rôle d’identification et d’accompagnement des bénéficiaires du programme ;
- Les institutions partenaires de Germinal telles que le service public de l’Emploi, les Fonds Sociaux Européen, les acteurs de l’accompagnement entrepreneurial, etc. ;
- L’Etat à travers le Ministère du Travail et le dispositif des Conseillers Numériques mis en place par le Plan France Relance ;
- Rakuten, dans un rôle d’accompagnement humain, technologique et financier. L’entreprise a également mobilisé ses 350 collaborateurs et collaboratrices en France pour apporter un soutien sur des sujets divers tels que : préparer un entretien, accomplir des démarches administratives ou développer ses outils de communications en ligne ;
- Les 8 500 marchands commercialisant sur la plateforme Rakuten par le biais d’un appel au don de matériel informatique.
QUI ? | OU ? | |
Ce programme est ouvert aux personnes en difficulté sociale – telles que bénéficiaires du RSA, demandeurs d’emploi, parents isolés, personnes en situation de handicap ou pénalisées par la barrière de la langue, jeunes issus des quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) ou des zones de revitalisation rurale (ZRR) – qui souhaitent créer ou reprendre une entreprise impliquant une activité marchande. | Le projet sera développé sur 10 territoires à travers la France : en Normandie, Île-de-France, Centre-Val de Loire, Hauts-de-France, Auvergne-Rhône-Alpes, PACA, Grand-Est, Bourgogne-Franche-Comté, Nouvelle-Aquitaine et Occitanie. |
Les bénéficiaires du programme bénéficieront de la gratuité de l’ouverture de leur e-shop sur Rakuten. Comme tous les marchands sur la plateforme, ils et elles bénéficieront également d’un accompagnement personnalisé et gratuit à toutes les étapes de leur digitalisation : l’ouverture de leur boutique en ligne, la mise en ligne de leur catalogue, le suivi des commandes et les mécaniques de développement de leurs ventes.
L’accompagnement des commerçant.es s’étendra sur 4 à 24 mois en fonction des besoins de chacun.e, et comprendra trois autres volets pour un suivi complet :
- Un accompagnement social : résolution des diverses problématiques sociales rencontrées (connaître ses droits sociaux, l’accès au logement, à la mobilité…) ;
- Un accompagnement entrepreneurial : des formations, l’accès aux financements, le développement commercial, la communication, l’impact écologique, etc. ;
- Un accompagnement numérique : renforcement du socle de compétences numériques nécessaires de manière immédiate aux commerçants. La dernière étape du parcours consistera en la mise en visibilité des commerces digitalisés.
[1]La France est 15e sur 28 du classement DESI 2021 (indice relatif à l’économie et à la société numérique) de la Commission européenne, plaçant l’Hexagone en-dessous de la moyenne de l’UE.
Rakuten raconte les Histoires Incroyables de commerçants avec Josiane
Rakuten, leader du e-commerce, lance une campagne publicitaire BtoB adressée aux vendeurs professionnels baptisée « Les Histoires Incroyables ».
Deux films de 55 secondes sont dévoilés ce mardi 17 mai, faisant écho aux 6 visuels déployés depuis quelques semaines en digital et dans la presse (généraliste, économique et entreprise). Une campagne orchestrée par l'agence Josiane.
Cette campagne vient marquer deux étapes majeures pour la marketplace Rakuten : d’une part, le passage du programme de fidélité Club R à 12 millions de membres en France, et d’autre part, le lancement de Rakuten Fulfillment Network, le nouveau service d’expédition et d’e-logistique.
Si vous souhaitez souscrire à Rakuten Fulfillment Network, cliquez ici.
Les deux spots publicitaires mettent en scène de vrais commerçants qui vendent tous deux à la fois dans leurs boutiques physiques et sur leur e-shop Rakuten : Zack, gérant d’une boutique EasyCash et Eric, gérant de la boutique LaBD2collec.
La campagne raconte les histoires incroyables d’attentes de commerçants qui sont pourtant tout à fait normales : bénéficier d’une large audience de clients, se consacrer au développement de son activité sans craindre de frais cachés, voir ses ventes augmenter grâce à un service d’expédition performant... Les accroches légèrement ironiques montrent à quel point vendre en ligne et expédier ses commandes est simple avec Rakuten, partenaire clé de la digitalisation de l’activité des commerçants : « C’est l’histoire incroyable de Tom qui cherche l’astérisque mais ne le trouve pas… » ; « Ça ne se voit pas, mais Zack est complètement débordé par ses 12 millions de clients ».
Pour faire partie de nos 8 500 vendeurs partenaires, cliquez ici.
« Équitable » : l’essence même du commerce
Nous célébrons aujourd’hui [samedi 14 mai] le « commerce équitable », et nous donnons un coup de projecteur à un type de commerce plutôt qu’à un autre. Or, ma conviction est que tout commerce devrait être équitable. Et je crois profondément dans les vertus intrinsèques du commerce, qui est fondamentalement un facteur de progrès, de développement économique et humain.
Car qu’est-ce que le commerce sinon le fait d’être en relation avec autrui ?
Quand on veut comprendre le présent, se pencher sur l’étymologie des termes que nous utilisons quotidiennement peut être utile.
En latin, commercium signifie dans son sens usuel le négoce, le lieu où se fait le commerce. Ce mot désigne aussi les rapports humains, les relations que nous tissons entre nous. Ce double sens du mot commerce a subsisté pendant longtemps en français. Du temps de Molière encore, « avoir commerce » ou « faire commerce » avec quelqu’un, c’est être en relation avec cette personne. Et ce mot, de manière peut-être encore plus signifiante, désigne parfois aussi la manière de se comporter à l'égard d'autrui : « Il est homme d'un bon commerce », écrit La Bruyère dans ses « Caractères ».
Le commerce, enfin, dans le français des Lumières, peut désigner une correspondance suivie, une relation rapprochée, intime parfois… « et plus si affinités », pourrait-on dire aujourd’hui.
Cette parenthèse étymologique montre que le commerce a souvent été le premier trait d’union à se développer entre les peuples et les nations. Qu’il a permis et favorisé, au fil des âges, la propagation des idées, les échanges culturels, la confiance mutuelle. Et qu’historiquement, c’est le commerce qui a semé et fait grandir entre civilisations, lointaines ou voisines, les germes de la paix… même s’il n’a pas toujours permis d’éviter la guerre. L'essence du commerce, c'est bien la satisfaction mutuelle et durable des deux parties à une transaction, ces deux caractères étant indissociables. C’est pourquoi, à mon sens, tout commerce doit être équitable pour être pérenne.
Le commerce équitable, tel qu’il s’est développé depuis les années 1970 dans les pays du Nord à économie de marché, est né d'une intention louable : rééquilibrer les échanges entre pays producteurs, souvent des pays émergents, et importateurs, généralement plus développés économiquement. Ce concept et les premiers labels mondiaux qui ont codifié et rendu visible cette appellation ont été très bénéfiques et ont atteint leurs objectifs. Mais faut-il continuer d’embrasser la logique de multiplication des labels qui prévaut aujourd’hui, et que la loi Climat et Résilience de 2021 a d’ailleurs continué d’encourager ? La question mérite d’être posée. Car, lorsque chacun définit son propre label, le consommateur est vite perdu et ne sait plus ce qui est vraiment « équitable ».
D’autre part, parce que les questions qui sont aujourd’hui importantes pour les consommateurs ne sont pas les mêmes qu’hier : d'autres enjeux de responsabilité sociétale – pour n’en citer que deux, l’absence de discriminations de genre dans l’accès aux structures économiques, ou l’inclusivité vis-à-vis des personnes en situation de handicap – sont devenus tout aussi importants que la redistribution des richesses entre producteurs et importateurs.
Et puis, fondamentalement, tout label induit une lecture trop binaire : il y aurait d’un côté ceux qui feraient tout bien, et de l’autre ceux qui auraient tout faux...
En réalité, si l’on prend un peu de hauteur, que voit-on ? Un nombre croissant d'entreprises qui ne font pas partie du champ de l'économie sociale et solidaire adoptent, spontanément et sans rechercher une labellisation quelconque, des pratiques et standards vertueux qu'il s'agisse de leurs relations avec leurs fournisseurs, avec leurs clients, avec les écosystèmes auxquelles ils appartiennent et qu'ils cherchent à préserver plutôt qu'à en tirer profit...
Nous serions-nous trompés de combat ? Je ne le pense pas : la promotion du commerce équitable correspondait à un temps de notre prise de conscience et de l’évolution de nos économies. Il est temps de sortir d’une vision trop étroite des choses où seul un type de commerce est célébré, alors que d’autres ne déméritent pas. En somme, il est temps d’avoir une vision équitable. Oui, nombreuses sont les entreprises qui, consciencieusement, agissent pour transformer nos modes de production et de distribution. Qui veulent, au fond, avoir commerce avec le monde.
Fabien Versavau, président et CEO de Rakuten France
Marianne Yalfani est nommée Directrice des Ressources Humaines de Rakuten France
Rakuten France annonce la nomination de Marianne Yalfani au poste de Directrice des Ressources humaines. Elle sera rattachée à Fabien Versavau, PDG.
Marianne Yalfani aura pour mission d’accompagner les ambitions de Rakuten sur les enjeux de recrutement et d’expérience collaborateur, tout en cultivant l’innovation et l’adoption des meilleures pratiques RH au sein de l’entreprise.
« L’arrivée de Marianne Yalfani est un atout essentiel pour accompagner les hommes et les femmes de Rakuten vers nos objectifs de croissance. L’attraction des meilleurs talents, le bien-être et le développement de nos collaborateurs sont en effet des éléments fondamentaux pour nous permettre de déployer nos ambitions stratégiques », déclare Fabien Versavau, PDG de Rakuten France.
Avocate spécialiste du droit du travail, diplômée de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Marianne Yalfani a débuté sa carrière au sein du cabinet Baker & McKenzie, entre 2006 et 2008, avant de poursuivre chez Bird & Bird (2008-2012). Responsable juridique d’UPS en France de 2012 à 2015, avec un rôle de conseil et d’assistance juridique aux équipes RH et opérationnelles, elle devient ensuite consultante RH, puis DRH de BlaBlaCar. Avant de rejoindre Rakuten, Marianne a également été DRH du groupe de restauration Big Mamma (2019), puis de la start-up Qare, pionnier de la téléconsultation (2020).